Investing.com - L'euro s'est hissé vers des pics journaliers face au dollar U.S. et au yen ce mardi, après qu'il ait été montré que l'humeur concernant l'économie de l'Allemagne avait atteint ce mois-ci son plus haut niveau depuis avril 2010.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1,3368 en première partie de séance européenne, puis s'est stabilisée vers 1,3364, prenant 0,22%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3300, son plancher psychologique précédent, et de rencontrer de la résistance à court terme à 1,3384, son plafond de trois semaines datant d'hier.
Le centre de recherches économiques ZEW a ainsi constaté une hausse de son baromètre du moral économique allemand des 42,0 d'août vers 49,6, sur fond de perspectives régionales en bonne voie.
Les experts ne pensaient pourtant pas le voir dépasser les 46,0.
Celui de la région dans son entier s'est même carrément élevée depuis 44,0 jusqu'à 58,6 dans le même temps, sa meilleure valeur depuis septembre 2009.
L'EUR/JPY gagnait du coup 0,30% pour caracoler à 132,49, son plus haut niveau depuis vendredi.
La prudence restait de mise à la veille des conclusions des deux jours de réunion de la Réserve Fédérale, alors qu'il se disait qu'elle compterait mettre un léger frein à ses d'injections de capitaux.
Il avait perdu des couleurs dans le sillage de l'abandon hier par l'ancien ministre des finances Lawrence Summers de la course à la succession de Ben Bernanke à sa tête.
Il semblait en effet davantage susceptible d'être partisan d'une fermeture des vannes bien plus rapide que Janet Yellen, sa principale rivale.
La livre sterling en a aussi fait les frais, l'EUR/GBP empochant 0,24% pour grimper à 0,8406.
Le bureau britannique des statistiques a pour sa part constaté un ralentissement sans surprise de l'inflation depuis les 2,8% d'une année sur l'autre enregistrés en juillet vers 2,7%.
Elle aura ainsi été limitée à 0,4% en août, au lieu des 0,5% envisagés.
Celle sur les produits de base s'est cependant maintenue à 2% annualisés, alors qu'un sursaut à 2,1% était envisagé.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec les évolutions des prix proposés aux particuliers.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1,3368 en première partie de séance européenne, puis s'est stabilisée vers 1,3364, prenant 0,22%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3300, son plancher psychologique précédent, et de rencontrer de la résistance à court terme à 1,3384, son plafond de trois semaines datant d'hier.
Le centre de recherches économiques ZEW a ainsi constaté une hausse de son baromètre du moral économique allemand des 42,0 d'août vers 49,6, sur fond de perspectives régionales en bonne voie.
Les experts ne pensaient pourtant pas le voir dépasser les 46,0.
Celui de la région dans son entier s'est même carrément élevée depuis 44,0 jusqu'à 58,6 dans le même temps, sa meilleure valeur depuis septembre 2009.
L'EUR/JPY gagnait du coup 0,30% pour caracoler à 132,49, son plus haut niveau depuis vendredi.
La prudence restait de mise à la veille des conclusions des deux jours de réunion de la Réserve Fédérale, alors qu'il se disait qu'elle compterait mettre un léger frein à ses d'injections de capitaux.
Il avait perdu des couleurs dans le sillage de l'abandon hier par l'ancien ministre des finances Lawrence Summers de la course à la succession de Ben Bernanke à sa tête.
Il semblait en effet davantage susceptible d'être partisan d'une fermeture des vannes bien plus rapide que Janet Yellen, sa principale rivale.
La livre sterling en a aussi fait les frais, l'EUR/GBP empochant 0,24% pour grimper à 0,8406.
Le bureau britannique des statistiques a pour sa part constaté un ralentissement sans surprise de l'inflation depuis les 2,8% d'une année sur l'autre enregistrés en juillet vers 2,7%.
Elle aura ainsi été limitée à 0,4% en août, au lieu des 0,5% envisagés.
Celle sur les produits de base s'est cependant maintenue à 2% annualisés, alors qu'un sursaut à 2,1% était envisagé.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec les évolutions des prix proposés aux particuliers.