Investing.com - Le dollar U.S. était en berne face à la plupart de ses concurrents ce jeudi, aprèsque le parlement grec ait accepté le plan de rigueur bugdétaire exigé par les bailleurs de fonds afin d'éviter ce qui pourrait être premier défaut de paiement des dettes souveraines d'un membre de la zone euro.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant0.41 % pour grimper à 1.4495.
Le parlement grec a en effet voté hier pour la mise en place d'un plan d'austérité quinquennal destiné à dégager 28.4 milliards d'euros d'économies, se rapprochant ainsi de l'obtention des 12 milliards d'euros de la prochaine tranche des prêts de secours octroyés par l'Union Européenne et du Fonds Monétaire International.
La livre sterling lui a toutefois cédé du terrain, le GBP/USD perdant 0.25% pour descendre à 1.6021.
Une étude avait auparavant indiqué que les prix des logements britanniques étaient restés inchangés en juin, et une autre que la confiance des consommateurs avait davantage diminué que prévu dans le même temps.
Il a d'autre part subi la pression du yen et du franc suisse, l'USD/JPY trébuchant de 0.52% pour se retrouver à 80.36 et l'USD/CHF glissant de 0.14% pour tomber à 0.8333.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.34% pour aller vers 0.9661, l'AUD/USD raflant 0.43% pour monter à 1.0728 et le NZD/USD engrangeant 0.38% pour culminer à 0.8285.
Alan Bollard, gouverneur de la Réserve Bancaire de Nouvelle-Zélande, avait déclaré ce matin que l'économie du pays se trouvait tirée vers le haut par la hausse des cours des matières premières, celle-ci soutenant du coup la demande pour la devise nationale.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.37%.
Le gouvernement des Etats-Unis devrait rendre aujourd'hui son rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, et faire connaître le volume de l'activité manufacturière dans la région de Chicago.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant0.41 % pour grimper à 1.4495.
Le parlement grec a en effet voté hier pour la mise en place d'un plan d'austérité quinquennal destiné à dégager 28.4 milliards d'euros d'économies, se rapprochant ainsi de l'obtention des 12 milliards d'euros de la prochaine tranche des prêts de secours octroyés par l'Union Européenne et du Fonds Monétaire International.
La livre sterling lui a toutefois cédé du terrain, le GBP/USD perdant 0.25% pour descendre à 1.6021.
Une étude avait auparavant indiqué que les prix des logements britanniques étaient restés inchangés en juin, et une autre que la confiance des consommateurs avait davantage diminué que prévu dans le même temps.
Il a d'autre part subi la pression du yen et du franc suisse, l'USD/JPY trébuchant de 0.52% pour se retrouver à 80.36 et l'USD/CHF glissant de 0.14% pour tomber à 0.8333.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.34% pour aller vers 0.9661, l'AUD/USD raflant 0.43% pour monter à 1.0728 et le NZD/USD engrangeant 0.38% pour culminer à 0.8285.
Alan Bollard, gouverneur de la Réserve Bancaire de Nouvelle-Zélande, avait déclaré ce matin que l'économie du pays se trouvait tirée vers le haut par la hausse des cours des matières premières, celle-ci soutenant du coup la demande pour la devise nationale.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.37%.
Le gouvernement des Etats-Unis devrait rendre aujourd'hui son rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, et faire connaître le volume de l'activité manufacturière dans la région de Chicago.