Investing.com - Le dollar U.S. était en berne face à la plupart de ses concurrents ce lundi matin, la déception découlant des embauches des Etats-Unis étant allée à l'encontre de l'hypothèse selon laquelle leur économie reprenait sans heurts et donc que son émettrice fermerait les vannes sous peu.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant le yen, l'USD/JPY trébuchant de 0,62% pour se retrouver à 98,34.
Les autorités améicaines avaient en effet compté vendredi 162.000 créations de postes au cours du mois dernier, alors qu'une addition de 184.000 était envisagée.
Il en allait de même avec l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,14% pour grimper à 1,3297.
La monnaie unique a retrouvé le souire après que l'indice des directeurs des achats du secteur tertiaire là où elle a cours ait limité les dégâts en passant de 48,3 jusqu'à 49,8 en juillet, confirmant les signes de reprise régionaux.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,40% pour se hisser à 1,5353, établissant un pic journalier après qu'il ait été montré que les prestataires de services britanniques avaient connu le mois passé leur plus nette embellie en plus de six ans et demi.
Le baromètre de leur activité a ainsi bondi depuis 56,9 jusqu'à 60,2, pulvérisant ainsi les 57,2 espérés.
Il a d'autre part subi la pression du yen et du franc suisse, et l'USD/CHF glissant de 0,12% pour tomber à 0,9282.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne et canadienne, mais pas par la néo-zélandaise, l'AUD/USD raflant 0,10% pour monter à 0,8911, le NZD/USD sombrant de 0,50% pour toucher le fond à 0,7796 et l'USD/CAD régressant de 0,11% pour aller vers 1,0381.
La devise de la Nouvelle-Zélande avait plongé dans une ornière annuelle dans le sillage des problèmes de contamination du lait en poudre de Fonterra, le plus gros exportateur de produits lactés national.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,19% pour se situer à 81,85.
Aux Etats-Unis, l'institut de gestion des approvisionnements conclura la journée son rapport sur l'état des prestataires de services, après que le bloc euro ait donné les chiffres de ses ventes au détail.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant le yen, l'USD/JPY trébuchant de 0,62% pour se retrouver à 98,34.
Les autorités améicaines avaient en effet compté vendredi 162.000 créations de postes au cours du mois dernier, alors qu'une addition de 184.000 était envisagée.
Il en allait de même avec l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,14% pour grimper à 1,3297.
La monnaie unique a retrouvé le souire après que l'indice des directeurs des achats du secteur tertiaire là où elle a cours ait limité les dégâts en passant de 48,3 jusqu'à 49,8 en juillet, confirmant les signes de reprise régionaux.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,40% pour se hisser à 1,5353, établissant un pic journalier après qu'il ait été montré que les prestataires de services britanniques avaient connu le mois passé leur plus nette embellie en plus de six ans et demi.
Le baromètre de leur activité a ainsi bondi depuis 56,9 jusqu'à 60,2, pulvérisant ainsi les 57,2 espérés.
Il a d'autre part subi la pression du yen et du franc suisse, et l'USD/CHF glissant de 0,12% pour tomber à 0,9282.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne et canadienne, mais pas par la néo-zélandaise, l'AUD/USD raflant 0,10% pour monter à 0,8911, le NZD/USD sombrant de 0,50% pour toucher le fond à 0,7796 et l'USD/CAD régressant de 0,11% pour aller vers 1,0381.
La devise de la Nouvelle-Zélande avait plongé dans une ornière annuelle dans le sillage des problèmes de contamination du lait en poudre de Fonterra, le plus gros exportateur de produits lactés national.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,19% pour se situer à 81,85.
Aux Etats-Unis, l'institut de gestion des approvisionnements conclura la journée son rapport sur l'état des prestataires de services, après que le bloc euro ait donné les chiffres de ses ventes au détail.