Investing.com - Les options sur le brut étaient en progrès pour la seconde journée d'affilée ce jeudi, bondissant vers un pic des six derniers mois après que que la nouvelle de l'inversion d'un pipe-line américain de première importance ait fait espérer qu'un encombrement dans l'approvisionnement américaine prendrait bientôt fin.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour janvier se sont échangés à 103.03 USD le baril en première partie de séance européenne, gagnant 0.41%.
Ils avaient auparavant culminé à 103.37 USD, leur cours le plus élevé depuis le 11 mai, avec une avancée de 0.65%.
Les investisseurs ont été pris par surprise par l'annonce selon laquelle Enbridge, premier transporteur d'or noir canadien, avait acquis 50% de parts du Seaway Crude Pipeline acheminant celui-ci depuis le Golfe du Mexique vers Cushing, Oklahoma, point de livraison de référence du NYMEX.
La société a en effet fait savoir qu'elle inverserait son sens de circulation, en accord avec Enterprise Product Partners, son opérateur et propriétaire de la moitié restannte, afin de fournir les terminaux de la côte du golfe.
Elle a ajouté que l'oléoduc Seaway pourrait transporter jusqu'à 400 000 barils quotidiens de Cushing vers la zone d'ici 2013.
L'accumulation des arrivées à Cushing a été la principale cause des écarts record entre le brut échangé à New York et le Brent coté à Londres.
La nouvelle a poussé JP Morgan, une des banques les plus influentes de Wall Street, a revoir à la hausse ses prévisions pour les prix à 110 USD du baril pour 2012, contre 97.5 USD précédemment, allant jusqu'à 118 USD pour 2013.
Elle a également précisé s'attendre à voir l'écart Brent-WTI s'orienter vers une relation plus stable, aux alentours de 1 USD par baril, et 2 USD en 2013.
Son raisonnement était: "L'inversion du flux d'ici le second trimestre 2012 aidera a désengorger encore le Midwest américain, diminuant les frais déboursés pour amener le brut lourd canadien et le Bakken plus léger vers les raffineries de la côte du Golfe du Mexique."
Les observateurs demeuraient toutefois prudents dans l'expectative des mises aux enchères d'obligations de France et d'Espagne, dans ce qui devrait être considéré comme un test crucial de désirabilité des dettes souveraines européennes.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour janvier ont cédé 0.33% pour trébucher à 111.52 USD du baril dans le même temps, l'acart avec leurs homologues américaines se réduisant à 8.49 USD.
Ce dernier est nettement retombé de son pic à 27.88 USD de la mi-octobre.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour janvier se sont échangés à 103.03 USD le baril en première partie de séance européenne, gagnant 0.41%.
Ils avaient auparavant culminé à 103.37 USD, leur cours le plus élevé depuis le 11 mai, avec une avancée de 0.65%.
Les investisseurs ont été pris par surprise par l'annonce selon laquelle Enbridge, premier transporteur d'or noir canadien, avait acquis 50% de parts du Seaway Crude Pipeline acheminant celui-ci depuis le Golfe du Mexique vers Cushing, Oklahoma, point de livraison de référence du NYMEX.
La société a en effet fait savoir qu'elle inverserait son sens de circulation, en accord avec Enterprise Product Partners, son opérateur et propriétaire de la moitié restannte, afin de fournir les terminaux de la côte du golfe.
Elle a ajouté que l'oléoduc Seaway pourrait transporter jusqu'à 400 000 barils quotidiens de Cushing vers la zone d'ici 2013.
L'accumulation des arrivées à Cushing a été la principale cause des écarts record entre le brut échangé à New York et le Brent coté à Londres.
La nouvelle a poussé JP Morgan, une des banques les plus influentes de Wall Street, a revoir à la hausse ses prévisions pour les prix à 110 USD du baril pour 2012, contre 97.5 USD précédemment, allant jusqu'à 118 USD pour 2013.
Elle a également précisé s'attendre à voir l'écart Brent-WTI s'orienter vers une relation plus stable, aux alentours de 1 USD par baril, et 2 USD en 2013.
Son raisonnement était: "L'inversion du flux d'ici le second trimestre 2012 aidera a désengorger encore le Midwest américain, diminuant les frais déboursés pour amener le brut lourd canadien et le Bakken plus léger vers les raffineries de la côte du Golfe du Mexique."
Les observateurs demeuraient toutefois prudents dans l'expectative des mises aux enchères d'obligations de France et d'Espagne, dans ce qui devrait être considéré comme un test crucial de désirabilité des dettes souveraines européennes.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour janvier ont cédé 0.33% pour trébucher à 111.52 USD du baril dans le même temps, l'acart avec leurs homologues américaines se réduisant à 8.49 USD.
Ce dernier est nettement retombé de son pic à 27.88 USD de la mi-octobre.