Investing.com - Les bourses européennes étaient en forme ce mercredi matin, le moral étant encouragé par l'espoir de nouveaux accommodements de la part des banques centrales mondiales, mais il restait entravé par l'horizon de la réunion que tiendra demain la Banque Centrale Européenne.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.19%, le CAC 40 français de 0.35%, et le DAX 30 allemand de 0.47%.
L'optimisme règnait à l'idée d'apports de capitaux renouvelés provenant de la Réserve Fédérale et de la Banque du Japon, mais aussi grâce aux signes de reprise américains.
Mais la prudence restait de mise à l'approche des prises de cap de la BCE et de la Banque d'Angleterre prévues jeudi, ainsi que des chiffres de l'emploi non agricole des Etats-Unis de vendredi.
Les craintes gravitant autour des incertitudes politiques persistaient à hanter l'Italie, alors qu'il se disait que le président Giorgio Napolitano envisageait de nommer un gouvernement technocratique suite à l'impasse générée par les dernières élections.
La finance était cependant plutôt en retrait, malgré l'émergence de 0.35% de l'allemand Commerzbank, son compatriote Deutsche Bank chutant de 0.79% et les français BNP Paribas et Société Générale l'imitaient respectivement de 0.25 et 0.9%.
Il en était de même à la périphérie, l'espagnol Banco Santander trébuchant de 0.01%, suivi des italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit avec 0.4 et 0.01%.
Mais parmi les bonnes nouvelles, on pouvait noter qu'en Allemagne, Henkel engrangeait 1.53% après avoir revendiqué 4% d'augmentation de ses revenus comparables au quatrième trimestre, dépassant ainsi les estimations des analystes.
A Londres, le FTSE 100, a conquis 0.24%, tiré vers le haut par des prix de l'immobilier britannique dépassant les prédictions pour février.
L'assureur automobile Admiral Group menait la charge avec 5.72% grâce à des profits bruts atteeignant 345 millions de GBP pour l'année passée, soit 15% de plus qu'en 2011.
L'opérateur de téléphonie mobile Vodafone était aussi en première ligne avec 5.59%, après que l'agence de presse Bloomberg ait révélé qu'il aurait étudié en décembre avec son collègue américain Verizon toute une panoplie d'options stratégiques pour faire évoluer leurs relations.
La City était par contre moins unanime, Lloyds Banking accrochant 0.19% et HSBC Holdings 0.2, tandis que la Royal Bank of Scotland et Barclays dérapaient de 0.34 et 0.87%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont également souffert, les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto fondant de 0.89 et 1.53%, les cuivriers Kazakhmys et Xstrata n'étant pas en reste avec 0.29 et 0.53%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.22%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.24% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.17%.
La zone euro comptait diffuser aujourd'hui l'évolution de son produit intérieur brut sur les trois derniers mois de l'année passée, après quoi l'agence de gestion des ressources humaines ADP rendra son rapport sur la masse salariale non agricole des Etats-Unis, qui de leur côté feront connaître le volume des commandes passées auprès des usines.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.19%, le CAC 40 français de 0.35%, et le DAX 30 allemand de 0.47%.
L'optimisme règnait à l'idée d'apports de capitaux renouvelés provenant de la Réserve Fédérale et de la Banque du Japon, mais aussi grâce aux signes de reprise américains.
Mais la prudence restait de mise à l'approche des prises de cap de la BCE et de la Banque d'Angleterre prévues jeudi, ainsi que des chiffres de l'emploi non agricole des Etats-Unis de vendredi.
Les craintes gravitant autour des incertitudes politiques persistaient à hanter l'Italie, alors qu'il se disait que le président Giorgio Napolitano envisageait de nommer un gouvernement technocratique suite à l'impasse générée par les dernières élections.
La finance était cependant plutôt en retrait, malgré l'émergence de 0.35% de l'allemand Commerzbank, son compatriote Deutsche Bank chutant de 0.79% et les français BNP Paribas et Société Générale l'imitaient respectivement de 0.25 et 0.9%.
Il en était de même à la périphérie, l'espagnol Banco Santander trébuchant de 0.01%, suivi des italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit avec 0.4 et 0.01%.
Mais parmi les bonnes nouvelles, on pouvait noter qu'en Allemagne, Henkel engrangeait 1.53% après avoir revendiqué 4% d'augmentation de ses revenus comparables au quatrième trimestre, dépassant ainsi les estimations des analystes.
A Londres, le FTSE 100, a conquis 0.24%, tiré vers le haut par des prix de l'immobilier britannique dépassant les prédictions pour février.
L'assureur automobile Admiral Group menait la charge avec 5.72% grâce à des profits bruts atteeignant 345 millions de GBP pour l'année passée, soit 15% de plus qu'en 2011.
L'opérateur de téléphonie mobile Vodafone était aussi en première ligne avec 5.59%, après que l'agence de presse Bloomberg ait révélé qu'il aurait étudié en décembre avec son collègue américain Verizon toute une panoplie d'options stratégiques pour faire évoluer leurs relations.
La City était par contre moins unanime, Lloyds Banking accrochant 0.19% et HSBC Holdings 0.2, tandis que la Royal Bank of Scotland et Barclays dérapaient de 0.34 et 0.87%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont également souffert, les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto fondant de 0.89 et 1.53%, les cuivriers Kazakhmys et Xstrata n'étant pas en reste avec 0.29 et 0.53%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.22%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.24% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.17%.
La zone euro comptait diffuser aujourd'hui l'évolution de son produit intérieur brut sur les trois derniers mois de l'année passée, après quoi l'agence de gestion des ressources humaines ADP rendra son rapport sur la masse salariale non agricole des Etats-Unis, qui de leur côté feront connaître le volume des commandes passées auprès des usines.