Investing.com - Les bourses européennes gardaient la forme ce jeudi après-midi, alors que l'attention se concentrait vers les conclusions imminentes des réunions des autorités monétaires régionales.
En seconde partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,67%, le CAC 40 français de 0,78%, et le DAX 30 allemand de 0,62%.
La Banque Centrale Européenne ne modifiera probablement pas aujourd'hui son taux d'intérêt directeur, et a toutes les chances de rappeler que la fin des politiques assouplies est loin d'être en vue.
L'inquiétude découlant de l'instabilité du gouvernement au Portugal demeurait présente, le ministre des finances et celui des affaires étrangères ayant créé le choc en libérant respectivement leurs postes lundi et mardi face à l'impopularité de ses mesures d'austérité.
Ce coup de tonnerre a alors semé le doute sur le futur de la coalition au pouvoir, et sur la capacité du pays à faire face à aux engagements lui ayant permis de se voir octroyer une bouée de sauvetage.
Les yeux se tournaient désormais pour demain vers les chiffres de la masse salariale américaine, en quête d'indices sur le moment où la Réserve Fédérale entamera la réduction de ses 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels.
La finance avait le sourire, la Deutsche Bank allemande empochant 0,34%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 0,63 et 1,41%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 0,61 et 0,62%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 0,90 et 1,18%.
OC Oerlikon arrachait pour sa part 1,33% après avoir mené à bien la vente de sa branche centrée sur les fibres naturelles.
A Londres, le FTSE 100 conquérait 1,09%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
La Royal Bank of Scotland raflait ainsi 1,15%, et Barclays 1,30%, tandis que HSBC Holdings et Lloyds Banking se plaçaient en tête avec 1,36 et 3,94%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières étaient aussi de la fête, compensant une partie des déconvenues de la veille, les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto amassant 1,37 et 3,03%, le poids lourd des hydrocarbures Anglo American et Polymetal n'étant pas en reste avec 1,33 et 1,46%.
L'entrepreneur britannique Taylor Wimpey s'envolait de 5,72% après avoir revendiqué une augmentation de ses marges bénéficiaires au premier semestre.
Les places des Etats-Unis demeureront aujourd'hui inactives pour cause de fête de l'indépendance.
La Banque d'Angleterre a de fortes probabilités d'opter pour le statu quo à l'issue de sa première prise de cap mensuelle imminente sous la houlette de son nouveau gouverneur, Mark Carney.
En seconde partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,67%, le CAC 40 français de 0,78%, et le DAX 30 allemand de 0,62%.
La Banque Centrale Européenne ne modifiera probablement pas aujourd'hui son taux d'intérêt directeur, et a toutes les chances de rappeler que la fin des politiques assouplies est loin d'être en vue.
L'inquiétude découlant de l'instabilité du gouvernement au Portugal demeurait présente, le ministre des finances et celui des affaires étrangères ayant créé le choc en libérant respectivement leurs postes lundi et mardi face à l'impopularité de ses mesures d'austérité.
Ce coup de tonnerre a alors semé le doute sur le futur de la coalition au pouvoir, et sur la capacité du pays à faire face à aux engagements lui ayant permis de se voir octroyer une bouée de sauvetage.
Les yeux se tournaient désormais pour demain vers les chiffres de la masse salariale américaine, en quête d'indices sur le moment où la Réserve Fédérale entamera la réduction de ses 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels.
La finance avait le sourire, la Deutsche Bank allemande empochant 0,34%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 0,63 et 1,41%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 0,61 et 0,62%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 0,90 et 1,18%.
OC Oerlikon arrachait pour sa part 1,33% après avoir mené à bien la vente de sa branche centrée sur les fibres naturelles.
A Londres, le FTSE 100 conquérait 1,09%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
La Royal Bank of Scotland raflait ainsi 1,15%, et Barclays 1,30%, tandis que HSBC Holdings et Lloyds Banking se plaçaient en tête avec 1,36 et 3,94%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières étaient aussi de la fête, compensant une partie des déconvenues de la veille, les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto amassant 1,37 et 3,03%, le poids lourd des hydrocarbures Anglo American et Polymetal n'étant pas en reste avec 1,33 et 1,46%.
L'entrepreneur britannique Taylor Wimpey s'envolait de 5,72% après avoir revendiqué une augmentation de ses marges bénéficiaires au premier semestre.
Les places des Etats-Unis demeureront aujourd'hui inactives pour cause de fête de l'indépendance.
La Banque d'Angleterre a de fortes probabilités d'opter pour le statu quo à l'issue de sa première prise de cap mensuelle imminente sous la houlette de son nouveau gouverneur, Mark Carney.