Investing.com - Le dollar U.S. était en forme face à la plupart de ses concurrents ce mercredi matin, plongeant au plus bas des six semaines par rapport à son équivalent japonais, tandis son homologue britannique se retrouvait en difficulté alors que le chef de son émettrice devrait bientôt présenter les résultats d'une étude concernant la fourniture d'informations sur les évolutions futures des taux d'intérêt.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant le yen, l'USD/JPY sombrant de 0,81% pour s'effondrer à 96,95, son niveau le plus bas depuis le 20 juin.
Les propos tenus hier par de hauts responsables de la banque centrale des Etats-Unis ont en effet ravivé l'angoisse d'une réduction de ses 85 milliards d'USD mensuels de rachats d'actifs dès le mois prochain.
Charles Evans, président de la réserve fédérale de Chicago, a ainsi déclaré hier qu'une diminution des perfusions d'argent frais n'était pas exclue d'ici la fin de l'année, comme l'avait auparavant fait Dennis Lockhart, son homologue d'Atlanta.
Le billet vert a par contre gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0,21% pour chuter à 1,5316.
Mark Carney, le nouveau gouverneur de la Banque d'Angleterre, devrait quand à lui faire savoir combien de temps celle-ci compte maintenir les taux d'intérêt actuellement à leur plus bas niveau historique, lors de la conférence de presse qui suivra la publication de son bulletin trimestriel sur l'inflation.
Ses projections de croissance économique seront probablement revues vers le haut suite aux études ontrant que le secteur tertiaire du Royaume-Uni avait connu en juillet sa plus forte expansion en six ans et demi et que la production manufacturée avait bondi le oisprécédent.
Il en allait de même avec l'euro, l'EUR/USD perdant 0,16% pour tomber à 1,3284.
L'Allemagne comptait divulguer aujourd'hui l'état de sa production industrielle, après que le volume supérieur aux attentes des commandes passées auprès des usines du pays aient confirmé l'idée d'un renforcement de la relance régionale.
Le franc suisse a aussi subi sa pression, l'USD/CHF grignotant 0,18% pour culminer à 0,9276.
La devise helvète n'a guère fait cas des informations gouvernementales selon lesquelles les prix à la consommation avaient reculé sans surprise de 0,4% le mois passé.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne et canadienne, mais pas la néo-zélandaise, l'AUD/USD cédant 0,63% pour se retrouver à 0,8930, le NZD/USD arrachant 0,02% pour culminer à 0,7900 et l'USD/CAD prenant 0,41% pour monter à 1,0418.
Les autorités des Nouvelle-Zélande avaient auparavant fait savoir que le nombre des salariés du pays avait augmenté de 0,4% au second trimestre, mais que le taux de chôage avait frémi depuis 6,3 vers 6,4% dans le même temps.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,09% pour se situer à 81,75.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant le yen, l'USD/JPY sombrant de 0,81% pour s'effondrer à 96,95, son niveau le plus bas depuis le 20 juin.
Les propos tenus hier par de hauts responsables de la banque centrale des Etats-Unis ont en effet ravivé l'angoisse d'une réduction de ses 85 milliards d'USD mensuels de rachats d'actifs dès le mois prochain.
Charles Evans, président de la réserve fédérale de Chicago, a ainsi déclaré hier qu'une diminution des perfusions d'argent frais n'était pas exclue d'ici la fin de l'année, comme l'avait auparavant fait Dennis Lockhart, son homologue d'Atlanta.
Le billet vert a par contre gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0,21% pour chuter à 1,5316.
Mark Carney, le nouveau gouverneur de la Banque d'Angleterre, devrait quand à lui faire savoir combien de temps celle-ci compte maintenir les taux d'intérêt actuellement à leur plus bas niveau historique, lors de la conférence de presse qui suivra la publication de son bulletin trimestriel sur l'inflation.
Ses projections de croissance économique seront probablement revues vers le haut suite aux études ontrant que le secteur tertiaire du Royaume-Uni avait connu en juillet sa plus forte expansion en six ans et demi et que la production manufacturée avait bondi le oisprécédent.
Il en allait de même avec l'euro, l'EUR/USD perdant 0,16% pour tomber à 1,3284.
L'Allemagne comptait divulguer aujourd'hui l'état de sa production industrielle, après que le volume supérieur aux attentes des commandes passées auprès des usines du pays aient confirmé l'idée d'un renforcement de la relance régionale.
Le franc suisse a aussi subi sa pression, l'USD/CHF grignotant 0,18% pour culminer à 0,9276.
La devise helvète n'a guère fait cas des informations gouvernementales selon lesquelles les prix à la consommation avaient reculé sans surprise de 0,4% le mois passé.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne et canadienne, mais pas la néo-zélandaise, l'AUD/USD cédant 0,63% pour se retrouver à 0,8930, le NZD/USD arrachant 0,02% pour culminer à 0,7900 et l'USD/CAD prenant 0,41% pour monter à 1,0418.
Les autorités des Nouvelle-Zélande avaient auparavant fait savoir que le nombre des salariés du pays avait augmenté de 0,4% au second trimestre, mais que le taux de chôage avait frémi depuis 6,3 vers 6,4% dans le même temps.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,09% pour se situer à 81,75.