Investing.com - Le dollar U.S. est resté en berne face à la plupart de ses concurrents ce jeudi, mais a limité ses pertes contre la monnaie unique dans l'attente du vote grec sur les différentes mesures de restriction budgétaire et des résultats du marché de l'emploi aux Etats-Unis.
En seconde partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.11% pour grimper à 1.445.
Des chiffres officiels avaient montré ce matin que les ventes au détail allemandes avaient diminué en mai sans crier gare, et que les dépenses de consommation françaises avaient davantage plongé qu'il n'avait été craint.
La devise européenne est toutefois restée soutenue par les signes d'une nouvelle hausse des taux d'intérêt de la Banque Centrale Européenne pour la semaine prochaine après qu'une étude émanant des autorités ait montré que l'inflation des prix à la consommation de juin était restée bien au-dessus des 2% visés par celle-ci.
La livre sterling lui a toutefois cédé du terrain, le GBP/USD perdant 0.31% pour descendre à 1.6010.
Un rapport avait auparavant indiqué que les prix des logements de Grande-Bretagne étaient restés inchangés en juin, et un autre que la confiance des consommateurs britanniques avait davantage diminué que prévu dans le même temps.
Il a d'autre part subi la pression du yen mais pas du franc suisse, l'USD/JPY trébuchant de 0.44% pour se retrouver à 80.41 et l'USD/CHF arrachant 0.08% pour se hisser à 0.8351.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.39% pour aller vers 0.9656, l'AUD/USD raflant 0.35% pour monter à 1.0718 et le NZD/USD engrangeant 0.24% pour culminer à 0.8273.
Alan Bollard, gouverneur de la Réserve Bancaire de Nouvelle-Zélande, avait déclaré ce matin que l'économie du pays se trouvait tirée vers le haut par la hausse des cours des matières premières, celle-ci soutenant du coup la demande pour la devise nationale.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.17%.
Le gouvernement des Etats-Unis devrait rendre aujourd'hui son rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, et faire connaître le volume de l'activité manufacturière dans la région de Chicago.
En seconde partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.11% pour grimper à 1.445.
Des chiffres officiels avaient montré ce matin que les ventes au détail allemandes avaient diminué en mai sans crier gare, et que les dépenses de consommation françaises avaient davantage plongé qu'il n'avait été craint.
La devise européenne est toutefois restée soutenue par les signes d'une nouvelle hausse des taux d'intérêt de la Banque Centrale Européenne pour la semaine prochaine après qu'une étude émanant des autorités ait montré que l'inflation des prix à la consommation de juin était restée bien au-dessus des 2% visés par celle-ci.
La livre sterling lui a toutefois cédé du terrain, le GBP/USD perdant 0.31% pour descendre à 1.6010.
Un rapport avait auparavant indiqué que les prix des logements de Grande-Bretagne étaient restés inchangés en juin, et un autre que la confiance des consommateurs britanniques avait davantage diminué que prévu dans le même temps.
Il a d'autre part subi la pression du yen mais pas du franc suisse, l'USD/JPY trébuchant de 0.44% pour se retrouver à 80.41 et l'USD/CHF arrachant 0.08% pour se hisser à 0.8351.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.39% pour aller vers 0.9656, l'AUD/USD raflant 0.35% pour monter à 1.0718 et le NZD/USD engrangeant 0.24% pour culminer à 0.8273.
Alan Bollard, gouverneur de la Réserve Bancaire de Nouvelle-Zélande, avait déclaré ce matin que l'économie du pays se trouvait tirée vers le haut par la hausse des cours des matières premières, celle-ci soutenant du coup la demande pour la devise nationale.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.17%.
Le gouvernement des Etats-Unis devrait rendre aujourd'hui son rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, et faire connaître le volume de l'activité manufacturière dans la région de Chicago.