Investing.com - Les bourses européennes évoluaient en ordre dispersé ce mercredi après-midi, alors que les yeux se tournaient désormais vers les bilans des entreprises.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 trébuchait de 0.2%, et le CAC 40 français de 0.25%, le DAX 30 allemand arrachant par contre 0.1%.
Mais l'hésitation à prolonger l'offensive d'hier se faisait grande alors que les performances revenaient sur le devant de la scène.
A Francfort, Deutsche Lufthansa plongeant de 4.7% suite à l'aveu de la suspension de son dividende pour la première fois depuis 2010 afin de préserver sa trésorerie.
La compagnie de télécommunications néerlandaise Royal KPN faisait encore pire avec 8.5% après avoir annoncé compter lever 4 milliards d'euros de capitaux supplémentaires avec l'aide de son actionnaire principal, le mexicain America Movil.
Mais tout n'était cependant pas désespéré, le cimentier Lafarge bétonannt sa position de 6.9% a Paris grâce à des rentrées dépassant les estimations des experts, ainsi qu'à la confirmation de ses objectifs de réduction d'endettement.
La banque Crédit Agricole empochait là-bas 5.5%, malgré des pertes supérieures aux craintes pour le quatrième trimestre, suite à la dépréciation des écarts d'acquisition de sa division d'affaires et de sa branche italienne.
Mais le reste du secteur financier restait sur la défensive, à l'approche des élections législatives à l'horizon de la fin du mois en italie, avec la peur qu'un parlement sans majorité claire ne freine l'avancée des réformes économiques.
L'espagnol Banco Santander dérapait du coup de 0.7%, le français BNP Paribas de 1.4% et l'italien Unicredit de 1.5%.
A Londres, le FTSE 100 a connu une poussée de 0.5%, après que le compte-rendu de la plus récente prise de cap de la Banque d'Angleterre ait alimenté les rumeurs d'accommodements supplémentaires.
Il soulignait ce matin que les membres du conseil directeur de la banque centrale britannique avaient voté à trois contre six concernant l'éventuelle augmentation du montant de ses achats d'actifs depuis 375 jusqu'à 400 milliards de GBP, option ayant la faveur de Mervyn King, son gouverneur, et finalement abandonnée.
Une étude officielle signalait quand à elle 12 500 demandeurs d'emploi inscrits de moins dans le pays pour janvier, au lieu des 5 000 espérés.
Le mastodonte minier BHP Billiton fondait toutefois de 2.5% après avoir déploré un effondrement de 43% de ses profits nets hors éléments ponctuels au premier semestre fiscal, pour se retrouver à 3.81 milliards de GBP.
Il a aussi annoncé que son directeur général Marius Kloppers prendrait une retraite imminente, et serait remplacé par Andrew McKenzie, actuellement à la tête de la division non-ferreuse.
Le RSA insurance Group s'effondrait de 14.4%, ce poids lourd des assurance ayant raboté de 33% son dividende pour le second semestre 2012.
Les perspectives des marchés américains étaient pour leur part guère enthousiastes, guettant la publication du procès-verbal du dernier conseil de direction de la Réserve Fédérale.
Les options sur le Dow Jones prévoyaient ne variaient guère, celles sur le S&P 500 non plus, et celles sur le Nasdaq 100 trébuchaient de 0.1%.
Les autorités des Etats-Unis comptaient de son côté conclure la journée avec le nombre des permis de construire qu'elles ont accordés, ainsi que celui des constructions entamées.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 trébuchait de 0.2%, et le CAC 40 français de 0.25%, le DAX 30 allemand arrachant par contre 0.1%.
Mais l'hésitation à prolonger l'offensive d'hier se faisait grande alors que les performances revenaient sur le devant de la scène.
A Francfort, Deutsche Lufthansa plongeant de 4.7% suite à l'aveu de la suspension de son dividende pour la première fois depuis 2010 afin de préserver sa trésorerie.
La compagnie de télécommunications néerlandaise Royal KPN faisait encore pire avec 8.5% après avoir annoncé compter lever 4 milliards d'euros de capitaux supplémentaires avec l'aide de son actionnaire principal, le mexicain America Movil.
Mais tout n'était cependant pas désespéré, le cimentier Lafarge bétonannt sa position de 6.9% a Paris grâce à des rentrées dépassant les estimations des experts, ainsi qu'à la confirmation de ses objectifs de réduction d'endettement.
La banque Crédit Agricole empochait là-bas 5.5%, malgré des pertes supérieures aux craintes pour le quatrième trimestre, suite à la dépréciation des écarts d'acquisition de sa division d'affaires et de sa branche italienne.
Mais le reste du secteur financier restait sur la défensive, à l'approche des élections législatives à l'horizon de la fin du mois en italie, avec la peur qu'un parlement sans majorité claire ne freine l'avancée des réformes économiques.
L'espagnol Banco Santander dérapait du coup de 0.7%, le français BNP Paribas de 1.4% et l'italien Unicredit de 1.5%.
A Londres, le FTSE 100 a connu une poussée de 0.5%, après que le compte-rendu de la plus récente prise de cap de la Banque d'Angleterre ait alimenté les rumeurs d'accommodements supplémentaires.
Il soulignait ce matin que les membres du conseil directeur de la banque centrale britannique avaient voté à trois contre six concernant l'éventuelle augmentation du montant de ses achats d'actifs depuis 375 jusqu'à 400 milliards de GBP, option ayant la faveur de Mervyn King, son gouverneur, et finalement abandonnée.
Une étude officielle signalait quand à elle 12 500 demandeurs d'emploi inscrits de moins dans le pays pour janvier, au lieu des 5 000 espérés.
Le mastodonte minier BHP Billiton fondait toutefois de 2.5% après avoir déploré un effondrement de 43% de ses profits nets hors éléments ponctuels au premier semestre fiscal, pour se retrouver à 3.81 milliards de GBP.
Il a aussi annoncé que son directeur général Marius Kloppers prendrait une retraite imminente, et serait remplacé par Andrew McKenzie, actuellement à la tête de la division non-ferreuse.
Le RSA insurance Group s'effondrait de 14.4%, ce poids lourd des assurance ayant raboté de 33% son dividende pour le second semestre 2012.
Les perspectives des marchés américains étaient pour leur part guère enthousiastes, guettant la publication du procès-verbal du dernier conseil de direction de la Réserve Fédérale.
Les options sur le Dow Jones prévoyaient ne variaient guère, celles sur le S&P 500 non plus, et celles sur le Nasdaq 100 trébuchaient de 0.1%.
Les autorités des Etats-Unis comptaient de son côté conclure la journée avec le nombre des permis de construire qu'elles ont accordés, ainsi que celui des constructions entamées.