Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture modérément positive ce vendredi après-midi, la nervosité étant palpable à l'approche du décompte crucial des embauches des Etats-Unis, sur fond d'incertitudes pesantes sur les orientations futures de leur banque centrale.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0,15%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,10% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,21%.
Les informations portant sur les créations de postes hors agriculture des Etats-Unis seront sous surveillance cet après-midi, en quête d'indices supplémentaires sur les évolutions de leur marché du travail, au lendemain de la constatation du plongeon du nombre de leurs nouveaux demandeurs d'emploi à son niveau le plus bas depuis janvier 2008.
La Réserve Fédérale s'était quand à elle bien gardée la veille de donner tout signe d'une réduction prochaine de ses 85 milliards d'USD mensuels de rachats d'actifs.
Les assureurs étaient sur le devant de la scène, après que l'American International Group, qui avait remboursé son prêt de sauvetage la semaine passée, ait annoncé le paiement de son premier dividende depuis l'opération, ainsi que la réabsorbtion d'actions se montant à 1 milliards d'USD après que ses bénéfices aient gonflé de 17%.
Il s'envolait du coup de 5,99% en pré-ouverture.
Sur le front technologique, Apple grignotait 0,08% dans le même temps alors qu'il se disait qu'on pourrait apprendre aujourd'hui si le président Barack Obama et le représentant des entrepreneurs Michael Froman interviendraient afin de le laisser commercialiser toutes les versions de ses iPhone 4 et iPad 2 dans le pays.
La Bank of America était aussi sous les feux de l'actualité, après avoir déclaré que les administrations des états mais aussi fédérales s'apprêtaient à lancer de nouvelles actions judiciaires concernant les prêts hypothécaires et les propositions de crédits, ce qui devrait lui faire subir une nouvelle guerre juridique dans le domaine des garanties et des prêts immobiliers.
LinkedIn empochait pour sa part 7,28% après la clôture, malgré l'aveu dans le sillage de celle-ci d'une fourchette de projections de bénéfices décevantes se situant entre 367 et 373 millions d'USD.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter Chevron, Toyota et Viacom, dont les résultats seront proclamés sous peu.
Les bourses européennes étaient quand à elles majoritairement à la hausse, l'EURO STOXX 50 grimpant de 0,46%, le CAC 40 français de 0,22% et le DAX 30 allemand de 0,09%, tandis que le FTSE 100 britannique laissait échapper 0,16%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong prenait 0,46%, et le Nikkei 225 japonais pas moins de 3,29%.
Les autorités américaines comptaient de leur côté conclure la semaine avec une série de résultats concernant l'évolution de l'emploi hors agriculture, le taux de chômage, les revenus horaires moyens, et les dépenses individuelles, sans oublier le volume des commandes passées auprès des usines.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0,15%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,10% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,21%.
Les informations portant sur les créations de postes hors agriculture des Etats-Unis seront sous surveillance cet après-midi, en quête d'indices supplémentaires sur les évolutions de leur marché du travail, au lendemain de la constatation du plongeon du nombre de leurs nouveaux demandeurs d'emploi à son niveau le plus bas depuis janvier 2008.
La Réserve Fédérale s'était quand à elle bien gardée la veille de donner tout signe d'une réduction prochaine de ses 85 milliards d'USD mensuels de rachats d'actifs.
Les assureurs étaient sur le devant de la scène, après que l'American International Group, qui avait remboursé son prêt de sauvetage la semaine passée, ait annoncé le paiement de son premier dividende depuis l'opération, ainsi que la réabsorbtion d'actions se montant à 1 milliards d'USD après que ses bénéfices aient gonflé de 17%.
Il s'envolait du coup de 5,99% en pré-ouverture.
Sur le front technologique, Apple grignotait 0,08% dans le même temps alors qu'il se disait qu'on pourrait apprendre aujourd'hui si le président Barack Obama et le représentant des entrepreneurs Michael Froman interviendraient afin de le laisser commercialiser toutes les versions de ses iPhone 4 et iPad 2 dans le pays.
La Bank of America était aussi sous les feux de l'actualité, après avoir déclaré que les administrations des états mais aussi fédérales s'apprêtaient à lancer de nouvelles actions judiciaires concernant les prêts hypothécaires et les propositions de crédits, ce qui devrait lui faire subir une nouvelle guerre juridique dans le domaine des garanties et des prêts immobiliers.
LinkedIn empochait pour sa part 7,28% après la clôture, malgré l'aveu dans le sillage de celle-ci d'une fourchette de projections de bénéfices décevantes se situant entre 367 et 373 millions d'USD.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter Chevron, Toyota et Viacom, dont les résultats seront proclamés sous peu.
Les bourses européennes étaient quand à elles majoritairement à la hausse, l'EURO STOXX 50 grimpant de 0,46%, le CAC 40 français de 0,22% et le DAX 30 allemand de 0,09%, tandis que le FTSE 100 britannique laissait échapper 0,16%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong prenait 0,46%, et le Nikkei 225 japonais pas moins de 3,29%.
Les autorités américaines comptaient de leur côté conclure la semaine avec une série de résultats concernant l'évolution de l'emploi hors agriculture, le taux de chômage, les revenus horaires moyens, et les dépenses individuelles, sans oublier le volume des commandes passées auprès des usines.