Investing.com - Les places d'Asie terminaient sur une note morose ce jeudi matin, bien qu'ayant réussi à se sortir de l'ornière journalière, grâce à de bonnes nouvelles provenant de la Chine.
Elles avaient ouvert en net recul en raison des signes selon lesquels la banque centrale des Etats-Unis pourrait commencer à fermer les vannes d'ici la fin de l'année.
Ses apports de capitaux sont généralement vus comme un des facteurs cruciaux dans la montée des cours mondiaux.
En fin de séance asiatique, l'ASX/200 australien perdait 0,6%, le Hang Seng de Hong Kong 0,6% et le Nikkei 225 japonais 0,4%.
Mais il a ensuite été annoncé que la première évaluation du indice des directeurs des achats du secteur manufacturier chinois établi par la banque HSBC était passée de 47,7, son plancher des 11 mois écoulés, à 50,1 pour août, son plus haut niveau en quatre mois.
Il est du coup repassé pour la première fois depuis avril au-dessus de la barre cruciale des 50 dénontant une croissance dans ce domaine.
Le goût pour les valeurs audacieuses demeurait étouffé après que le procès-verbal de la dernière réunion du conseil de direction de la Réserve Fédérale ait montré que ses membres étaient toujours divisés sur le moment où elle devrait diminuer l'ampleur de ses coupes de pouce.
Sydney sauvait les meubles après avoir comencé par établir un creux de deux semaines, grâce aux performances supérieures aux espérances de la part de son premier partenaire commercial.
Le spécialiste du minerai de fer Fortescue Metals Group était sous les feux de la rampe, empochant 4,2% après avoir revendiqué 12% de profits annuels supplémentaires.
Mais tout n'était cependant pas rose, Atlas Iron dérapant de 10,2% suite à des résultats nets courants annuels inférieurs aux espérances.
Hong Kong sauvait aussi les meubles, rassurée au sujet de la croissance nationale.
Tokyo avait même momentanément plongé de 1,5%, les yeux toujours fixés sur les évolutions de la monnaie et du marché obligataire du pays.
La paire USD/JPY est montée jusqu'à 98,32, à comparer aux 97,11 d'hier, les entreprises tournées vers l'extérieur se trouvant mécaniquement encouragées par la perte de vitesse de la monnaie nationale, qui augmente la valeur des devises obtenues à l'étranger.
La Tokyo Electric Power Company, opératrice de la centrale nucléaire endommagée de Fukushima Daiichi, dégringolait aussi de près de 10% en raison du spectre de nouveaux problèmes touchant cette dernière.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui plutôt mitigée, face aux nouvelles américaines.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyaient une hausse de 0,1%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 0,1% aussi, celles sur le DAX 30 allemand tendant vers la neutralité, et celles sur le FTSE 100 britannique laissant redouter un faux pas de 0,1%.
La zone euro comptait d'autre part fournir en cours de matinée les évaluations préliminaires de l'activité de ses secteurs secondaire et tertiaire, après quoi les Etats-Unis conclurant de leur côté la journée avec leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage.
Elles avaient ouvert en net recul en raison des signes selon lesquels la banque centrale des Etats-Unis pourrait commencer à fermer les vannes d'ici la fin de l'année.
Ses apports de capitaux sont généralement vus comme un des facteurs cruciaux dans la montée des cours mondiaux.
En fin de séance asiatique, l'ASX/200 australien perdait 0,6%, le Hang Seng de Hong Kong 0,6% et le Nikkei 225 japonais 0,4%.
Mais il a ensuite été annoncé que la première évaluation du indice des directeurs des achats du secteur manufacturier chinois établi par la banque HSBC était passée de 47,7, son plancher des 11 mois écoulés, à 50,1 pour août, son plus haut niveau en quatre mois.
Il est du coup repassé pour la première fois depuis avril au-dessus de la barre cruciale des 50 dénontant une croissance dans ce domaine.
Le goût pour les valeurs audacieuses demeurait étouffé après que le procès-verbal de la dernière réunion du conseil de direction de la Réserve Fédérale ait montré que ses membres étaient toujours divisés sur le moment où elle devrait diminuer l'ampleur de ses coupes de pouce.
Sydney sauvait les meubles après avoir comencé par établir un creux de deux semaines, grâce aux performances supérieures aux espérances de la part de son premier partenaire commercial.
Le spécialiste du minerai de fer Fortescue Metals Group était sous les feux de la rampe, empochant 4,2% après avoir revendiqué 12% de profits annuels supplémentaires.
Mais tout n'était cependant pas rose, Atlas Iron dérapant de 10,2% suite à des résultats nets courants annuels inférieurs aux espérances.
Hong Kong sauvait aussi les meubles, rassurée au sujet de la croissance nationale.
Tokyo avait même momentanément plongé de 1,5%, les yeux toujours fixés sur les évolutions de la monnaie et du marché obligataire du pays.
La paire USD/JPY est montée jusqu'à 98,32, à comparer aux 97,11 d'hier, les entreprises tournées vers l'extérieur se trouvant mécaniquement encouragées par la perte de vitesse de la monnaie nationale, qui augmente la valeur des devises obtenues à l'étranger.
La Tokyo Electric Power Company, opératrice de la centrale nucléaire endommagée de Fukushima Daiichi, dégringolait aussi de près de 10% en raison du spectre de nouveaux problèmes touchant cette dernière.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui plutôt mitigée, face aux nouvelles américaines.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyaient une hausse de 0,1%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 0,1% aussi, celles sur le DAX 30 allemand tendant vers la neutralité, et celles sur le FTSE 100 britannique laissant redouter un faux pas de 0,1%.
La zone euro comptait d'autre part fournir en cours de matinée les évaluations préliminaires de l'activité de ses secteurs secondaire et tertiaire, après quoi les Etats-Unis conclurant de leur côté la journée avec leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage.