Investing.com - Le dollar U.S. était s'est renforcé face à la plupart de ses concurrents ce jeudi, soutenu par l'espoir d'un accord, même temporaire, dans le bras de fer politique agitant Washington, avant un éventuel défaut de paiement.
En fin de première partie de séance européenne, le yen a fléchi devant lui, l'USD/JPY grimpant de 0,50% pour se hisser à 97,84.
La lumière au bout du tunnel semblait enfin apparaître alors que les chefs de file des députés républicains s'apprêtaient à rencontrer le président Obama pour la première fois depuis la paralysie des services administratifs.
Celui-ci avait estimé que l'opposition devait relever la limite de la dette maximale et permette de mettre fin aux débrayages des fonctionnaires afin que les négociation sur la politique fiscales puissent se dérouler dans la sérénité, un défaut de paiement risquant d'avoir lieu le 17 octobre en l'absence de résolution.
Le billet vert a aussi repris des couleurs après qu'il ait été rappelé que la plupart des décideurs de la Réserve Fédérale envisageaient qu'elle commence à fermer ses robinets d'ici la fin d'année.
Le procès-verbal de la réunion tenue en septembre par la comité directeur de la banque centrale des Etats-Unis montrait ainsi que la décision en faveur du statu quo concernant ses apports de capitaux avait été prise "de justesse", ranimant le spectre d'une fermeture de ses robinets dans les prochains mois.
Le chef de l'état américain avait cependant annoncé hier la nomination de Janet Yellen à la tête de la Réserve Fédérale alors qu'elle en était vice-présidente, laissant espérer qu'elle exercerait dessus une influence stabilisatrice.
Il en allait de même à une moindre échelle avec l'euro, l'EUR/USD perdant 0,01% pour tomber à 1,3521.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0,13% pour chuter à 1,5934, aux alentours d'un creux de trois semaines.
Le franc suisse a aussi subi sa pression, l'USD/CHF grignotant 0,12% pour culminer à 0,9111.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne, néo-zélandaise, mais pas la canadienne, l'AUD/USD cédant 0,11% pour se retrouver à 0,9433, le NZD/USD se laissant arracher 0,51% pour toucher le fond à 0,8256 et l'USD/CAD subissant un trou d'air de 0,06% pour descendre à 1,0387.
Les autorités de l'Australie n'avaient constaté à l'aube que 9.100 créations d'emplois pour le mois passé, au lieu des 15.000 espérées, tandis que son taux de chômage se rétractait par contre depuis les 5,8% d'août vers 5,6%.
La seconde avait perdu des plues après que le baromètre manufacturier établi par l'institut Business NZ avait subi un recul en passant de 57,1 revus à la baisse à 54,3 pour septembre.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,14% pour se situer à 80,56.
La Banque d'Angleterre comptait pour sa part annoncer aujourd'hui son taux d'intérêt directeur.
En fin de première partie de séance européenne, le yen a fléchi devant lui, l'USD/JPY grimpant de 0,50% pour se hisser à 97,84.
La lumière au bout du tunnel semblait enfin apparaître alors que les chefs de file des députés républicains s'apprêtaient à rencontrer le président Obama pour la première fois depuis la paralysie des services administratifs.
Celui-ci avait estimé que l'opposition devait relever la limite de la dette maximale et permette de mettre fin aux débrayages des fonctionnaires afin que les négociation sur la politique fiscales puissent se dérouler dans la sérénité, un défaut de paiement risquant d'avoir lieu le 17 octobre en l'absence de résolution.
Le billet vert a aussi repris des couleurs après qu'il ait été rappelé que la plupart des décideurs de la Réserve Fédérale envisageaient qu'elle commence à fermer ses robinets d'ici la fin d'année.
Le procès-verbal de la réunion tenue en septembre par la comité directeur de la banque centrale des Etats-Unis montrait ainsi que la décision en faveur du statu quo concernant ses apports de capitaux avait été prise "de justesse", ranimant le spectre d'une fermeture de ses robinets dans les prochains mois.
Le chef de l'état américain avait cependant annoncé hier la nomination de Janet Yellen à la tête de la Réserve Fédérale alors qu'elle en était vice-présidente, laissant espérer qu'elle exercerait dessus une influence stabilisatrice.
Il en allait de même à une moindre échelle avec l'euro, l'EUR/USD perdant 0,01% pour tomber à 1,3521.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0,13% pour chuter à 1,5934, aux alentours d'un creux de trois semaines.
Le franc suisse a aussi subi sa pression, l'USD/CHF grignotant 0,12% pour culminer à 0,9111.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne, néo-zélandaise, mais pas la canadienne, l'AUD/USD cédant 0,11% pour se retrouver à 0,9433, le NZD/USD se laissant arracher 0,51% pour toucher le fond à 0,8256 et l'USD/CAD subissant un trou d'air de 0,06% pour descendre à 1,0387.
Les autorités de l'Australie n'avaient constaté à l'aube que 9.100 créations d'emplois pour le mois passé, au lieu des 15.000 espérées, tandis que son taux de chômage se rétractait par contre depuis les 5,8% d'août vers 5,6%.
La seconde avait perdu des plues après que le baromètre manufacturier établi par l'institut Business NZ avait subi un recul en passant de 57,1 revus à la baisse à 54,3 pour septembre.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,14% pour se situer à 80,56.
La Banque d'Angleterre comptait pour sa part annoncer aujourd'hui son taux d'intérêt directeur.