Investing.com - Le nombre des personnes ayant déposé une demande d'allocations chômage aux Etats-Unis au cours de la semaine dernière a davantage diminué que prévu, plongeant d'après les chiffres officiels dévoilés ce jeudi à leur plus bas niveau depuis avril 2008.
Dans son rapport, le département d'état au travail des Etats-Unis a en effet annoncé qu'il avait ddiminué de 4 000 unités pour en totaliser 364 000 après ajustement saisonnier pour la semaine achevée le 16 décembre, alors que les experts s'étaient attendus à le voir progresser de 7 000 pour aller jusqu'à 375 000 sur la période considérée.
L'estimation préliminaire à 366 000 de la précédente a toutefois dû être révisée à la hausse vers 368 000.
Elles sont demeurées sous la barre des 400 000, un seuil au-dessous duquel le marché du travail s'est généralement montré en amélioration, au cours de six des sept dernières semaines.
Le document précisait également que le total des allocataires avait davantage diminué qu'il n'avait été prévu pour la semaine ayant pris fin le 10 décembre, se retrouvant à 3.546 millions, tandis que les spécialistes ne pensaient pas le voir passer au-dessous de 3.6 millions, mais que les 3.603 millions de l'évaluation de la semaine précédente, ont dû être revue vers le haut à 3.625 millions.
La moyenne des nouvelles inscriptions sur les quatre dernières semaines, indicateur considéré comme moins chaotique que le chiffre hebdomadaire grâce au lissage des extrêmes, a reculé de 8 000 unités pour s'établir à 380 250.
Suite à la diffusion de la nouvelle, le dollar U.S. a repris du poil de la bête face à l'euro, l'EUR/USD trébuchant de 0.09% pour glisser à 1.3036.
Les perspectives des marchés américains par contre moins optimimstes: les options sur le Dow Jones prévoyaient plus qu'une hausse de 0.2%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.3% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.1%.
Dans son rapport, le département d'état au travail des Etats-Unis a en effet annoncé qu'il avait ddiminué de 4 000 unités pour en totaliser 364 000 après ajustement saisonnier pour la semaine achevée le 16 décembre, alors que les experts s'étaient attendus à le voir progresser de 7 000 pour aller jusqu'à 375 000 sur la période considérée.
L'estimation préliminaire à 366 000 de la précédente a toutefois dû être révisée à la hausse vers 368 000.
Elles sont demeurées sous la barre des 400 000, un seuil au-dessous duquel le marché du travail s'est généralement montré en amélioration, au cours de six des sept dernières semaines.
Le document précisait également que le total des allocataires avait davantage diminué qu'il n'avait été prévu pour la semaine ayant pris fin le 10 décembre, se retrouvant à 3.546 millions, tandis que les spécialistes ne pensaient pas le voir passer au-dessous de 3.6 millions, mais que les 3.603 millions de l'évaluation de la semaine précédente, ont dû être revue vers le haut à 3.625 millions.
La moyenne des nouvelles inscriptions sur les quatre dernières semaines, indicateur considéré comme moins chaotique que le chiffre hebdomadaire grâce au lissage des extrêmes, a reculé de 8 000 unités pour s'établir à 380 250.
Suite à la diffusion de la nouvelle, le dollar U.S. a repris du poil de la bête face à l'euro, l'EUR/USD trébuchant de 0.09% pour glisser à 1.3036.
Les perspectives des marchés américains par contre moins optimimstes: les options sur le Dow Jones prévoyaient plus qu'une hausse de 0.2%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.3% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.1%.