Investing.com - Les options sur l'or ont terminé la semaine sur un faux pas de près de 1%, les négociations destinées à éloigner la menace d'une catastrophe budgétaire américaine restant au premier plan.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour février se sont échangés à 1 716.55 USD de l'once à la clôture des échanges, cédant 0.75% journaliers.
Ils auront ainsi dégringolé de 2.15% hebdomadaires, leur revers le plus important sur une telle période depuis la mi-juin, laizsant échapper 0.4% pour leur second repli mensuel d'affilée.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à court terme à 1 708.35 USD, leur plancher du 28 novembre, et rencontrer de la résistance à 1 733.65 USD, leur plafond de vendredi.
Le spectre du mur fiscal américain, causé par la conjonction au premier janvier de la fin d'importantes réductions d'impôts et l'activation de coupes budgétaires devant représenter un total d'environ 600 milliards d'USD au cas où les élus divisés ne réussiraient pas à trouver un terrain d'entente avec la Maison Blanche au cours des quatre semaines précédant la date fatidique, se situait toujours au premier plan.
John Boehner, à la tête de la chambre des députés, avait semé la frilosité lors de la dernière journée de cotation en affirmant que les parlementaires républicains et l'administration Obama étaient dans l'impasse.
Il a ajouté estimer que la proposition du président consistant à prélever 1.6 billions d'USD de contributions supplémentaires et à procéder à oins de 400 milliards d'USD de réduction des dépenses n'était pas "sérieuse".
Certains craignent ainsi l'histoire se répête et entraîne le même type de luttes partisanes qui avaient poussé Standard & Poor's à priver le pays de son AAA en août 2011, et que celui-si retombe en récession.
Du côté de la zone euro, les élus allemands ont donné vendredi à une large majorité leur feu vert au nouvelles aides à la Grèce.
Les craintes concernant les perspectives économiques de la région n'étaient pas pour autant dissipées, après que des chiffres officiels aient montré le même jour que les ventes au détail de l'Allemagne avaient fortement baissé en octobre et que le taux de chômage de la région avait atteint un nuveau record à 11.7% sur la période considérée.
La prise de cap de la Banque d'Angleterre ainsi que celle de la Banque Centrale Européenne toutes deux prévues jeudi seront au centre des débats de la semaine prochaine.
Les chiffres de vendredi sur l'emploi non agricole aux Etats-Unis seront aussi sous les feux de la rampe, afin d'évaluer la force de la reprise économique nationale et donc l'importance des besoins en nouveaux accommodements de la part de la Réserve Fédérale.
Toute éclaircie pourrait en effet faire revoir leurs probabilités à la baisse, ce qui stimulerait le billet vert et nuirait du même coup aux valeurs libellées avec.
Les futures sur l'argent pour mars ont par ailleurs dérapé de 2.8% lors de la dernière journée de cotation pour conclure à 33.47 USD de l'once, subissant du coup un recul hebdomadaire de 2.15%, mettant ainsi un frein à leur progression mensuelle de 3%.
Celles sur le cuivre à échéance identique ont engrangé 1% lors de l'ultime session, pour se hisser à 3.643 USD la livre dans le même temps, leur plus haut niveau depuis le 22 octobre.
Ils se sont renforcés de 2.85% au cours de la semaine, leur meilleure performance sur un tel laps de temps en plus de deux mois, engrageant ainsi 3.4% en novembre.
Cette poussée est le résultat de l'espoir que la Chine en consomme davantage, gardant sa première part mondiale des besoins de la planète en métal rouge, avec près de 40% l'année dernière.
Il avait été révélé en fin de semaine que l'activité manufacturière de la Chine avait augmenté en novembre pour la seconde fois de suite, renforçant l'espir d'un retour en forme de la seconde économie mondiale.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour février se sont échangés à 1 716.55 USD de l'once à la clôture des échanges, cédant 0.75% journaliers.
Ils auront ainsi dégringolé de 2.15% hebdomadaires, leur revers le plus important sur une telle période depuis la mi-juin, laizsant échapper 0.4% pour leur second repli mensuel d'affilée.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à court terme à 1 708.35 USD, leur plancher du 28 novembre, et rencontrer de la résistance à 1 733.65 USD, leur plafond de vendredi.
Le spectre du mur fiscal américain, causé par la conjonction au premier janvier de la fin d'importantes réductions d'impôts et l'activation de coupes budgétaires devant représenter un total d'environ 600 milliards d'USD au cas où les élus divisés ne réussiraient pas à trouver un terrain d'entente avec la Maison Blanche au cours des quatre semaines précédant la date fatidique, se situait toujours au premier plan.
John Boehner, à la tête de la chambre des députés, avait semé la frilosité lors de la dernière journée de cotation en affirmant que les parlementaires républicains et l'administration Obama étaient dans l'impasse.
Il a ajouté estimer que la proposition du président consistant à prélever 1.6 billions d'USD de contributions supplémentaires et à procéder à oins de 400 milliards d'USD de réduction des dépenses n'était pas "sérieuse".
Certains craignent ainsi l'histoire se répête et entraîne le même type de luttes partisanes qui avaient poussé Standard & Poor's à priver le pays de son AAA en août 2011, et que celui-si retombe en récession.
Du côté de la zone euro, les élus allemands ont donné vendredi à une large majorité leur feu vert au nouvelles aides à la Grèce.
Les craintes concernant les perspectives économiques de la région n'étaient pas pour autant dissipées, après que des chiffres officiels aient montré le même jour que les ventes au détail de l'Allemagne avaient fortement baissé en octobre et que le taux de chômage de la région avait atteint un nuveau record à 11.7% sur la période considérée.
La prise de cap de la Banque d'Angleterre ainsi que celle de la Banque Centrale Européenne toutes deux prévues jeudi seront au centre des débats de la semaine prochaine.
Les chiffres de vendredi sur l'emploi non agricole aux Etats-Unis seront aussi sous les feux de la rampe, afin d'évaluer la force de la reprise économique nationale et donc l'importance des besoins en nouveaux accommodements de la part de la Réserve Fédérale.
Toute éclaircie pourrait en effet faire revoir leurs probabilités à la baisse, ce qui stimulerait le billet vert et nuirait du même coup aux valeurs libellées avec.
Les futures sur l'argent pour mars ont par ailleurs dérapé de 2.8% lors de la dernière journée de cotation pour conclure à 33.47 USD de l'once, subissant du coup un recul hebdomadaire de 2.15%, mettant ainsi un frein à leur progression mensuelle de 3%.
Celles sur le cuivre à échéance identique ont engrangé 1% lors de l'ultime session, pour se hisser à 3.643 USD la livre dans le même temps, leur plus haut niveau depuis le 22 octobre.
Ils se sont renforcés de 2.85% au cours de la semaine, leur meilleure performance sur un tel laps de temps en plus de deux mois, engrageant ainsi 3.4% en novembre.
Cette poussée est le résultat de l'espoir que la Chine en consomme davantage, gardant sa première part mondiale des besoins de la planète en métal rouge, avec près de 40% l'année dernière.
Il avait été révélé en fin de semaine que l'activité manufacturière de la Chine avait augmenté en novembre pour la seconde fois de suite, renforçant l'espir d'un retour en forme de la seconde économie mondiale.