Investing.com - Les places d'Asie étaient en forme ce jeudi matin, la popularité des valeurs dépendantes de la croissance ayant repris du mordant après qu'il ait été montré que le commerce extérieur chinois avait davantage progressé en décembre qu'espéré.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong prenait 0.8%, l'ASX/200 australien 0.3% et le Nikkei 225 japonais 0.7%.
Le moral est en effet revenu après qu'une étude officielle venue de Chine ait montré un bond de 14.1% des exportations pour le mois dernier par rapport à l'année dernière, pulvérisant les 5% attendus après les 2.9% précédents.
Les importations ont quand à elles augmenté de 6% sur une période identique, dépassant là aussi les 3.5% envisagés suite à la stagnation de novembre.
La net regain des expéditions a du coup propulsé le solde positif de la balance commerciale nationale depuis 19.6 vers 31.6 milliards d'USD.
Hong Kong se réjouissait du coup des avancées des valeurs dépendantes des perspectives de croissance chinoises.
L'Aluminum Corporation of China, alias CHALCO, a ainsi engrangé 7% après que son collègue aluminier américain Alcoa ait revendiqué des profits dépassant les espérances, estimant que la demande pour le métal devrait augmenter de 7% en 2013, au lieu des 6% de 2012.
Klaus Kleinfeld, son directeur général, a ajouté que la Chine, dont les exigences en aluminium et en cuivre sont les plus importantes au monde, demanderait 11% de plus du premier, en raison des dépenses de stimulation annoncées par la nouvelle équipe politique.
La finance n'était pas en reste, la China Construction Bank shares gagnant 1.4%, l'Industrial and Commercial Bank of China 1.5% et la Bank of China 1.7%.
Tokyo a aussi suivi un chemin ascendant, le yen s'affaiblissant par rapport au dollar U.S. tandis que les yeux se tournaient vers la prise de cap de la Banque du Japon du 22 janvier.
La devise nippone s'est retrouvée au plus bas depuis juillet 2010, ravivant les espoirs d'exportations florissantes.
Les constructeurs automobiles Mazda et Honda ont du coup avancé respectivement de 10.1 et 2.5%, et le fournisseur de matériel électronique grand public Sony de 3.4%.
L'indice vedette nippon a grimpé de près de 20% depuis la mi-décembre, dans l'expectative de mesures monétaires agressives de la part de la banque centrale du pays, sous la pression de Shinzo Abe, premier ministre sur le retour.
Les entreprises tournées vers l'extérieur s'étaient portées en tête de peloton, la perte de vitesse actuelle de l'unité monétaire de l'archipel renforçant leurs perspectives de revenus à l'étranger.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui modestement positif, sur fond de prudence à l'approche de la réunion de la Banque Centrale Européenne d'aujourd'hui.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyaient une hausse de 0.2%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 0.25%, celles sur le DAX 30 allemand à 0.3% et sur le FTSE 100 britannique à 0.2%.
L'Espagne et l'Italie comptaient toutes deux tenir des enchères d'obligations en milieu de journée, que les Etats-Unis concluront de leur côté avec leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong prenait 0.8%, l'ASX/200 australien 0.3% et le Nikkei 225 japonais 0.7%.
Le moral est en effet revenu après qu'une étude officielle venue de Chine ait montré un bond de 14.1% des exportations pour le mois dernier par rapport à l'année dernière, pulvérisant les 5% attendus après les 2.9% précédents.
Les importations ont quand à elles augmenté de 6% sur une période identique, dépassant là aussi les 3.5% envisagés suite à la stagnation de novembre.
La net regain des expéditions a du coup propulsé le solde positif de la balance commerciale nationale depuis 19.6 vers 31.6 milliards d'USD.
Hong Kong se réjouissait du coup des avancées des valeurs dépendantes des perspectives de croissance chinoises.
L'Aluminum Corporation of China, alias CHALCO, a ainsi engrangé 7% après que son collègue aluminier américain Alcoa ait revendiqué des profits dépassant les espérances, estimant que la demande pour le métal devrait augmenter de 7% en 2013, au lieu des 6% de 2012.
Klaus Kleinfeld, son directeur général, a ajouté que la Chine, dont les exigences en aluminium et en cuivre sont les plus importantes au monde, demanderait 11% de plus du premier, en raison des dépenses de stimulation annoncées par la nouvelle équipe politique.
La finance n'était pas en reste, la China Construction Bank shares gagnant 1.4%, l'Industrial and Commercial Bank of China 1.5% et la Bank of China 1.7%.
Tokyo a aussi suivi un chemin ascendant, le yen s'affaiblissant par rapport au dollar U.S. tandis que les yeux se tournaient vers la prise de cap de la Banque du Japon du 22 janvier.
La devise nippone s'est retrouvée au plus bas depuis juillet 2010, ravivant les espoirs d'exportations florissantes.
Les constructeurs automobiles Mazda et Honda ont du coup avancé respectivement de 10.1 et 2.5%, et le fournisseur de matériel électronique grand public Sony de 3.4%.
L'indice vedette nippon a grimpé de près de 20% depuis la mi-décembre, dans l'expectative de mesures monétaires agressives de la part de la banque centrale du pays, sous la pression de Shinzo Abe, premier ministre sur le retour.
Les entreprises tournées vers l'extérieur s'étaient portées en tête de peloton, la perte de vitesse actuelle de l'unité monétaire de l'archipel renforçant leurs perspectives de revenus à l'étranger.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui modestement positif, sur fond de prudence à l'approche de la réunion de la Banque Centrale Européenne d'aujourd'hui.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyaient une hausse de 0.2%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 0.25%, celles sur le DAX 30 allemand à 0.3% et sur le FTSE 100 britannique à 0.2%.
L'Espagne et l'Italie comptaient toutes deux tenir des enchères d'obligations en milieu de journée, que les Etats-Unis concluront de leur côté avec leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage.