Investing.com - Les options sur le brut étaient à la hausse pour la première fois en quatre jours ce mardi, s'extirpant de leur ornière des quatre derniers mois grâce aux investisseurs prenant position sur le marché avec des achats au prix les plus bas et à l'affaiblissement du dollar U.S.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour août se sont échangés à 91.12 USD le baril en première partie de séance européenne, gagnant 0.35%.
Ils avaient auparavant culminé à 91.41 USD, leur cours le plus élevé depuis le 24 juin, après avoir plongé lundi jusqu'à 89.61, leur pire niveau des quatre mois écoulés.
Les craintes liées aux prévisions des besoins futurs, et à une possible saturation suite à la mise à disposition des réserves d'urgence de l'Agence Internationale de l'Energie ont fortement pesé sur les cours lors des dernières sessions.
Ils ont en effet plongé de près de 5.5% lors de trois séances ayant suivi l'annonce de l'AIE de jeudi.
Cette dégringolade a toutefois déclenché des achats à prix avantageux de la part des acteurs peu enclins à parier sur une poursuite du déclin, alors qu'une hausse de la demande américaine est attendue pour le week-end prolongé du 4 juillet.
Il est en effet généralement admis que la période du jour de l'indépendance est le point d'orgue de la saison de forte consommation d'essence.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a glissé de 0.16% de son côté pour se situer à 75.65.
Les contrats sur le pétrole, libellés en dollars, ont tendance à monter quand ce dernier descend, les rendant moins coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
Les observateurs attendaient également de nouvelles informations concernant les réserves américaines d'or noir et de carburants raffinés.
L'institut du pétrole américain devrait divulguer son étude sur celles-ci en cours de journée, et le rapport gouvernemental de mercredi pourrait indiquer une diminution de 1.5 millions de barils pour la semaine passée, ce qui les amènerait à un total de 362.3 millions de barils, leur plus bas niveau en deux mois.
Sur le marché ICE, les futures de Brent sur le brut pour août ont pris 0.35% de leur côté pour grimper à 106.91 USD du baril dans le même temps, soit 15.79 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour août se sont échangés à 91.12 USD le baril en première partie de séance européenne, gagnant 0.35%.
Ils avaient auparavant culminé à 91.41 USD, leur cours le plus élevé depuis le 24 juin, après avoir plongé lundi jusqu'à 89.61, leur pire niveau des quatre mois écoulés.
Les craintes liées aux prévisions des besoins futurs, et à une possible saturation suite à la mise à disposition des réserves d'urgence de l'Agence Internationale de l'Energie ont fortement pesé sur les cours lors des dernières sessions.
Ils ont en effet plongé de près de 5.5% lors de trois séances ayant suivi l'annonce de l'AIE de jeudi.
Cette dégringolade a toutefois déclenché des achats à prix avantageux de la part des acteurs peu enclins à parier sur une poursuite du déclin, alors qu'une hausse de la demande américaine est attendue pour le week-end prolongé du 4 juillet.
Il est en effet généralement admis que la période du jour de l'indépendance est le point d'orgue de la saison de forte consommation d'essence.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a glissé de 0.16% de son côté pour se situer à 75.65.
Les contrats sur le pétrole, libellés en dollars, ont tendance à monter quand ce dernier descend, les rendant moins coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
Les observateurs attendaient également de nouvelles informations concernant les réserves américaines d'or noir et de carburants raffinés.
L'institut du pétrole américain devrait divulguer son étude sur celles-ci en cours de journée, et le rapport gouvernemental de mercredi pourrait indiquer une diminution de 1.5 millions de barils pour la semaine passée, ce qui les amènerait à un total de 362.3 millions de barils, leur plus bas niveau en deux mois.
Sur le marché ICE, les futures de Brent sur le brut pour août ont pris 0.35% de leur côté pour grimper à 106.91 USD du baril dans le même temps, soit 15.79 USD de mieux que leurs homologues américaines.