Investing.com - Les bourses européennes gardaient le moral ce mardi après-midi, malgré l'épouvantail d'un frein à la croissance des Etats-Unis au quatrième trimestre qui pourrait résulter de la paralysie de leurs administrations.
En seconde partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,65%, le CAC 40 français de 0,7%, et le DAX 30 allemand de 0,5%.
Les autorités des Etats-Unis ont en effet entamé la mise à pied partielle de leurs services, après que les élus aint refusé de se mettre d'accord concernant la répartition du budget fédéral avant la date limite d'hier minuit, pour la première fois depuis 1996.
Ils devraient à nouveau négocier aujourd'hui dans l'espoir de trouver un compromis palliatif.
Le camp républicain tenait a en effet à monnayer un vote favorable au budget contre un délai dans la mise en place des réformes du système de santé du président Obama.
Il a d'autre part été signalé que la mesure finale de l'activité des usines du bloc ayant adopté la monnaie unique s'était maintenue sans surprise à 51,1 en septembre.
L'Allemagne a par contre déploré un second saut de puce consécutif du nombre de ses demandeurs d'emploi, tandis que son chômage faisait de même, depuis les 6,8% d'août vers 6,9%.
L'agence Eurostat, chargée des statistiques européennes, a d'autre part constaté que celui de la région s'était stabilisé aux 12% après révision vers le bas des 12,1% précédents sur la même période.
L'Italie était aussi sous les feux de la rampe, alors que le premier ministre Enrico Letta s'apprêtait à devoir affronter demain un vote de confiance devant le parlement, après que Silvio Berlusconi ait annoncé samedi du retrait de ses ministres du gouvernement de son coalition.
L'opérateur téléphonique Telecom Italia bondissait de 4,3% après que Goldman Sachs, une des banques les plus influentes de Wall Street, en ait recomandé l'achat.
A Paris, Renault accélérait de 1,2% après qu'il ait été révélé que les immatriculations de ses véhicules neufs avaient explosé en France de 18% en septembre.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, se rétractait de 0,25%, dans le sillage de résultats un peu moins encourageants de la part des industries du Royaume-Uni.
Le groupe de recherches économiques Markit a en effet souligné que son baromètre manufacturier britannique avait subi une érosion depuis les 57,1 après révision vers le bas d'août vers 56,7, alors que les experts avaient pourtant espéré un sursaut à 57,3.
Le fabricant de produits ménagers Unilever était parmi les lanternes rouges, dérapant de 3,6%, suite à l'aveu du recul de son chiffre d'affaires au troisième trimestre.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,3%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,35% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,35%.
Aux Etats-Unis, l'institut de gestion des approvisionnements devrait de son côté conclure la journée avec le baromètre de la forme des industries nationales.
En seconde partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,65%, le CAC 40 français de 0,7%, et le DAX 30 allemand de 0,5%.
Les autorités des Etats-Unis ont en effet entamé la mise à pied partielle de leurs services, après que les élus aint refusé de se mettre d'accord concernant la répartition du budget fédéral avant la date limite d'hier minuit, pour la première fois depuis 1996.
Ils devraient à nouveau négocier aujourd'hui dans l'espoir de trouver un compromis palliatif.
Le camp républicain tenait a en effet à monnayer un vote favorable au budget contre un délai dans la mise en place des réformes du système de santé du président Obama.
Il a d'autre part été signalé que la mesure finale de l'activité des usines du bloc ayant adopté la monnaie unique s'était maintenue sans surprise à 51,1 en septembre.
L'Allemagne a par contre déploré un second saut de puce consécutif du nombre de ses demandeurs d'emploi, tandis que son chômage faisait de même, depuis les 6,8% d'août vers 6,9%.
L'agence Eurostat, chargée des statistiques européennes, a d'autre part constaté que celui de la région s'était stabilisé aux 12% après révision vers le bas des 12,1% précédents sur la même période.
L'Italie était aussi sous les feux de la rampe, alors que le premier ministre Enrico Letta s'apprêtait à devoir affronter demain un vote de confiance devant le parlement, après que Silvio Berlusconi ait annoncé samedi du retrait de ses ministres du gouvernement de son coalition.
L'opérateur téléphonique Telecom Italia bondissait de 4,3% après que Goldman Sachs, une des banques les plus influentes de Wall Street, en ait recomandé l'achat.
A Paris, Renault accélérait de 1,2% après qu'il ait été révélé que les immatriculations de ses véhicules neufs avaient explosé en France de 18% en septembre.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, se rétractait de 0,25%, dans le sillage de résultats un peu moins encourageants de la part des industries du Royaume-Uni.
Le groupe de recherches économiques Markit a en effet souligné que son baromètre manufacturier britannique avait subi une érosion depuis les 57,1 après révision vers le bas d'août vers 56,7, alors que les experts avaient pourtant espéré un sursaut à 57,3.
Le fabricant de produits ménagers Unilever était parmi les lanternes rouges, dérapant de 3,6%, suite à l'aveu du recul de son chiffre d'affaires au troisième trimestre.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,3%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,35% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,35%.
Aux Etats-Unis, l'institut de gestion des approvisionnements devrait de son côté conclure la journée avec le baromètre de la forme des industries nationales.