La Bourse de Paris devrait ouvrir en légère hausse lundi dans les premiers échanges, dans un marché où l'attentisme devrait cependant dominer avant la publication d'une série d'indicateurs.
Vers 8h10, le contrat futur sur l'indice CAC 40 - livraison fin juin - affiche un gain de 0,3% à 5020,5 points, prémisse d'une ouverture favorable.
En cédant 2,5% vendredi, le marché parisien avait non seulement clôturé au plus bas du jour, mais également de la semaine, et enfoncé le seuil des 5050 points pour en terminer au contact du support des 5000/5010 points.
Le bilan hebdomadaire s'avère négatif de 2,6% alors que le bilan mensuel - qui était encore de +2% vendredi matin - ressort finalement négatif de 0,7%.
Après plusieurs semaines d'optimisme, le marché semble avoir succombé au sentiment que plus personne n'est d'accord sur rien au sujet de la Grèce.
Le scénario en vogue semble aujourd'hui être celui d'un regroupement des nombreuses lignes de prêt octroyés à la Grèce par le FMI au sein d'un seul et même 'package', un projet qui ferait gagner à Athènes de précieuses semaines.
Un autre 'tour de passe-passe' prévoirait la mise en place d'un emprunt grec au Mécanisme européen de stabilité (MES) sur 30 ans (moyennant un taux de rémunération symbolique) pour permettre à Athènes de racheter sa dette à la BCE et de devenir éligible au QE conduit par l'autorité centrale européenne.
Cette première semaine du mois de juin s'annonce chargée avec au programme une série d'indicateurs économiques et en points d'orgue la réunion de la BCE jeudi et les chiffres de l'emploi américain vendredi.
La publication des indices PMI européens définitifs ce lundi devrait confirmer le scénario d'un tassement des indicateurs 'composites' malgré un renforcement du secteur manufacturier.
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Vers 8h10, le contrat futur sur l'indice CAC 40 - livraison fin juin - affiche un gain de 0,3% à 5020,5 points, prémisse d'une ouverture favorable.
En cédant 2,5% vendredi, le marché parisien avait non seulement clôturé au plus bas du jour, mais également de la semaine, et enfoncé le seuil des 5050 points pour en terminer au contact du support des 5000/5010 points.
Le bilan hebdomadaire s'avère négatif de 2,6% alors que le bilan mensuel - qui était encore de +2% vendredi matin - ressort finalement négatif de 0,7%.
Après plusieurs semaines d'optimisme, le marché semble avoir succombé au sentiment que plus personne n'est d'accord sur rien au sujet de la Grèce.
Le scénario en vogue semble aujourd'hui être celui d'un regroupement des nombreuses lignes de prêt octroyés à la Grèce par le FMI au sein d'un seul et même 'package', un projet qui ferait gagner à Athènes de précieuses semaines.
Un autre 'tour de passe-passe' prévoirait la mise en place d'un emprunt grec au Mécanisme européen de stabilité (MES) sur 30 ans (moyennant un taux de rémunération symbolique) pour permettre à Athènes de racheter sa dette à la BCE et de devenir éligible au QE conduit par l'autorité centrale européenne.
Cette première semaine du mois de juin s'annonce chargée avec au programme une série d'indicateurs économiques et en points d'orgue la réunion de la BCE jeudi et les chiffres de l'emploi américain vendredi.
La publication des indices PMI européens définitifs ce lundi devrait confirmer le scénario d'un tassement des indicateurs 'composites' malgré un renforcement du secteur manufacturier.
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