Investing.com - Les places d'Asie ont redressé la tête ce mercredi matin, mais leur avancée demeurait limitée par les incertitudes grandissantes entourant le plan de secours à la Grèce et la crise fiscale se profilant aux Etats-Unis.
Les observateurs guettaient aussi pour aujourd'hui les conclusions du dix-huitième congrès du parti communiste chinois, au cours duquel un changement décennal de direction était prévu.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong prenait 0.8%, l'ASX/200 australien 0.2% et le Nikkei 225 japonais névoluait guère.
Le problème des caisses vides de la Grèce était d'autre part revenu au premier plan après que la réunion des ministres des finances de la zone euro se soit achevé en début de semaine en repoussant la décision sur l'attribution des 31.5 milliards d'euros d'aides dont elle a un besoin urgent.
Celle-ci devrait être prise le 20 novembre, le Fonds Monétaire International et les dirigeants européens n'ayant pas réussi à se mettre d'accord hier sur la meilleure façon de réduire les dettes d'Athènes jusqu'à un niveau gérable.
L'attention se trouvait aussi focalisée sur la menace du mur fiscal pesant sur les Etats-Unis, causé par la fin d'importantes réductions d'impôts et l'activation de coupes budgétaires, devant prendre effet pour un total d'environ 600 milliards d'USD d'ici le premier janvier.
Certains craignent en effet qu'il ne replonge l'économie nationale dans la récession, à moins que le parlement et la Maison Blanche ne surmontent leurs divisions pour arracher un compromis avant la date fatidique.
La stabilité est revenue à Tokyo, mettant ainsi fin à sept sessions de recul consécutives, Sharp, fournisseur de matériel électronique grand public rebondissant de 7.2% malgré ses difficultés après que Kyodo News ait rapporté qu'Intel, géant technologique américain, pourrait y investir 40 milliards de JPY, qui l'aideraient à alléger le fardeau de sa dette.
Renesas Electronics suivait le mouvement de 4.7% après que le poids lourd des réseaux Cisco Systems, basé aux Etats-Unis, ait revendiqué des résultats supérieurs aux attentes après la clôture des échanges d'hier.
Mais tout n'était cependant pas rose, le Mitsubishi UFJ Financial Group perdant 1.4%, le Mizuho Financial Group 0.8% et le Sumitomo Mitsui Financial Group 0.7%, ces trois établissements financiers devant fournir leurs résultats après la clôture.
Hong Kong profitait de son côté de la forme de ses banques et de son secteur primaire.
La China Construction Bank s'est ainsi élevée de 2.3%, la Bank of de 2.2% et l'Industrial and Commercial Bank of China, premier prêteur national, de 2.6%.
LEs matières premières n'étaient pas en reste, l'Aluminum Corporation of China, alias CHALCO, s'élevant de 3.1%, Jiangxi Copper de 0.7% et PetroChina de 1.3%.
Sydney s'extrayait dans le même temps d'une ornière des sept derniers jours, bénéficiant des avancées de la "bande des quatre" plus gros établissements bancaires du pays.
Ceux-ci ont tous amélioré leur situation, et la Commonwealth Bank of Australia, la plus importante d'entre eux, engrangeait 0.65%.
L'ANZ Banking Group lui emboîtait le pas de 0.6%, la National Australia Bank et le Westpac Banking Group n'étant pas à négliger avec 0.55 et 0.25%.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui nettement morose, subissant encore les incertitudes créées par le retard de l'attribution des fonds de secours grecs et les craintes au sujet des perspectives des la zone euro.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyant une baisse de 0.3%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 0.35%, celles sur le DAX 30 allemand à 0.3% et sur le FTSE 100 britannique à 0.4%.
L'Italie comptait de son côté mettre à la mi-journée des bons du trésor à trois ans aux enchères, tandis que les Etats-Unis diffuseront leurs chiffres concernant l'importance des ventes au détail, et l'inflation de leurs coûts de production.
Les observateurs guettaient aussi pour aujourd'hui les conclusions du dix-huitième congrès du parti communiste chinois, au cours duquel un changement décennal de direction était prévu.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong prenait 0.8%, l'ASX/200 australien 0.2% et le Nikkei 225 japonais névoluait guère.
Le problème des caisses vides de la Grèce était d'autre part revenu au premier plan après que la réunion des ministres des finances de la zone euro se soit achevé en début de semaine en repoussant la décision sur l'attribution des 31.5 milliards d'euros d'aides dont elle a un besoin urgent.
Celle-ci devrait être prise le 20 novembre, le Fonds Monétaire International et les dirigeants européens n'ayant pas réussi à se mettre d'accord hier sur la meilleure façon de réduire les dettes d'Athènes jusqu'à un niveau gérable.
L'attention se trouvait aussi focalisée sur la menace du mur fiscal pesant sur les Etats-Unis, causé par la fin d'importantes réductions d'impôts et l'activation de coupes budgétaires, devant prendre effet pour un total d'environ 600 milliards d'USD d'ici le premier janvier.
Certains craignent en effet qu'il ne replonge l'économie nationale dans la récession, à moins que le parlement et la Maison Blanche ne surmontent leurs divisions pour arracher un compromis avant la date fatidique.
La stabilité est revenue à Tokyo, mettant ainsi fin à sept sessions de recul consécutives, Sharp, fournisseur de matériel électronique grand public rebondissant de 7.2% malgré ses difficultés après que Kyodo News ait rapporté qu'Intel, géant technologique américain, pourrait y investir 40 milliards de JPY, qui l'aideraient à alléger le fardeau de sa dette.
Renesas Electronics suivait le mouvement de 4.7% après que le poids lourd des réseaux Cisco Systems, basé aux Etats-Unis, ait revendiqué des résultats supérieurs aux attentes après la clôture des échanges d'hier.
Mais tout n'était cependant pas rose, le Mitsubishi UFJ Financial Group perdant 1.4%, le Mizuho Financial Group 0.8% et le Sumitomo Mitsui Financial Group 0.7%, ces trois établissements financiers devant fournir leurs résultats après la clôture.
Hong Kong profitait de son côté de la forme de ses banques et de son secteur primaire.
La China Construction Bank s'est ainsi élevée de 2.3%, la Bank of de 2.2% et l'Industrial and Commercial Bank of China, premier prêteur national, de 2.6%.
LEs matières premières n'étaient pas en reste, l'Aluminum Corporation of China, alias CHALCO, s'élevant de 3.1%, Jiangxi Copper de 0.7% et PetroChina de 1.3%.
Sydney s'extrayait dans le même temps d'une ornière des sept derniers jours, bénéficiant des avancées de la "bande des quatre" plus gros établissements bancaires du pays.
Ceux-ci ont tous amélioré leur situation, et la Commonwealth Bank of Australia, la plus importante d'entre eux, engrangeait 0.65%.
L'ANZ Banking Group lui emboîtait le pas de 0.6%, la National Australia Bank et le Westpac Banking Group n'étant pas à négliger avec 0.55 et 0.25%.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui nettement morose, subissant encore les incertitudes créées par le retard de l'attribution des fonds de secours grecs et les craintes au sujet des perspectives des la zone euro.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyant une baisse de 0.3%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 0.35%, celles sur le DAX 30 allemand à 0.3% et sur le FTSE 100 britannique à 0.4%.
L'Italie comptait de son côté mettre à la mi-journée des bons du trésor à trois ans aux enchères, tandis que les Etats-Unis diffuseront leurs chiffres concernant l'importance des ventes au détail, et l'inflation de leurs coûts de production.