Investing.com - Les options sur l'or étaient en net recul ce mardi, prolongeant les pertes de la veille et plongeant dans une ornière des sept dernières semaines, la perspective d'une possible dégradation de masse des notations monétaires souveraines de l'Europe poussant les investisseurs à liquider leurs positions aurifères profitables afin de lever des capitaux.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour février se sont échangés à 1 661.45 USD de l'once en début de séance européenne, cédant 0.4%.
Ils avaient précédement touché le fond à 1 655.05 USD, leur pire cours depuis le 25 octobre, sombrant de 0.75%.
Ils avaient des chances de trouver du soutien à 1 649.05, leur plancher du 25 octobre, et de rencontrer de la résistance à 1 718.75, leur plafond d'hier.
La journée de lundi les a vus subir un effondrement de près de 2.7%, leur pire performance journalière depuis trois mois, l'optimisme des observateurs encouragé par le sommet de l'Union Européenne de la semaine passée tendant à disparaître.
L'agence Moody's a déclaré que ce dernier n'avait pas produit les "mesures politiques décisives" qui auraient mis fin au problème du surendettement régional, et ajouté qu'elle reverrait les appréciations de tous les états membres de l'UE au premier trimestre 2012.
Sa concurrente Fitch Ratings estimait quand à elle que l'incapacité des dirigeants européens à dégager une solution "complète" à la crise de la dette avait aggravé la pression sur les notations monétaires des pays de la zone euro.
Les acteurs des marchés avaient généralement acheté de l'or lors de l'arrivée de mauvaises nouvelles en provenance d'Europe au cours de la majeure partie de l'année passée, celles-ci renforçant son attrait en tant que valeur refuge.
Il s'est toutefois mis à évoluer, après avoir établi un nouveau sommet historique à 1 920 USD en septembre, d'une corrélation négative à une positive avec les valeurs les plus audacieuses, comme les actions et les autres matières premières, les acteurs des marchés lui préférant le giron fluctuant de l'étalon américain.
HSBC Holdings, premier prêteur d'Europe, a affirmé dans un article publier dans la soirée de lundi: "Il semblerait que les cours de l'or soient davantage influencés par les transactions liées au risque que par celles dépendant des devvises ou des achats de valeurs sûres."
Il était ajouté ajouté que la banque s'attendait à ce que les prix "demeurent sur la défensive" à court terme, invoquant les preuves d'un "assèchement des liquidités" s'accumulant sur les marchés financiers, les courtiers "liquidant leurs portefeuilles afin d'assurer leurs bénéfices avant la fin de l'année", réduisant ainsi le volume des capitaux disponibles et encourageant la volatilité du même coup.
Les futures sur l'argent pour mars ont par ailleurs rebondi de 0.9% pour grimper à 31.25 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique sont restées neutres pour se maintenir à 3.465 USD la livre dans le même temps.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour février se sont échangés à 1 661.45 USD de l'once en début de séance européenne, cédant 0.4%.
Ils avaient précédement touché le fond à 1 655.05 USD, leur pire cours depuis le 25 octobre, sombrant de 0.75%.
Ils avaient des chances de trouver du soutien à 1 649.05, leur plancher du 25 octobre, et de rencontrer de la résistance à 1 718.75, leur plafond d'hier.
La journée de lundi les a vus subir un effondrement de près de 2.7%, leur pire performance journalière depuis trois mois, l'optimisme des observateurs encouragé par le sommet de l'Union Européenne de la semaine passée tendant à disparaître.
L'agence Moody's a déclaré que ce dernier n'avait pas produit les "mesures politiques décisives" qui auraient mis fin au problème du surendettement régional, et ajouté qu'elle reverrait les appréciations de tous les états membres de l'UE au premier trimestre 2012.
Sa concurrente Fitch Ratings estimait quand à elle que l'incapacité des dirigeants européens à dégager une solution "complète" à la crise de la dette avait aggravé la pression sur les notations monétaires des pays de la zone euro.
Les acteurs des marchés avaient généralement acheté de l'or lors de l'arrivée de mauvaises nouvelles en provenance d'Europe au cours de la majeure partie de l'année passée, celles-ci renforçant son attrait en tant que valeur refuge.
Il s'est toutefois mis à évoluer, après avoir établi un nouveau sommet historique à 1 920 USD en septembre, d'une corrélation négative à une positive avec les valeurs les plus audacieuses, comme les actions et les autres matières premières, les acteurs des marchés lui préférant le giron fluctuant de l'étalon américain.
HSBC Holdings, premier prêteur d'Europe, a affirmé dans un article publier dans la soirée de lundi: "Il semblerait que les cours de l'or soient davantage influencés par les transactions liées au risque que par celles dépendant des devvises ou des achats de valeurs sûres."
Il était ajouté ajouté que la banque s'attendait à ce que les prix "demeurent sur la défensive" à court terme, invoquant les preuves d'un "assèchement des liquidités" s'accumulant sur les marchés financiers, les courtiers "liquidant leurs portefeuilles afin d'assurer leurs bénéfices avant la fin de l'année", réduisant ainsi le volume des capitaux disponibles et encourageant la volatilité du même coup.
Les futures sur l'argent pour mars ont par ailleurs rebondi de 0.9% pour grimper à 31.25 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique sont restées neutres pour se maintenir à 3.465 USD la livre dans le même temps.