Investing.com - Les options sur le brut étaient proches d'un creux de quatre mois ce jeudi matin, alors que certains croyaient encore à la possibilité d'une réduction anticipée des ses aides d'ici la fin de l'année.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour décembre se sont échangés à 96,64 USD le baril en première partie de séance européenne, perdant 0,15%.
Ils avaient auparavant hésité dans une bande limitée entre 96,38 USD, leur cours le plus bas du jour, et 96,76 USD, leur meilleur.
La session précédente les avait vus conclure à 96,77 USD, leur pire haut niveau de clôture depuis le premier juillet, avec un faux pas de 1,46%.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 95,95 USD, leur plancher du 24 octobre, et rencontrer de la résistance à 98,80 USD, leur plafond de lundi.
La Réserve Fédérale a déclaré hier qu'elle continuerait à acquérir pour 85 milliards d'USD mensuels de bons du trésor et d'obligations adossées à des hypothèques, afin de continuer à protéger une relance économique fragilisée.
Ses représentants ont ajouté que l'économie poursuivait son expansion "à un rythme modéré", et que les risques négatifs diminuaient, ranimant le spectre d'une fermeture imminente de ses robinets.
Les Etats-Unis comptent de leur côté conclure la journée avec leur décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage, ainsi qu'avec un rapport sur l'activité manufacturière dans la région de Chicago.
L'attention était désormais rivée sur les prochains résultats, en quête d'indices sur leurs orientations monétaires futures.
L'augmentation de leurs réserves et la faiblesse de leurs besoins demeurent préoccupantes.
Les autorités des Etats-Unis avaient constaté hier que les premières avaient dépassé les prédictions en accumulant 4,1 millions de barils la semaine passée, pour en totaliser 383,9 millions, leur volume le plus important depuis juin.
Les cours ont subi une tendance baissière ces dernières semaines, dans la crainte que les récentes mises à pied partielles des fonctionnaires aient nui à l'expansion économique, et donc aux besoins pétroliers.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour décembre ont laissé échapper 0,45% pour glisser à 109,38 USD du baril dans le même temps, soit 12,74 USD de mieux que leurs homologues américaines, leur écart le plus prononcé depuis avril.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour décembre se sont échangés à 96,64 USD le baril en première partie de séance européenne, perdant 0,15%.
Ils avaient auparavant hésité dans une bande limitée entre 96,38 USD, leur cours le plus bas du jour, et 96,76 USD, leur meilleur.
La session précédente les avait vus conclure à 96,77 USD, leur pire haut niveau de clôture depuis le premier juillet, avec un faux pas de 1,46%.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 95,95 USD, leur plancher du 24 octobre, et rencontrer de la résistance à 98,80 USD, leur plafond de lundi.
La Réserve Fédérale a déclaré hier qu'elle continuerait à acquérir pour 85 milliards d'USD mensuels de bons du trésor et d'obligations adossées à des hypothèques, afin de continuer à protéger une relance économique fragilisée.
Ses représentants ont ajouté que l'économie poursuivait son expansion "à un rythme modéré", et que les risques négatifs diminuaient, ranimant le spectre d'une fermeture imminente de ses robinets.
Les Etats-Unis comptent de leur côté conclure la journée avec leur décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage, ainsi qu'avec un rapport sur l'activité manufacturière dans la région de Chicago.
L'attention était désormais rivée sur les prochains résultats, en quête d'indices sur leurs orientations monétaires futures.
L'augmentation de leurs réserves et la faiblesse de leurs besoins demeurent préoccupantes.
Les autorités des Etats-Unis avaient constaté hier que les premières avaient dépassé les prédictions en accumulant 4,1 millions de barils la semaine passée, pour en totaliser 383,9 millions, leur volume le plus important depuis juin.
Les cours ont subi une tendance baissière ces dernières semaines, dans la crainte que les récentes mises à pied partielles des fonctionnaires aient nui à l'expansion économique, et donc aux besoins pétroliers.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour décembre ont laissé échapper 0,45% pour glisser à 109,38 USD du baril dans le même temps, soit 12,74 USD de mieux que leurs homologues américaines, leur écart le plus prononcé depuis avril.