La croissance plus forte que prévu de la zone euro au troisième trimestre laisse penser que les craintes d'un retour en récession de la région sont exagérées, mais diminue également les espoirs d'une prochaine intervention de la Banque centrale européenne (BCE), estime Markit.
'Les données officielles confirment les enquêtes montrant que la zone euro peine à croître face à de nombreux éléments contraires, mais qu'elle parvient malgré tout à progresser modérément et à éviter la récession', commente Chris Williamson, l'économiste en chef de l'institut de recherche économique.
'Le niveau élevé du chômage continue de peser sur la consommation, tandis que les entreprises dans des pays essentiels comme la France et l'Allemagne continuent de réduire leurs investissements, illustrant le climat d'incertitude et le pessimisme généralisé autour de l'activité', souligne-t-il.
L'économiste ajoute que les dernières études vont dans le sens d'une prolongation de ce 'malaise' au quatrième trimestre.
Markit rappelle que son indice PMI est ressorti à 52,1 au mois d'octobre, contre 52,8 en moyenne au troisième trimestre, ce qui laisse entrevoir selon lui une croissance modeste de 0,2% du PIB de la zone euro sur le dernier trimestre de l'année.
Au cours du troisième trimestre, le PIB corrigé des variations saisonnières a augmenté de 0,2% dans la zone euro, avec notamment une croissance inférieure aux attentes de 0,1% en Allemagne, mais une hausse meilleure que prévu de 0,3% en France.
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'Les données officielles confirment les enquêtes montrant que la zone euro peine à croître face à de nombreux éléments contraires, mais qu'elle parvient malgré tout à progresser modérément et à éviter la récession', commente Chris Williamson, l'économiste en chef de l'institut de recherche économique.
'Le niveau élevé du chômage continue de peser sur la consommation, tandis que les entreprises dans des pays essentiels comme la France et l'Allemagne continuent de réduire leurs investissements, illustrant le climat d'incertitude et le pessimisme généralisé autour de l'activité', souligne-t-il.
L'économiste ajoute que les dernières études vont dans le sens d'une prolongation de ce 'malaise' au quatrième trimestre.
Markit rappelle que son indice PMI est ressorti à 52,1 au mois d'octobre, contre 52,8 en moyenne au troisième trimestre, ce qui laisse entrevoir selon lui une croissance modeste de 0,2% du PIB de la zone euro sur le dernier trimestre de l'année.
Au cours du troisième trimestre, le PIB corrigé des variations saisonnières a augmenté de 0,2% dans la zone euro, avec notamment une croissance inférieure aux attentes de 0,1% en Allemagne, mais une hausse meilleure que prévu de 0,3% en France.
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