Investing.com - Les options sur le brut étaient sur la défensive ce mercredi, l'attention se concentrant sur la publication imminente de l'étude de l'Agence d'Information sur l'Energie des Etats-Unis au sujet de l'état des réserves pétrolières nationales.
Elles subissaient également l'angoisse d'une diminution des perfusions de capitaux de la banque centrale américaine, en raison de signaux économiques positifs.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour août se sont échangés à 94,59 USD le baril en première partie de séance européenne, perdant 0,8%.
Ils avaient auparavant touché le fond à 94,28 USD, leur cours le plus bas du jour, avec un passage à vide de 1,1%.
Les variations dans le volume des stocks pétroliers constatées par les autorités américaines étaient également sous surveillance, afin d'évaluer l'appétit du premier consommateur mondial.
Celui-ci pourrait mettre en évidence une diminution de 1,7 millions de barils pour le brut au cours de la semaine dernière, et celles d'essence pourraient en avoir amassé 900.000.
Les spécialistes regroupés par l'institut du pétrole américain ont dévoilé leurs propres chiffres après la clôture des échanges d'hier, signalant pour les premières une stagnation inattendue au vu du retrait de 2 millions d'unités envisagé pour la période considérée.
Ils ont aussi constaté pour les secondes l'ajout de 1,33 millions de barils, dépassant nettement les 800.000 pressentis.
La série de bons résultats publiés aux Etats-Unis a pour sa part consolidé dans la soirée l'hypothèse d'un tour de vis prochain de leur autorité monétaire.
Ses assouplissements quantitatifs sont en effet généralement vus comme un des facteurs cruciaux d'augmentation des prix des matières premières, en raison de leur tendance à affaiblir le billet vert.
Le département d'état au commerce devrait quand à lui publier aujourd'hui la troisième révision des chiffres de la croissance américaine du premier trimestre.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour août ont cédé 0,4% pour tomber à 100,85 USD du baril dans le même temps, soit 6,26 USD de mieux que leurs homologues américaines, leur écart le plus mince depuis janvier 2011.
Elles subissaient également l'angoisse d'une diminution des perfusions de capitaux de la banque centrale américaine, en raison de signaux économiques positifs.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour août se sont échangés à 94,59 USD le baril en première partie de séance européenne, perdant 0,8%.
Ils avaient auparavant touché le fond à 94,28 USD, leur cours le plus bas du jour, avec un passage à vide de 1,1%.
Les variations dans le volume des stocks pétroliers constatées par les autorités américaines étaient également sous surveillance, afin d'évaluer l'appétit du premier consommateur mondial.
Celui-ci pourrait mettre en évidence une diminution de 1,7 millions de barils pour le brut au cours de la semaine dernière, et celles d'essence pourraient en avoir amassé 900.000.
Les spécialistes regroupés par l'institut du pétrole américain ont dévoilé leurs propres chiffres après la clôture des échanges d'hier, signalant pour les premières une stagnation inattendue au vu du retrait de 2 millions d'unités envisagé pour la période considérée.
Ils ont aussi constaté pour les secondes l'ajout de 1,33 millions de barils, dépassant nettement les 800.000 pressentis.
La série de bons résultats publiés aux Etats-Unis a pour sa part consolidé dans la soirée l'hypothèse d'un tour de vis prochain de leur autorité monétaire.
Ses assouplissements quantitatifs sont en effet généralement vus comme un des facteurs cruciaux d'augmentation des prix des matières premières, en raison de leur tendance à affaiblir le billet vert.
Le département d'état au commerce devrait quand à lui publier aujourd'hui la troisième révision des chiffres de la croissance américaine du premier trimestre.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour août ont cédé 0,4% pour tomber à 100,85 USD du baril dans le même temps, soit 6,26 USD de mieux que leurs homologues américaines, leur écart le plus mince depuis janvier 2011.