Investing.com - Les bourses européennes étaient ne se laissaient majoritairement pas abattre ce jeudi, bien que la situation de la zone euro soit redevenue un motif d'inquiétude suite à des coups de freins dépassant les craintes pour la croissance de la France et de l'Allemagne.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.21%, le CAC 40 français de 0.2%, et le DAX 30 allemand de 0.12%.
L'atmosphère s'est en effet nettement assombrie après qu'il ait été déploré que l'économie de l'Allemagne, la plus grosse du bloc, a ainsi fondu de 0.6% au cours des trois derniers mois de l'année, faisant ainsi pire que les 0.5% redoutés, après avoir pourtant grignoté 0.2% lors de la période précédente.
Celle de la France a elle aussi déçu en fléchissant de 0.3% dans le même temps malgré l'arrachage de 0.1% auparavant, alors que les experts pensaient que les dégâts de limiteraient à 0.3%.
La finance s'en ressentait, les allemands Commerzbank et Deutsche Bank trébuchant respectivement de 0.2 et 0.05%, le français Société Générale faisant bien pire avec 1.49%.
Son compatriote BNP Paribas a par contre émergé de 2.79% suite à l'augmentation de son dividende.
La périphérie était elle aussi en recul, les espagnols Banco Santander et BBVA laissant échapper 1.56 et 0.83%, tandis que l'italien Unicredit sauvait les meubles avec un passage à vide de 0.18%.
Le fabricant de téléphones mobiles Nokia plongeait quand à lui de 2.32% sur fond de rumeurs selon lesquelles il envisagerait, tout comme Apple, de réduire sa dépendance envers les composants de son concurrent coréen Samsung.
A Londres, le FTSE 100 se rétractait de 0.05%, toujours tiré vers le bas après que la Banque d'Angleterre ait révélé hier que l'inflation demeurerait supérieure à ses objectifs jusqu'au début 2016.
La City n'était cependant pas unanime, la Royal Bank of Scotland et Barclays chutant de 0.21 et 0.28%, tandis que HSBC Holdings et Lloyds Banking arrachaient tous les deux 0.14%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières avaient par contre le vent en poupe, le mastodonte minier BHP Billiton en tête avec 1.3%, suivi de Rio Tinto avec 0.92%, les cuivriers Kazakhmys et Xstrata n'étant pas en reste avec 0.33 et 0.04%.
Reckitt Benckiser, spécialiste des produits ménagers, et fournisseur des médicaments Lemsip, Nurofen et des pastilles pour la gorge Strepsils, empochait quand à lui 1.73% après avoir revendiqué une augmentation de 6% de son chiffre d'affaires sur les trois derniers mois de l'année, pour un total annuel de 9.6 milliards de GBP.
Les perspectives des marchés américains étaient pour leur part modérément pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.01%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.05% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.16%.
Les autorités de la zone euro devraient pour leur part communiquer aujourd'hui l'évaluation préliminaire des performances de l'économie régionale, les Etats-Unis comptant de leur côté conclure la journée avec leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.21%, le CAC 40 français de 0.2%, et le DAX 30 allemand de 0.12%.
L'atmosphère s'est en effet nettement assombrie après qu'il ait été déploré que l'économie de l'Allemagne, la plus grosse du bloc, a ainsi fondu de 0.6% au cours des trois derniers mois de l'année, faisant ainsi pire que les 0.5% redoutés, après avoir pourtant grignoté 0.2% lors de la période précédente.
Celle de la France a elle aussi déçu en fléchissant de 0.3% dans le même temps malgré l'arrachage de 0.1% auparavant, alors que les experts pensaient que les dégâts de limiteraient à 0.3%.
La finance s'en ressentait, les allemands Commerzbank et Deutsche Bank trébuchant respectivement de 0.2 et 0.05%, le français Société Générale faisant bien pire avec 1.49%.
Son compatriote BNP Paribas a par contre émergé de 2.79% suite à l'augmentation de son dividende.
La périphérie était elle aussi en recul, les espagnols Banco Santander et BBVA laissant échapper 1.56 et 0.83%, tandis que l'italien Unicredit sauvait les meubles avec un passage à vide de 0.18%.
Le fabricant de téléphones mobiles Nokia plongeait quand à lui de 2.32% sur fond de rumeurs selon lesquelles il envisagerait, tout comme Apple, de réduire sa dépendance envers les composants de son concurrent coréen Samsung.
A Londres, le FTSE 100 se rétractait de 0.05%, toujours tiré vers le bas après que la Banque d'Angleterre ait révélé hier que l'inflation demeurerait supérieure à ses objectifs jusqu'au début 2016.
La City n'était cependant pas unanime, la Royal Bank of Scotland et Barclays chutant de 0.21 et 0.28%, tandis que HSBC Holdings et Lloyds Banking arrachaient tous les deux 0.14%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières avaient par contre le vent en poupe, le mastodonte minier BHP Billiton en tête avec 1.3%, suivi de Rio Tinto avec 0.92%, les cuivriers Kazakhmys et Xstrata n'étant pas en reste avec 0.33 et 0.04%.
Reckitt Benckiser, spécialiste des produits ménagers, et fournisseur des médicaments Lemsip, Nurofen et des pastilles pour la gorge Strepsils, empochait quand à lui 1.73% après avoir revendiqué une augmentation de 6% de son chiffre d'affaires sur les trois derniers mois de l'année, pour un total annuel de 9.6 milliards de GBP.
Les perspectives des marchés américains étaient pour leur part modérément pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.01%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.05% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.16%.
Les autorités de la zone euro devraient pour leur part communiquer aujourd'hui l'évaluation préliminaire des performances de l'économie régionale, les Etats-Unis comptant de leur côté conclure la journée avec leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage.