Investing.com - Le dollar U.S. était en berne face à la plupart de ses concurrents ce mardi matin, après que l'émettrice de son homologue japonais ait déçu par l'absence de mesures destinées à en limiter la volatilité.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant le yen, l'USD/JPY trébuchant de 0,60% pour se retrouver à 98,15.
La devise nippone a en effet repris des couleurs dans le sillage du dérapage à l'aube de la bourse de Tokyo, après que la Banque du Japon ait gardé son cap précédent, ne proposant pas de solutions pour limiter le chaos règnant sur le marché obligataire national.
Elle s'est réjoui d'un sursaut de l'économie au lendemain d'une étude affirmant qu'elle avait bondi de 4,1% au premier trimestre, au lieu des 3,5% évalués au préalable.
La question de l'éventuelle réduction dès cette année des apports de capitaux de l'émettrice de ce dernier demeurant au centre des débats.
Les rumeurs selon lesquelles la Réserve Fédérale réduirait bientôt le volume de ses injections de liquidités allaient bon train dans le sillage des résultats modérément positifs du marché de l'emploi des Etats-Unis, ces derniers ayant aussi vu l'agence Standard & Poor's en revoir hier vers le haut les perspectives de notation à long terme, depuis la négativité vers la stabilité, invoquant l'amélioration de leur situation économique.
Il en était de même, dans une moindre proportion, contre l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,08% pour grimper à 1,3266.
Le billet vert a par contre repris du terrain à la livre sterling, le GBP/USD perdant 0,21% pour glisser à 1,5538, à l'approche des résultats manufacturiers britanniques.
Il a d'autre part subi la pression du franc suisse, l'USD/CHF glissant de 0,12% pour tomber à 0,9321.
Le secrétariat d'état à l'économie helvète a pour sa part revu à la hausse ses prédictions de croissance pour 2013, depuis 1,3 vers 1,4%, avertissant tout de même que la crise de la dette européenne représentait encore le plus menace à l'économie nationale.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD coulant de 1,16% pour sombrer à 0,9317, le NZD/USD fondant de 1,06% pour toucher le fond à 0,7816 et l'USD/CAD progressant de 0,32% pour aller vers 1,0224.
Une étude officielle avait fait savoir en début de matinée que les accords de prêts immobiliers avaient augmenté le mois passé de 0,8% en Australie, soit nettement monis que les 2% espérés.
La devise du pays s'est retrouvée fragilisée le mois dernier en raison de l'angoisse d'un essoufflement de l'essor chinois, et des bruits faisant état d'une fermeture imminente des robinets de la banque centrale américaine.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,10% pour se situer à 81,84.
La plus haute instance juridique allemande devrait pour sa part rendre aujourd'hui son verdict concernant la constitutionnalité du plan de rachats d'actifs de la Banque Centrale Européenne.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant le yen, l'USD/JPY trébuchant de 0,60% pour se retrouver à 98,15.
La devise nippone a en effet repris des couleurs dans le sillage du dérapage à l'aube de la bourse de Tokyo, après que la Banque du Japon ait gardé son cap précédent, ne proposant pas de solutions pour limiter le chaos règnant sur le marché obligataire national.
Elle s'est réjoui d'un sursaut de l'économie au lendemain d'une étude affirmant qu'elle avait bondi de 4,1% au premier trimestre, au lieu des 3,5% évalués au préalable.
La question de l'éventuelle réduction dès cette année des apports de capitaux de l'émettrice de ce dernier demeurant au centre des débats.
Les rumeurs selon lesquelles la Réserve Fédérale réduirait bientôt le volume de ses injections de liquidités allaient bon train dans le sillage des résultats modérément positifs du marché de l'emploi des Etats-Unis, ces derniers ayant aussi vu l'agence Standard & Poor's en revoir hier vers le haut les perspectives de notation à long terme, depuis la négativité vers la stabilité, invoquant l'amélioration de leur situation économique.
Il en était de même, dans une moindre proportion, contre l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,08% pour grimper à 1,3266.
Le billet vert a par contre repris du terrain à la livre sterling, le GBP/USD perdant 0,21% pour glisser à 1,5538, à l'approche des résultats manufacturiers britanniques.
Il a d'autre part subi la pression du franc suisse, l'USD/CHF glissant de 0,12% pour tomber à 0,9321.
Le secrétariat d'état à l'économie helvète a pour sa part revu à la hausse ses prédictions de croissance pour 2013, depuis 1,3 vers 1,4%, avertissant tout de même que la crise de la dette européenne représentait encore le plus menace à l'économie nationale.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD coulant de 1,16% pour sombrer à 0,9317, le NZD/USD fondant de 1,06% pour toucher le fond à 0,7816 et l'USD/CAD progressant de 0,32% pour aller vers 1,0224.
Une étude officielle avait fait savoir en début de matinée que les accords de prêts immobiliers avaient augmenté le mois passé de 0,8% en Australie, soit nettement monis que les 2% espérés.
La devise du pays s'est retrouvée fragilisée le mois dernier en raison de l'angoisse d'un essoufflement de l'essor chinois, et des bruits faisant état d'une fermeture imminente des robinets de la banque centrale américaine.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,10% pour se situer à 81,84.
La plus haute instance juridique allemande devrait pour sa part rendre aujourd'hui son verdict concernant la constitutionnalité du plan de rachats d'actifs de la Banque Centrale Européenne.