Investing.com - La livre sterling a fléchi face au dollar U.S. ce mercredi après-midi, suite à la révélation de résultats décevants concernant le domaine des services du Royaume-Uni, dans l'expectative des cnséquences de la réunion d'orientation politique de la Banque d'Angleterre prévue demain.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1.5631 en seconde partie de séance européenne, son cours le plus bas depuis vendredi, puis s'est stabilisée vers 1.5642, perdant tout de même 0.28%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.5544, son plancher du 27 juin, et de rencontrer de la résistance à 1.572, son plafond de lundi.
Il avait auparavant été montré que l'activité des entreprises de services britanniques avait connu en juin son expansion la plus faible des huit derniers mois.
L'indice des directeurs des achats dans ce domaine, établi conjointement par le groupe de recherches économiques Markit et l'institut agréé des achats et fournitures CIPS est en effet tombé à de 53.3 vers 51.3, alors que les experts redoutaient déjà de le voir descendre à 53.
L'hypothèse selon laquelle la banque centrale devrait adopter de nouvelles injections de capitaux lors de sa rencontre de jeudi afin de relancer une économie malmenée par les effets de l'austérité semblait quand à elle de plus en plus répandue.
Le volume des transactions devrait cependant rester léger, les Etats-Unis demeurant inactifs en raison de leur fête de l'indépendance.
La devise de la Grande-Bretagne n'a guère fait mieux contre l'euro, l'EUR/GBP cédant 0.03% pour glisser à 0.8033.
La valeur finale de l'indice des directeurs des achats du secteur tertiaire de la région ayant adopté la monnaie unique s'est révélée ce matin avoir dû être revue à la hausse, depuis les 46.8 évalués au préalable vers 47.1 pour le mois passé, demeurant toutefois sous la barre des 50 séparant régressions et avancées pour le cinquième mois d'affilée.
Des chiffres officiels avaient par ailleurs souligné à la mi-journée que les ventes au détail du bloc ayant adopté la monnaie unique avaient augmenté de 0.6% en mai après ajustement saisonnier, dépassant ainsi largement les 0.3% espérés, mais leur diminution d'avril, préalablement évaluée à 1%, a toutefois dû être révisée vers 1.4%.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1.5631 en seconde partie de séance européenne, son cours le plus bas depuis vendredi, puis s'est stabilisée vers 1.5642, perdant tout de même 0.28%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.5544, son plancher du 27 juin, et de rencontrer de la résistance à 1.572, son plafond de lundi.
Il avait auparavant été montré que l'activité des entreprises de services britanniques avait connu en juin son expansion la plus faible des huit derniers mois.
L'indice des directeurs des achats dans ce domaine, établi conjointement par le groupe de recherches économiques Markit et l'institut agréé des achats et fournitures CIPS est en effet tombé à de 53.3 vers 51.3, alors que les experts redoutaient déjà de le voir descendre à 53.
L'hypothèse selon laquelle la banque centrale devrait adopter de nouvelles injections de capitaux lors de sa rencontre de jeudi afin de relancer une économie malmenée par les effets de l'austérité semblait quand à elle de plus en plus répandue.
Le volume des transactions devrait cependant rester léger, les Etats-Unis demeurant inactifs en raison de leur fête de l'indépendance.
La devise de la Grande-Bretagne n'a guère fait mieux contre l'euro, l'EUR/GBP cédant 0.03% pour glisser à 0.8033.
La valeur finale de l'indice des directeurs des achats du secteur tertiaire de la région ayant adopté la monnaie unique s'est révélée ce matin avoir dû être revue à la hausse, depuis les 46.8 évalués au préalable vers 47.1 pour le mois passé, demeurant toutefois sous la barre des 50 séparant régressions et avancées pour le cinquième mois d'affilée.
Des chiffres officiels avaient par ailleurs souligné à la mi-journée que les ventes au détail du bloc ayant adopté la monnaie unique avaient augmenté de 0.6% en mai après ajustement saisonnier, dépassant ainsi largement les 0.3% espérés, mais leur diminution d'avril, préalablement évaluée à 1%, a toutefois dû être révisée vers 1.4%.