Investing.com - Les options sur le brut gardaient le sourire ce jeudi, bien que des informations aient mis en relief des reculs des économies de la zone euro.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour mars se sont échangés à 97.31 USD le baril en première partie de séance européenne, s'élevant de 0.3%.
Ils avaient auparavant hésité dans une bande limitée entre 96.94 USD, leur cours le plus bas du jour, et 97.38 USD, leur meilleur, après avoir culminé hier à 98.09 USD, leur plus forte valeur depuis le premier février.
L'atmosphère s'est en effet nettement assombrie après qu'il ait été déploré que l'économie de l'Allemagne, la plus grosse du bloc, a ainsi fondu de 0.6% au cours des trois derniers mois de l'année, faisant ainsi pire que les 0.5% redoutés, après avoir pourtant grignoté 0.2% lors de la période précédente.
Celle de la France a elle aussi déçu en fléchissant de 0.3% dans le même temps malgré l'arrachage de 0.1% auparavant, alors que les experts pensaient que les dégâts de limiteraient à 0.3%.
Il était aussi à noter que celle de l'Italie avait sombré de 0.9% dans ce laps de temps, au lieu des 0.6% qui étaient pourtant craints.
Les autorités de la région devraient pour leur part communiquer l'évaluation préliminaire des performances de la zone entière en cours de journée.
Une autre étude avait aussi fait savoir à l'aube que le produit intérieur brut japonais, le troisième au monde, avait trébuché de 0.1% entre début octobre et fin décembre, alors qu'un frémisement de 0.1% était espéré.
Ces nouvelles peu réjouissantes ont du coup poussé les opérateurs à bouder les valeurs risquées et à se recentrer sur l'étalon américain, leur offrant une sécurité relative.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a ainsi engrangé 0.3% pour se situer à 80.44.
Les contrats sur le pétrole, libellés en dollars, ont tendance à descendre quand ce dernier monte, les rendant plus coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
Mais la prudence restait de mise dans l'expectative de la réunion du groupe des 20 pays les plus développés en fin de semaine à Moscou, qui devrait s'articuler autour de discussions concernant les dévaluations monétaires visant à doper la compétitivité.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour avril ont gagné 0.25% pour grimper à 118.18 USD du baril dans le même temps, soit 20.87 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Cet écart avait dépassé lundi les 23 USD en raison du spectre d'un engorgement pétrolier dans la région du Midwest des Etats-Unis.
Leurs cours, établis à Londres, avaient culminé la semaine passée au plus haut des neuf derniers mois grâce à des signes d'accélération provenant de la Chine, ainsi qu'aux incertitudes concernant les flux suite aux confits touchant le Moyen-Orient et l'Afrique du Nord.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour mars se sont échangés à 97.31 USD le baril en première partie de séance européenne, s'élevant de 0.3%.
Ils avaient auparavant hésité dans une bande limitée entre 96.94 USD, leur cours le plus bas du jour, et 97.38 USD, leur meilleur, après avoir culminé hier à 98.09 USD, leur plus forte valeur depuis le premier février.
L'atmosphère s'est en effet nettement assombrie après qu'il ait été déploré que l'économie de l'Allemagne, la plus grosse du bloc, a ainsi fondu de 0.6% au cours des trois derniers mois de l'année, faisant ainsi pire que les 0.5% redoutés, après avoir pourtant grignoté 0.2% lors de la période précédente.
Celle de la France a elle aussi déçu en fléchissant de 0.3% dans le même temps malgré l'arrachage de 0.1% auparavant, alors que les experts pensaient que les dégâts de limiteraient à 0.3%.
Il était aussi à noter que celle de l'Italie avait sombré de 0.9% dans ce laps de temps, au lieu des 0.6% qui étaient pourtant craints.
Les autorités de la région devraient pour leur part communiquer l'évaluation préliminaire des performances de la zone entière en cours de journée.
Une autre étude avait aussi fait savoir à l'aube que le produit intérieur brut japonais, le troisième au monde, avait trébuché de 0.1% entre début octobre et fin décembre, alors qu'un frémisement de 0.1% était espéré.
Ces nouvelles peu réjouissantes ont du coup poussé les opérateurs à bouder les valeurs risquées et à se recentrer sur l'étalon américain, leur offrant une sécurité relative.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a ainsi engrangé 0.3% pour se situer à 80.44.
Les contrats sur le pétrole, libellés en dollars, ont tendance à descendre quand ce dernier monte, les rendant plus coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
Mais la prudence restait de mise dans l'expectative de la réunion du groupe des 20 pays les plus développés en fin de semaine à Moscou, qui devrait s'articuler autour de discussions concernant les dévaluations monétaires visant à doper la compétitivité.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour avril ont gagné 0.25% pour grimper à 118.18 USD du baril dans le même temps, soit 20.87 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Cet écart avait dépassé lundi les 23 USD en raison du spectre d'un engorgement pétrolier dans la région du Midwest des Etats-Unis.
Leurs cours, établis à Londres, avaient culminé la semaine passée au plus haut des neuf derniers mois grâce à des signes d'accélération provenant de la Chine, ainsi qu'aux incertitudes concernant les flux suite aux confits touchant le Moyen-Orient et l'Afrique du Nord.