Concentrés sur les nombreuses publications de la matinée, les opérateurs privilégient la consolidation sur les places européennes avant les fins des réunions mensuelles de la Banque Angleterre et de la BCE en début d'après-midi.
Madrid recule ainsi de 0,8%, Milan de 0,6%, Zurich de 0,5%, Paris et Londres perdent 0,4%, Francfort et Bruxelles 0,3%, et Amsterdam 0,2%, mais Lisbonne grignote 0,1%. A New York la veille, le Dow Jones a grimpé de 0,6% alors que le Nasdaq a cédé moins de 0,1%.
'Les paris sont riches et variés, mais en fin de compte le marché demeure surtout pris par un sentiment d'urgence autour des rachats d'obligations d'Etat (l'hypothèse d'un 'QE' total)', résume Chris Weston, le stratège en chef d'IG.
'Mario Draghi semble sous pression alors que certaines voix s'élèvent contre la gestion de sa politique et face à une Allemagne toujours réfractaire à enclencher plus de mesures de soutien à l'économie', souligne-t-on chez Saxo Banque.
En attendant les décisions de la BCE et la conférence de Mario Draghi, on notera que les commandes à l'industrie ont rebondi de 0,8% au mois de septembre en Allemagne, alors que le consensus anticipait un rebond de l'ordre de 2%.
Les marchés ont aussi pris connaissance d'une hausse de 0,6% de la production industrielle britannique en septembre et seront attentifs cet après-midi, aux Etats-Unis, aux inscriptions hebdomadaires au chômage et à la productivité.
Sur le plan des valeurs, Adidas bondit de 4,5% à 59,3 euros à Francfort, à la suite de la présentation de résultats en recul moins fort que prévu pour le troisième trimestre, ce qui permet au fournisseur d'articles sportifs de confirmer ses objectifs annuels.
Siemens aussi tire plutôt son épingle du jeu (+0,7% à 89,7 euros), le conglomérat ayant annoncé, à l'occasion de ses résultats annuels, un relèvement de 10% de son dividende et une cession de son activité d'appareils auditifs pour plus de deux milliards d'euros.
Commerzbank grappille 0,2% à 12 euros, après la publication d'un bénéfice net triplé à 225 millions d'euros et d'un profit opérationnel plus que triplé à 343 millions sur le trimestre écoulé, des niveaux supérieurs aux attentes des analystes.
A Paris, les opérateurs saluent les chiffres de Veolia (+2,9% à 14 euros) et Capgemini (2,5% à 53,5 euros), à l'inverse de ceux de Société Générale (-2,5% à 37 euros), Legrand (-4,1% à 40,3 euros) et Crédit Agricole (-5,7% à 11 euro).
Copyright (c) 2014 CercleFinance.com. Tous droits réservés.
Madrid recule ainsi de 0,8%, Milan de 0,6%, Zurich de 0,5%, Paris et Londres perdent 0,4%, Francfort et Bruxelles 0,3%, et Amsterdam 0,2%, mais Lisbonne grignote 0,1%. A New York la veille, le Dow Jones a grimpé de 0,6% alors que le Nasdaq a cédé moins de 0,1%.
'Les paris sont riches et variés, mais en fin de compte le marché demeure surtout pris par un sentiment d'urgence autour des rachats d'obligations d'Etat (l'hypothèse d'un 'QE' total)', résume Chris Weston, le stratège en chef d'IG.
'Mario Draghi semble sous pression alors que certaines voix s'élèvent contre la gestion de sa politique et face à une Allemagne toujours réfractaire à enclencher plus de mesures de soutien à l'économie', souligne-t-on chez Saxo Banque.
En attendant les décisions de la BCE et la conférence de Mario Draghi, on notera que les commandes à l'industrie ont rebondi de 0,8% au mois de septembre en Allemagne, alors que le consensus anticipait un rebond de l'ordre de 2%.
Les marchés ont aussi pris connaissance d'une hausse de 0,6% de la production industrielle britannique en septembre et seront attentifs cet après-midi, aux Etats-Unis, aux inscriptions hebdomadaires au chômage et à la productivité.
Sur le plan des valeurs, Adidas bondit de 4,5% à 59,3 euros à Francfort, à la suite de la présentation de résultats en recul moins fort que prévu pour le troisième trimestre, ce qui permet au fournisseur d'articles sportifs de confirmer ses objectifs annuels.
Siemens aussi tire plutôt son épingle du jeu (+0,7% à 89,7 euros), le conglomérat ayant annoncé, à l'occasion de ses résultats annuels, un relèvement de 10% de son dividende et une cession de son activité d'appareils auditifs pour plus de deux milliards d'euros.
Commerzbank grappille 0,2% à 12 euros, après la publication d'un bénéfice net triplé à 225 millions d'euros et d'un profit opérationnel plus que triplé à 343 millions sur le trimestre écoulé, des niveaux supérieurs aux attentes des analystes.
A Paris, les opérateurs saluent les chiffres de Veolia (+2,9% à 14 euros) et Capgemini (2,5% à 53,5 euros), à l'inverse de ceux de Société Générale (-2,5% à 37 euros), Legrand (-4,1% à 40,3 euros) et Crédit Agricole (-5,7% à 11 euro).
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