Investing.com - Le dollar U.S. a laissé le yen prendre l'avantage ce mardi matin, après que l'émettrice de ce dernier ait déçu par l'absence de mesures destinées à en limiter la volatilité.
La paire USD/JPY est descendue jusqu'à 97,71 en fin de séance asiatique, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 98,34, perdant 0,41%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 97,50, son plancher psychologique le plus proche, et de rencontrer de la résistance à 100,45, son plafond du 5 juin.
La devise nippone a en effet repris des couleurs dans le sillage du dérapage à l'aube de la bourse de Tokyo, après que la Banque du Japon ait gardé son cap précédent, ne proposant pas de solutions pour limiter le chaos règnant sur le marché obligataire national.
Elle s'est réjoui d'un sursaut de l'économie au lendemain d'une étude affirmant qu'elle avait bondi de 4,1% au premier trimestre, au lieu des 3,5% évalués au préalable.
La question de l'éventuelle réduction dès cette année des apports de capitaux de l'émettrice de ce dernier demeurant au centre des débats.
Les rumeurs selon lesquelles la Réserve Fédérale réduirait bientôt le volume de ses injections de liquidités allaient bon train dans le sillage des résultats modérément positifs du marché de l'emploi des Etats-Unis, ces derniers ayant aussi vu l'agence Standard & Poor's en revoir hier vers le haut les perspectives de notation à long terme, depuis la négativité vers la stabilité, invoquant l'amélioration de leur situation économique.
La monnaie du pays du soleil levant a par ailleurs gagné du terrain sur l'euro, l'EUR/JPY dérapant de 0,37% pour glisser à 130,39.
La plus haute instance juridique allemande devrait pour sa part rendre aujourd'hui son verdict concernant la constitutionnalité du plan de rachats d'actifs de la Banque Centrale Européenne.
La paire USD/JPY est descendue jusqu'à 97,71 en fin de séance asiatique, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 98,34, perdant 0,41%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 97,50, son plancher psychologique le plus proche, et de rencontrer de la résistance à 100,45, son plafond du 5 juin.
La devise nippone a en effet repris des couleurs dans le sillage du dérapage à l'aube de la bourse de Tokyo, après que la Banque du Japon ait gardé son cap précédent, ne proposant pas de solutions pour limiter le chaos règnant sur le marché obligataire national.
Elle s'est réjoui d'un sursaut de l'économie au lendemain d'une étude affirmant qu'elle avait bondi de 4,1% au premier trimestre, au lieu des 3,5% évalués au préalable.
La question de l'éventuelle réduction dès cette année des apports de capitaux de l'émettrice de ce dernier demeurant au centre des débats.
Les rumeurs selon lesquelles la Réserve Fédérale réduirait bientôt le volume de ses injections de liquidités allaient bon train dans le sillage des résultats modérément positifs du marché de l'emploi des Etats-Unis, ces derniers ayant aussi vu l'agence Standard & Poor's en revoir hier vers le haut les perspectives de notation à long terme, depuis la négativité vers la stabilité, invoquant l'amélioration de leur situation économique.
La monnaie du pays du soleil levant a par ailleurs gagné du terrain sur l'euro, l'EUR/JPY dérapant de 0,37% pour glisser à 130,39.
La plus haute instance juridique allemande devrait pour sa part rendre aujourd'hui son verdict concernant la constitutionnalité du plan de rachats d'actifs de la Banque Centrale Européenne.