Investing.com - La livre sterling a glissé dans une ornière journalière face au dollar U.S. ce mercredi, après que des chiffres officiels aient confirmé que l'économie où elle a cours avait reculé au dernier trimestre de l'année 2012, tandis que sa croissance annuelle se trouvait revue à la baisse.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1.512 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas depuis le 21 mars, puis s'est stabilisée vers 1.5131, perdant 0.19%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.5072, son plancher du 19 mars, et de rencontrer de la résistance à 1.5206, son plafond de mardi.
Le bureau britannique des statistiques a en effet déploré une rétraction du produit intérieur brut de 0.3% entre début octobre et fin décembre, conformément aux projections et aux évaluations préliminaires.
Il a aussi révisé l'expansion économique annuelle vers le bas, passant de 0.3 vers 0.2%.
La médiocrité de la croissance était justifiée par une série de facteurs ponctuels.
Le mauvais temps et la perte d'une journée de travail en raison du jubilé de diamant de la reine étaient invoqués concernant la contre-performance du second trimestre, le troisième profitant par contre des jeux olympiques et paralympiques, qui ont pu entraîner un passage à vide par contraste au quatrième.
La devise a par ailleurs gagné du terrain sur l'euro, l'EUR/GBP glissant de 0.26% pour chuter à 0.8461.
La monnaie unique demeurait fragilisée par la nervosité étant grande en raison des craintes au sujet de la stabilité financière de la zone euro et des incertitudes politiques persistantes italiennes.
L'atmosphère était assombrie par l'épouvantail d'un précédent constitué par la méthode chypriote, et donc que d'éventuels sauvetages futurs des établissements financiers au sein du bloc l'ayant adoptée risquent de se dérouler aux dépens directs des gros épargnants.
L'Italie comptait quand à elle procéder aujourd'hui à une mise aux enchères d'obligations décennales, tandis que leurs spécialistes de l'immobilier des Etats-Unis achèveront la journée avec le nombre des ventes de logements en cours.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1.512 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas depuis le 21 mars, puis s'est stabilisée vers 1.5131, perdant 0.19%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.5072, son plancher du 19 mars, et de rencontrer de la résistance à 1.5206, son plafond de mardi.
Le bureau britannique des statistiques a en effet déploré une rétraction du produit intérieur brut de 0.3% entre début octobre et fin décembre, conformément aux projections et aux évaluations préliminaires.
Il a aussi révisé l'expansion économique annuelle vers le bas, passant de 0.3 vers 0.2%.
La médiocrité de la croissance était justifiée par une série de facteurs ponctuels.
Le mauvais temps et la perte d'une journée de travail en raison du jubilé de diamant de la reine étaient invoqués concernant la contre-performance du second trimestre, le troisième profitant par contre des jeux olympiques et paralympiques, qui ont pu entraîner un passage à vide par contraste au quatrième.
La devise a par ailleurs gagné du terrain sur l'euro, l'EUR/GBP glissant de 0.26% pour chuter à 0.8461.
La monnaie unique demeurait fragilisée par la nervosité étant grande en raison des craintes au sujet de la stabilité financière de la zone euro et des incertitudes politiques persistantes italiennes.
L'atmosphère était assombrie par l'épouvantail d'un précédent constitué par la méthode chypriote, et donc que d'éventuels sauvetages futurs des établissements financiers au sein du bloc l'ayant adoptée risquent de se dérouler aux dépens directs des gros épargnants.
L'Italie comptait quand à elle procéder aujourd'hui à une mise aux enchères d'obligations décennales, tandis que leurs spécialistes de l'immobilier des Etats-Unis achèveront la journée avec le nombre des ventes de logements en cours.