Investing.com - Les bourses européennes étaient en berne mardi, les banques et les miniers perdant du terrain alors que planaient les spectres de la dette grecque et d'un resserrement supplémentaire de la politique chinoise.
Au début de la séance européenne, le CAC 40 français était en baisse de 0.62%, le FTSE britannique de 0.51% et l'EURO STOXX 50 de 0.64%.
La baisse du DAX allemand était limitée à 0.15%, alors que venait d'être publié un rapport optimiste sur l'humeur des consommateurs du pays. En effet, le groupe de recherches Gfk avait annoncé que la confiance des ménages devrait s'améliorer davantage que prévu en mai.
Le déclin des valeurs européennes intervient après que l'Allemagne ait exigé lundi de la Grèce qu'elle prenne des mesures d'austérité sévères en contrepartie de l'aide financière UE-FMI. Cette décision a déclenché des doutes sur la capacité du pays à se sortir de l'ornière à temps pour éviter le défaut de paiement.
Les banques se trouvaient parmi les lanternes rouges, Santander laissant échapper 2.51% et la Banque Nationale de Grèce perdant 1.59%.
China Vanke Co., le plus gros investisseur immobilier de Chine, avait auparavant annoncé que ses bénéfices au premier trimestre avaient diminué de 53% par rapport au précédent, suite aux mesures gouvernementales destinées à dégonfler la bulle immobilière.
Le futur des marchés américains s'annonçait mitigé: les options sur le Dow Jones prévoyant une hausse de 0.03%, celles sur le S&P 500 une baisse de 0.06% et celles sur le Nasdaq 100 tablant sur 0.05% de gains.
Le Conference Board, un groupe de recherches, devrait publier au cours de la journée son indice de l'humeur des consommateurs américains. Quand au président de la Réserve Fédérale U.S., Ben Bernanke, il doit témoigner devant la Commission Nationale sur la Responsabilité Fiscale et la Réforme à Washington D.C.
Au début de la séance européenne, le CAC 40 français était en baisse de 0.62%, le FTSE britannique de 0.51% et l'EURO STOXX 50 de 0.64%.
La baisse du DAX allemand était limitée à 0.15%, alors que venait d'être publié un rapport optimiste sur l'humeur des consommateurs du pays. En effet, le groupe de recherches Gfk avait annoncé que la confiance des ménages devrait s'améliorer davantage que prévu en mai.
Le déclin des valeurs européennes intervient après que l'Allemagne ait exigé lundi de la Grèce qu'elle prenne des mesures d'austérité sévères en contrepartie de l'aide financière UE-FMI. Cette décision a déclenché des doutes sur la capacité du pays à se sortir de l'ornière à temps pour éviter le défaut de paiement.
Les banques se trouvaient parmi les lanternes rouges, Santander laissant échapper 2.51% et la Banque Nationale de Grèce perdant 1.59%.
China Vanke Co., le plus gros investisseur immobilier de Chine, avait auparavant annoncé que ses bénéfices au premier trimestre avaient diminué de 53% par rapport au précédent, suite aux mesures gouvernementales destinées à dégonfler la bulle immobilière.
Le futur des marchés américains s'annonçait mitigé: les options sur le Dow Jones prévoyant une hausse de 0.03%, celles sur le S&P 500 une baisse de 0.06% et celles sur le Nasdaq 100 tablant sur 0.05% de gains.
Le Conference Board, un groupe de recherches, devrait publier au cours de la journée son indice de l'humeur des consommateurs américains. Quand au président de la Réserve Fédérale U.S., Ben Bernanke, il doit témoigner devant la Commission Nationale sur la Responsabilité Fiscale et la Réforme à Washington D.C.