Investing.com - Les options sur le brut étaient sur la défensive ce mardi matin, l'idée de prendre des paris importants à quelques heures de l'ouverture des urnes américaines et à deux jours d'un changement à la tête de la Chine n'étant guère tentante.
Cette tendance s'est aussi trouvée amplifiée par l'angoisse grandissante d'une diminution des besoins dans le nord-est des Etats-Unis après que l'ouragan Sandy ait touché la région en début de semaine.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour décembre se sont échangés à 85.44 USD le baril en première partie de séance européenne, reculant de 0.25%.
Ils avaient auparavant hésité dans une bande étroite située entre 85.8 USD, leur meilleur cours journalier, et 85.43 USD, leur pire, après avoir plongé hier jusqu'à 84.36 USD, leur valeur la plus faible des quatre mois écoulés.
Les opérateurs préfèraient en effet rester sur la touche à l'approche du scrutin présidentiel des Etats-Unis, les sondages présentant le candidat sortant Barack Obama et son concurrent républicain Mitt Romney comme étant au coude-à-coude.
L'attente était également forte à l'approche du dix-huitième congrès du parti communiste chinois de jeudi, au cours duquel un changement décennal de direction est prévu.
La Grèce était aussi sur le devant de la scène, alors que ses représentants s'apprêtaient à adopter ou non les mesures draconiennes sans lesquelles Athènes se retrouverait privée de sa bouée de sauvetage internationale.
Les opérateurs du marché pétrolier gardaient aussi les yeux sur l'arrivée des inventaires hebdomadaires du volume des réserves américaines de brut et de ses dérivés, afin d'évaluer l'appétit du plus gros consommateur mondial.
Celui émanant des spécialistes regroupés par l'institut du pétrole américain sera dévoilé après la clôture des échanges d'aujourd'hui, alors que son équivalent élaboré par les autorités nationales pourrait montrer demain qu'elles auraient accumulé 900 000 barils la semaine dernière.
Le spectre d'une diminution de la voracité nationale s'était trouvé ravivé par les résultats précédents, indiquant que celles-ci dépassaient 370 millions de barils, leur volume le plus important pour cette période de l'année en plus de trente ans.
Le pays garde sa première part dans demande mondiale, avec près de 22%.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour décembre ont chuté de 0.35% pour reprendre pied à 107.35 USD du baril dans le même temps, soit 21.92 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Cette tendance s'est aussi trouvée amplifiée par l'angoisse grandissante d'une diminution des besoins dans le nord-est des Etats-Unis après que l'ouragan Sandy ait touché la région en début de semaine.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour décembre se sont échangés à 85.44 USD le baril en première partie de séance européenne, reculant de 0.25%.
Ils avaient auparavant hésité dans une bande étroite située entre 85.8 USD, leur meilleur cours journalier, et 85.43 USD, leur pire, après avoir plongé hier jusqu'à 84.36 USD, leur valeur la plus faible des quatre mois écoulés.
Les opérateurs préfèraient en effet rester sur la touche à l'approche du scrutin présidentiel des Etats-Unis, les sondages présentant le candidat sortant Barack Obama et son concurrent républicain Mitt Romney comme étant au coude-à-coude.
L'attente était également forte à l'approche du dix-huitième congrès du parti communiste chinois de jeudi, au cours duquel un changement décennal de direction est prévu.
La Grèce était aussi sur le devant de la scène, alors que ses représentants s'apprêtaient à adopter ou non les mesures draconiennes sans lesquelles Athènes se retrouverait privée de sa bouée de sauvetage internationale.
Les opérateurs du marché pétrolier gardaient aussi les yeux sur l'arrivée des inventaires hebdomadaires du volume des réserves américaines de brut et de ses dérivés, afin d'évaluer l'appétit du plus gros consommateur mondial.
Celui émanant des spécialistes regroupés par l'institut du pétrole américain sera dévoilé après la clôture des échanges d'aujourd'hui, alors que son équivalent élaboré par les autorités nationales pourrait montrer demain qu'elles auraient accumulé 900 000 barils la semaine dernière.
Le spectre d'une diminution de la voracité nationale s'était trouvé ravivé par les résultats précédents, indiquant que celles-ci dépassaient 370 millions de barils, leur volume le plus important pour cette période de l'année en plus de trente ans.
Le pays garde sa première part dans demande mondiale, avec près de 22%.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour décembre ont chuté de 0.35% pour reprendre pied à 107.35 USD du baril dans le même temps, soit 21.92 USD de mieux que leurs homologues américaines.