Investing.com - Le dollar U.S. gardait la main face à la plupart de ses concurrents ce jeudi après-midi, soutenu par l'espoir d'un accord, même temporaire, dans le bras de fer politique agitant Washington, avant un éventuel défaut de paiement.
En seconde partie de séance européenne, le yen a fléchi devant lui, l'USD/JPY grimpant de 0,48% pour se hisser à 97,82.
Un rayon de soleil dans la nuit de la paralysie des services administratifs semblait enfin poindre alors que les chefs de file des députés républicains s'apprêtaient à rencontrer le président Obama pour la première fois depuis le début de celle-ci.
Celui-ci avait estimé que l'opposition devait relever la limite de la dette maximale et permette de mettre fin aux débrayages des fonctionnaires afin que les négociation sur la politique fiscales puissent se dérouler dans la sérénité.
Il a aussi repris des couleurs après qu'il ait été rappelé que la plupart des décideurs de la Réserve Fédérale envisageaient qu'elle commence à fermer ses robinets d'ici la fin d'année.
Jack Lew, ministre des finances des Etats-Unis, a rappelé aujourd'hui devant leur comité financier sénatorial que ceux-ci atteindraient leur plafond d'endettement maximal le 17 octobre, et que les chicaneries commençaient à avoir des conséquences économiques.
Le département d'état au travail américain n'a guère fait de vagues en dénombrant 66.000 incriptions au chômage supplémentaires au cours de la semaine achevée le 5 octobre, pour un total hebdomadaire de 374.000 après correction saisonnière, 15.000 étant imputées aux mises à pied temporaires des employés d'état.
Il n'en allait pas de même avec l'euro, l'EUR/USD frémissant de 0,06% pour prendre pied à 1,3530.
Le billet vert a cependant gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0,03% pour chuter à 1,5950, aux alentours d'un creux de trois semaines.
La Banque d'Angleterre n'a pas créé la surprise, après que les membres de son comité directeur aient opté pour le maintien de son taux de base à 0,5%, son niveau le plus bas de l'histoire, et du volume de ses rachats d'actifs à 375 milliards de GBP.
Le franc suisse a aussi bien résisté à sa pression, l'USD/CHF grignotant 0,01% pour culminer à 0,9100.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne, néo-zélandaise, et canadienne, l'AUD/USD cédant 0,22% pour se retrouver à 0,9422, le NZD/USD se laissant arracher 0,60% pour toucher le fond à 0,8249 et l'USD/CAD réalisant un saut de puce de 0,07% pour monter à 1,0401.
Il était aussi à noter que l'indice des prix des logements neufs du Canada avait augmenté de 0,1% en août, au lieu des 0,3% envisagés.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,10% pour se situer à 80,53.
En seconde partie de séance européenne, le yen a fléchi devant lui, l'USD/JPY grimpant de 0,48% pour se hisser à 97,82.
Un rayon de soleil dans la nuit de la paralysie des services administratifs semblait enfin poindre alors que les chefs de file des députés républicains s'apprêtaient à rencontrer le président Obama pour la première fois depuis le début de celle-ci.
Celui-ci avait estimé que l'opposition devait relever la limite de la dette maximale et permette de mettre fin aux débrayages des fonctionnaires afin que les négociation sur la politique fiscales puissent se dérouler dans la sérénité.
Il a aussi repris des couleurs après qu'il ait été rappelé que la plupart des décideurs de la Réserve Fédérale envisageaient qu'elle commence à fermer ses robinets d'ici la fin d'année.
Jack Lew, ministre des finances des Etats-Unis, a rappelé aujourd'hui devant leur comité financier sénatorial que ceux-ci atteindraient leur plafond d'endettement maximal le 17 octobre, et que les chicaneries commençaient à avoir des conséquences économiques.
Le département d'état au travail américain n'a guère fait de vagues en dénombrant 66.000 incriptions au chômage supplémentaires au cours de la semaine achevée le 5 octobre, pour un total hebdomadaire de 374.000 après correction saisonnière, 15.000 étant imputées aux mises à pied temporaires des employés d'état.
Il n'en allait pas de même avec l'euro, l'EUR/USD frémissant de 0,06% pour prendre pied à 1,3530.
Le billet vert a cependant gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0,03% pour chuter à 1,5950, aux alentours d'un creux de trois semaines.
La Banque d'Angleterre n'a pas créé la surprise, après que les membres de son comité directeur aient opté pour le maintien de son taux de base à 0,5%, son niveau le plus bas de l'histoire, et du volume de ses rachats d'actifs à 375 milliards de GBP.
Le franc suisse a aussi bien résisté à sa pression, l'USD/CHF grignotant 0,01% pour culminer à 0,9100.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne, néo-zélandaise, et canadienne, l'AUD/USD cédant 0,22% pour se retrouver à 0,9422, le NZD/USD se laissant arracher 0,60% pour toucher le fond à 0,8249 et l'USD/CAD réalisant un saut de puce de 0,07% pour monter à 1,0401.
Il était aussi à noter que l'indice des prix des logements neufs du Canada avait augmenté de 0,1% en août, au lieu des 0,3% envisagés.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,10% pour se situer à 80,53.