Investing.com - Les bourses européennes gardaient le moral ce mardi matin, après que le congrès américain ait échoué dans la quête d'un consensus budgétaire pour la prochaine année fiscale, entraînant une interruption partielle des activités des administrations.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,58%, le CAC 40 français de 0,44%, et le DAX 30 allemand de 0,45%.
Les autorités des Etats-Unis ont en effet la mise à pied partielle de leurs services, après que les élus aint refusé de se mettre d'accord concernant la répartition du budget fédéral, pour la première fois en 17 ans.
Le camp républicain tenait a en effet à monnayer un vote favorable au budget contre un délai dans la mise en place des réformes du système de santé du président Obama.
L'Italie était aussi sous les feux de la rampe, alors que le premier ministre Enrico Letta s'apprêtait à devoir affronter demain un vote de confiance devant le parlement, après que Silvio Berlusconi ait annoncé samedi du retrait de ses ministres du gouvernement de son coalition.
La finance était en forme, la Deutsche Bank allemande empochant 0,54%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 0,92 et 1%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 0,70 et 0,85%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 1,64 et 0,81%.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, se rétractait de 0,04%, tiré vers le bas par des exploitants et des extracteurs en berne.
Les mastodontes miniers Glencore Xstrata et Polymetal fondaient de 0,34 et 0,46%, leurs rival Evraz n'étant pas à l'abri avec 2,11%.
Le fabricant de produits ménagers Unilever était parmi les lanternes rouges, dérapant de 3,27%, suite à l'aveu du recul de son chiffre d'affaires au troisième trimestre.
La City suivait quand à elle majoritairement le chemin tracé sur le continent, HSBC Holdings frémissant de 0,24%, Barclays de 0,60% et la Royal Bank of Scotland de 0,61%, tandis que Lloyds Banking décevait avec un faux pas de 0,23%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,31%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,41% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,50%.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,58%, le CAC 40 français de 0,44%, et le DAX 30 allemand de 0,45%.
Les autorités des Etats-Unis ont en effet la mise à pied partielle de leurs services, après que les élus aint refusé de se mettre d'accord concernant la répartition du budget fédéral, pour la première fois en 17 ans.
Le camp républicain tenait a en effet à monnayer un vote favorable au budget contre un délai dans la mise en place des réformes du système de santé du président Obama.
L'Italie était aussi sous les feux de la rampe, alors que le premier ministre Enrico Letta s'apprêtait à devoir affronter demain un vote de confiance devant le parlement, après que Silvio Berlusconi ait annoncé samedi du retrait de ses ministres du gouvernement de son coalition.
La finance était en forme, la Deutsche Bank allemande empochant 0,54%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 0,92 et 1%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 0,70 et 0,85%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 1,64 et 0,81%.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, se rétractait de 0,04%, tiré vers le bas par des exploitants et des extracteurs en berne.
Les mastodontes miniers Glencore Xstrata et Polymetal fondaient de 0,34 et 0,46%, leurs rival Evraz n'étant pas à l'abri avec 2,11%.
Le fabricant de produits ménagers Unilever était parmi les lanternes rouges, dérapant de 3,27%, suite à l'aveu du recul de son chiffre d'affaires au troisième trimestre.
La City suivait quand à elle majoritairement le chemin tracé sur le continent, HSBC Holdings frémissant de 0,24%, Barclays de 0,60% et la Royal Bank of Scotland de 0,61%, tandis que Lloyds Banking décevait avec un faux pas de 0,23%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,31%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,41% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,50%.