Investing.com - L'euro était englué par rapport à la plupart de ses concurrents ce jeudi, malgré des résultats allemands mitigés, la prudence restant de mise à l'approche des conclusions de la réunion de l'autorité monétaire régionale.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1,3529 en fin de première partie de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1,3514, grignotant 0,01%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3466, son plancher d'hier, et de rencontrer de la résistance à 1,3570, son plafond psychologique suivant.
Il avait auparavant été signalé que la production industrielle de l'Allemagne avait chuté de 0,9% en septembre, mais qu'elle demeurait toutefois supérieure de 1% par rapport à l'année dernière, alors qu'une érosion mensuelle de 0,2% et une augmentation annuelle de 0,8% étaient pressenties.
La prudence restait de mise dans l'hypothèse d'un réduction des taux d'intérêt de la région afin de préserver sa relance, ayant les coudées franches grâce à l'inflation la plus faible en quatre ans soulignée la semaine passée.
Aucun changement ne semblait au programme pour son conseil de direction d'aujourd'hui, mais certains estiment qu'elle pourrait laisser entrevoir de nouveaux assouplissements pour celui de décembre.
Les Etats-Unis comptaient aussi publier sous peu la première estimation de leur produit intérieur brut du troisième trimestre, qui sera surveillé de près, étant donné son influence probable sur le moment où la Réserve Fédérale procèdera à un tour de vis.
La monnaie unique a par ailleurs fait mieux que résister au yen, l'EUR/JPY frémissant de 0,04% pour se hisser à 133,36.
Elle a cependant laissé la livre sterling prendre l'avantage, l'EUR/GBP trébuchant de 0,03% pour reprendre pied à 0,8402.
La Banque d'Angleterre avait toutes les chances d'opter aujourd'hui pour le statu quo.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1,3529 en fin de première partie de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1,3514, grignotant 0,01%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3466, son plancher d'hier, et de rencontrer de la résistance à 1,3570, son plafond psychologique suivant.
Il avait auparavant été signalé que la production industrielle de l'Allemagne avait chuté de 0,9% en septembre, mais qu'elle demeurait toutefois supérieure de 1% par rapport à l'année dernière, alors qu'une érosion mensuelle de 0,2% et une augmentation annuelle de 0,8% étaient pressenties.
La prudence restait de mise dans l'hypothèse d'un réduction des taux d'intérêt de la région afin de préserver sa relance, ayant les coudées franches grâce à l'inflation la plus faible en quatre ans soulignée la semaine passée.
Aucun changement ne semblait au programme pour son conseil de direction d'aujourd'hui, mais certains estiment qu'elle pourrait laisser entrevoir de nouveaux assouplissements pour celui de décembre.
Les Etats-Unis comptaient aussi publier sous peu la première estimation de leur produit intérieur brut du troisième trimestre, qui sera surveillé de près, étant donné son influence probable sur le moment où la Réserve Fédérale procèdera à un tour de vis.
La monnaie unique a par ailleurs fait mieux que résister au yen, l'EUR/JPY frémissant de 0,04% pour se hisser à 133,36.
Elle a cependant laissé la livre sterling prendre l'avantage, l'EUR/GBP trébuchant de 0,03% pour reprendre pied à 0,8402.
La Banque d'Angleterre avait toutes les chances d'opter aujourd'hui pour le statu quo.