Investing.com - Le dollar U.S. a flanché face à la plupart de ses concurrents ce mardi après-midi, sombrant dans un gouffre de 23 mois par rapport à son homologue européen, après qu'il ait été annoncé que l'économie où il a cours avait créé moins d'emplois qu'espéré, laissant à penser que la Réserve Fédérale ne diminuera l'importance de ses aides que plus tard.
En seconde partie de séance européenne, il a fléchi jusqu'à son pire niveau depuis novembre 2011 devant l'euro, l'EUR/USD s'élevant de 0,41% pour prendre pied à 1,3735.
Le département d'état au travail américain en effet compté 148.000 créations de postes au cours du mois dernier, bien moins que les 180.000 envisagés.
Le total de 169.000 avancé pour août a cependant été revu vers le haut jusqu'à 193.000.
Le taux de chômage a d'autre part fondu depuis 7,3 jusqu'à 7,2%, sa valeur la plus faible en quatre ans et demi, dans le même temps, une bonne nouvelle à tempérer car imputable aux sorties de population active de plus en plus nombreuses.
Ce rapport était enfin publié après 18 jours de retard, dûs aux débrayages partiels ayant touché les administrations du pays.
Le billet vert s'était déjà largement retrouvé en difficulté en fin de semaine, en raison de la crainte des conséquences économiques des 16 jours de mises à pied des fonctionnaires récemment subis par les Etats-Unis sur une relance déjà fragilisée encouragent la Réserve Fédérale à repousser la fermeture du robinet de ses injections de liquidités au moins jusqu'à l'année prochaine.
Il en allait de même à une moindre échelle avec le yen, l'USD/JPY se repliant de 0,10% pour se retrouver à 98,08.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD amassant 0,21% pour grimper à 1,6181.
Celle-ci n'avait guère varié après qu'il ait été signalé que les déficits publics étaient passés de 12,1 à 11,1 milliards de GBP d'une année sur l'autre pour septembre.
Le franc suisse a aussi exercé sa pression, l'USD/CHF dérapant de 0,35% pour glisser à 0,8988, aux alentours d'une ornière de 20 mois.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD frémissant de 0,39% pour se retrouver à 0,9692, le NZD/USD arrachant 0,50% pour culminer à 0,8485 et l'USD/CAD se rétractant de 0,03% pour descendre à 1,0300.
Il était d'autre part à noter que les autorités du Canada avaient mesuré une avancée de 0,2% des ventes au détail pour août, soit un peu moins de que 0,3% pressentis, celles de produits de base voyant le leur atteindre 0,4% et ainsi dépasser les 0,2% prédits.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,21% pour se situer à 79,58.
En seconde partie de séance européenne, il a fléchi jusqu'à son pire niveau depuis novembre 2011 devant l'euro, l'EUR/USD s'élevant de 0,41% pour prendre pied à 1,3735.
Le département d'état au travail américain en effet compté 148.000 créations de postes au cours du mois dernier, bien moins que les 180.000 envisagés.
Le total de 169.000 avancé pour août a cependant été revu vers le haut jusqu'à 193.000.
Le taux de chômage a d'autre part fondu depuis 7,3 jusqu'à 7,2%, sa valeur la plus faible en quatre ans et demi, dans le même temps, une bonne nouvelle à tempérer car imputable aux sorties de population active de plus en plus nombreuses.
Ce rapport était enfin publié après 18 jours de retard, dûs aux débrayages partiels ayant touché les administrations du pays.
Le billet vert s'était déjà largement retrouvé en difficulté en fin de semaine, en raison de la crainte des conséquences économiques des 16 jours de mises à pied des fonctionnaires récemment subis par les Etats-Unis sur une relance déjà fragilisée encouragent la Réserve Fédérale à repousser la fermeture du robinet de ses injections de liquidités au moins jusqu'à l'année prochaine.
Il en allait de même à une moindre échelle avec le yen, l'USD/JPY se repliant de 0,10% pour se retrouver à 98,08.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD amassant 0,21% pour grimper à 1,6181.
Celle-ci n'avait guère varié après qu'il ait été signalé que les déficits publics étaient passés de 12,1 à 11,1 milliards de GBP d'une année sur l'autre pour septembre.
Le franc suisse a aussi exercé sa pression, l'USD/CHF dérapant de 0,35% pour glisser à 0,8988, aux alentours d'une ornière de 20 mois.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD frémissant de 0,39% pour se retrouver à 0,9692, le NZD/USD arrachant 0,50% pour culminer à 0,8485 et l'USD/CAD se rétractant de 0,03% pour descendre à 1,0300.
Il était d'autre part à noter que les autorités du Canada avaient mesuré une avancée de 0,2% des ventes au détail pour août, soit un peu moins de que 0,3% pressentis, celles de produits de base voyant le leur atteindre 0,4% et ainsi dépasser les 0,2% prédits.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,21% pour se situer à 79,58.