Investing.com - Le dollar U.S. a retrouvé de la vigueur face à la plupart de ses concurrents ce vendredi, bien qu'il subisse toujours l'ombre persistante du débrayage des administration là où il a cours.
En fin de première partie de séance européenne, il a cependant fléchi devant le yen, l'USD/JPY trébuchant de 0,10% pour reprendre pied à 97,16.
La devise nippone a en effet repris du poil de la bête après que la Banque du Japon ait évité d'augmenter le volume de ses aides, et que le premier ministre sur le retour Shinzo Abe ait estimé que l'économie nationale était suffisamment forte pour supporter l'augmentation prévu de la taxe sur la valeur ajoutée.
Son adversaire demeurait sur la défensive, les yeux rivés sur les implications du conflit budgétaire prolongé aux Etats-Unis.
Leurs contre-performances divulguées hier ont contribué à raviver le spectre des conséquences qu'il pourrait avoir sur la reprise nationale.
L'institut de gestion des approvisionnements avait ainsi révélé que son indice des directeurs des achats du secteur non manufacturier avait sombré depuis les 58,6 d'août jusqu'à 54,4, son niveau le plus bas en trois mois, alors que les experts ne pensaient pas le voir passer sous les 57,4 pour la période considérée.
Le département d'état au travail américain avait pour sa part annoncé que son rapport sur l'emploi pour septembre ne serait pas publié aujourd'hui comme prévu, en raison des retards entraînés par la mise à pied partielle des fonctionnaires, sans toutefois préciser quand il le serait.
Les observateurs ruminaient aussi les conséquences possibles de ce conflit sur les négociations visant à relever le plafond d'endettement maximal du pays, qui devrait, d'après le ministère des finances, être dépassé le 17 octobre.
Christine Lagarde, directrice du Fonds Monétaire International, a rappelé dans la soirée qu'en cas d'échec sur la question, l'économie mondiale pourrait en pâtir, et que la croissance américaine pourrait passer pour cette année sous la barre des 2%.
Il n'en allait pas de mêem avec l'euro, l'EUR/USD perdant 0,06% pour tomber à 1,3611, s'accrochant malgré tout à un pic de huit mois.
Une étude officielle avait souligné en début de journée que les coûts de production allemands avaient connu une érosion de 0,1% en août, alors qu'un sursaut de 0,1% semblait devoir se dérouler suite à leur recul de 0,1% ayant précédé.
La livre sterling et le franc suisse ont aussi subi sa pression, le GBP/USD glissant de 0,25% pour chuter à 1,6115 et l'USD/CHF grignotant 0,13% pour culminer à 0,9005.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne et néo-zélandaise, mais pas par la canadienne, l'AUD/USD s'élevant de 0,47% pour se retrouver à 0,9438, le NZD/USD arrachant 0,13% pour culminer à 0,8304 et l'USD/CAD prenant 0,04% pour monter à 1,0336.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,06% pour se situer à 79,92.
En fin de première partie de séance européenne, il a cependant fléchi devant le yen, l'USD/JPY trébuchant de 0,10% pour reprendre pied à 97,16.
La devise nippone a en effet repris du poil de la bête après que la Banque du Japon ait évité d'augmenter le volume de ses aides, et que le premier ministre sur le retour Shinzo Abe ait estimé que l'économie nationale était suffisamment forte pour supporter l'augmentation prévu de la taxe sur la valeur ajoutée.
Son adversaire demeurait sur la défensive, les yeux rivés sur les implications du conflit budgétaire prolongé aux Etats-Unis.
Leurs contre-performances divulguées hier ont contribué à raviver le spectre des conséquences qu'il pourrait avoir sur la reprise nationale.
L'institut de gestion des approvisionnements avait ainsi révélé que son indice des directeurs des achats du secteur non manufacturier avait sombré depuis les 58,6 d'août jusqu'à 54,4, son niveau le plus bas en trois mois, alors que les experts ne pensaient pas le voir passer sous les 57,4 pour la période considérée.
Le département d'état au travail américain avait pour sa part annoncé que son rapport sur l'emploi pour septembre ne serait pas publié aujourd'hui comme prévu, en raison des retards entraînés par la mise à pied partielle des fonctionnaires, sans toutefois préciser quand il le serait.
Les observateurs ruminaient aussi les conséquences possibles de ce conflit sur les négociations visant à relever le plafond d'endettement maximal du pays, qui devrait, d'après le ministère des finances, être dépassé le 17 octobre.
Christine Lagarde, directrice du Fonds Monétaire International, a rappelé dans la soirée qu'en cas d'échec sur la question, l'économie mondiale pourrait en pâtir, et que la croissance américaine pourrait passer pour cette année sous la barre des 2%.
Il n'en allait pas de mêem avec l'euro, l'EUR/USD perdant 0,06% pour tomber à 1,3611, s'accrochant malgré tout à un pic de huit mois.
Une étude officielle avait souligné en début de journée que les coûts de production allemands avaient connu une érosion de 0,1% en août, alors qu'un sursaut de 0,1% semblait devoir se dérouler suite à leur recul de 0,1% ayant précédé.
La livre sterling et le franc suisse ont aussi subi sa pression, le GBP/USD glissant de 0,25% pour chuter à 1,6115 et l'USD/CHF grignotant 0,13% pour culminer à 0,9005.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne et néo-zélandaise, mais pas par la canadienne, l'AUD/USD s'élevant de 0,47% pour se retrouver à 0,9438, le NZD/USD arrachant 0,13% pour culminer à 0,8304 et l'USD/CAD prenant 0,04% pour monter à 1,0336.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,06% pour se situer à 79,92.