Investing.com - La semaine passée aura vu les cours du brut se rapprocher à nouveau de leur pic des 30 derniers mois sur fond de crainte que l'escalade des troubles au Moyen-Orient et en Afrique du Nord ne s'étende aux autres pays producteurs de la région.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour mai se sont échangés à 105.66 USD le baril à la clôture des marchés de vendredi, engrangeant 2.35% en cours de semaine.
Ils avaient culminé jeudi à 106.65 USD, leur cours le plus élevé depuis le 7 mars, où ils avaient atteint 106.93 USD, leur plus haut niveau depuis septembre 2008.
Les attaques par la voie des airs de la coalition en Libye se sont poursuivies, dans le but avoué de protéger les populations civiles en repoussant les troupes du colonel Mouammar Kadhafi.
Le pays est le détenteur des plus grands champs d'or noir de l'Afrique, et en extrait environ 1.6 millions de barils par jour. Shokri Ghanem, président de la compagnie pétrolière nationale libyenne, a en effet annoncé la semaine dernière que la production national était tombée sous les 400 000 barils quotidiens en février, contre 1.59 millions au cours du mois précédent.
JP Morgan, fournisseur international de services financiers, a déclaré dans un rapport dévoilé vendredi: "Tant que les problèmes du Moyen-Orient persisteront à augmenter les risques de perturbations supplémentaires des approvisionnements, les chances que les prix flambent au second trimestre restent fortes, les investisseurs exigeant davantage de pétrole pour faire face à la demande accrue de l'été."
Ces derniers surveillaient également les manifestations du Yémen, du Bahreïn et de la Syrie comme le lait sur le feu.
L'agence américaine d'information sur l'énergie a déclaré que les pays de l'Afrique du Nord et du Moyen-Orient étaient responsables de 36% de la production mondiale et abritaient 61% des réserves prouvées en 2009.
Les chiffres émanant du gouvernement ont quand à eux montré que les réserves américaines avaient connu au cours de la semaine achevée le 18 mars une croissance dépassant légèrement les attentes, prenant 2.1 millions de barils, contre 2 millions prévus.
Les Etats-Unis restent les premiers consommateurs de pétrole au monde.
Sur le marché ICE, les futures de Brent sur le brut pour mai ont gagné 0.95% pour grimper à 116.02 USD du baril dans le même temps, soit 10.36 USD de mieux que leurs homologues américaines.
JP Morgan a par ailleurs remonté ses prévisions pour le prix Brent au second trimestre 2011 à 118 USD le baril, invoquant le conflit en Afrique du Nord, et ajoutant que les cours "pourraient rester quelque temps" au-dessus des 120 USD, voire même culminer à 130 USD.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour mai se sont échangés à 105.66 USD le baril à la clôture des marchés de vendredi, engrangeant 2.35% en cours de semaine.
Ils avaient culminé jeudi à 106.65 USD, leur cours le plus élevé depuis le 7 mars, où ils avaient atteint 106.93 USD, leur plus haut niveau depuis septembre 2008.
Les attaques par la voie des airs de la coalition en Libye se sont poursuivies, dans le but avoué de protéger les populations civiles en repoussant les troupes du colonel Mouammar Kadhafi.
Le pays est le détenteur des plus grands champs d'or noir de l'Afrique, et en extrait environ 1.6 millions de barils par jour. Shokri Ghanem, président de la compagnie pétrolière nationale libyenne, a en effet annoncé la semaine dernière que la production national était tombée sous les 400 000 barils quotidiens en février, contre 1.59 millions au cours du mois précédent.
JP Morgan, fournisseur international de services financiers, a déclaré dans un rapport dévoilé vendredi: "Tant que les problèmes du Moyen-Orient persisteront à augmenter les risques de perturbations supplémentaires des approvisionnements, les chances que les prix flambent au second trimestre restent fortes, les investisseurs exigeant davantage de pétrole pour faire face à la demande accrue de l'été."
Ces derniers surveillaient également les manifestations du Yémen, du Bahreïn et de la Syrie comme le lait sur le feu.
L'agence américaine d'information sur l'énergie a déclaré que les pays de l'Afrique du Nord et du Moyen-Orient étaient responsables de 36% de la production mondiale et abritaient 61% des réserves prouvées en 2009.
Les chiffres émanant du gouvernement ont quand à eux montré que les réserves américaines avaient connu au cours de la semaine achevée le 18 mars une croissance dépassant légèrement les attentes, prenant 2.1 millions de barils, contre 2 millions prévus.
Les Etats-Unis restent les premiers consommateurs de pétrole au monde.
Sur le marché ICE, les futures de Brent sur le brut pour mai ont gagné 0.95% pour grimper à 116.02 USD du baril dans le même temps, soit 10.36 USD de mieux que leurs homologues américaines.
JP Morgan a par ailleurs remonté ses prévisions pour le prix Brent au second trimestre 2011 à 118 USD le baril, invoquant le conflit en Afrique du Nord, et ajoutant que les cours "pourraient rester quelque temps" au-dessus des 120 USD, voire même culminer à 130 USD.