Investing.com - La livre sterling était sur la défensive face au dollar U.S. ce mercredi, dans l'expectative des chiffres de l'activité manufacturière britannique, tandis que les investisseurs guettaient ce qui ressortirait des réunions des banques centrales américaine et européenne de cette semaine.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1.5656 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1.5667, perdant 0.06%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.5624, son plancher d'hier, et de rencontrer de la résistance à 1.5749, son plafond de lundi.
Le moral demeurait timide, sur fond d'attente d'accomodements monétaires de la part de la Réserve Fédérale et de la Banque Centrale Européenne lors de leurs prises de cap de cete semaine, afin de tenter de donner un coup de fouet à la croissance américaine, et de juguler enfin la crise de la dette de la zone euro.
La rencontre des décideurs de la Fed était en effet surveillée de près, sur fond de rumeurs selon lesquelles elle pourrait laisser entrevoir les présages d'une série d'injections de liquidités supplémentaires imminentes.
Les yeux étaient également tournés vers le conseil de la BCE, dans l'inquiétude grandissante que celle-ci déçoive ceux qui en attendent pour demain des actions décisives dans la lutte contre la crise de la dette régionale.
Cet espoir de mesures destinées à rabaisser les coûts des emprunts espagnols et italiens se faisait de plus en plus grand, après que Mario Draghi, son président, se soit engagé la semaine passée à défendre la monnaie unique par tous les moyens nécessaires.
Une étude montrait pour sa part ce matin que les prix des logements du Royaume-Uni avaient subi en juillet leur pire revers annuel en près de trois ans, aggravant les craintes d'un affaiblissement de l'économie nationale.
Le prêteur immobilier Nationwide a ainsi constaté qu'ils avaient plongé de 0.7% puor le mois et 2.6% d'une année sur l'autre, leur régression la plus importante depuis août 2009.
La Banque d'Angleterre ne devrait quand à elle pas annoncer de changements majeurs lors de la rencontre mensuelle des membres de son comité directeur prévue jeudi elle aussi.
La devise de la Grande-Bretagne a par ailleurs cédé quelques pouces de terrain à l'euro, l'EUR/GBP grignotant 0.13% pour se hisser à 0.7858.
Le pays comptait proclamer les performances de son secteur secondaire à la mi-journée, après quoi les Etats-Unis dévoileront quand à eux dans l'après-midi les variations de leur emploi non agricole, tandis que l'institut de gestion des approvisionnements publiera une étude sur l'activité dans le domaine manufacturier.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1.5656 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1.5667, perdant 0.06%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.5624, son plancher d'hier, et de rencontrer de la résistance à 1.5749, son plafond de lundi.
Le moral demeurait timide, sur fond d'attente d'accomodements monétaires de la part de la Réserve Fédérale et de la Banque Centrale Européenne lors de leurs prises de cap de cete semaine, afin de tenter de donner un coup de fouet à la croissance américaine, et de juguler enfin la crise de la dette de la zone euro.
La rencontre des décideurs de la Fed était en effet surveillée de près, sur fond de rumeurs selon lesquelles elle pourrait laisser entrevoir les présages d'une série d'injections de liquidités supplémentaires imminentes.
Les yeux étaient également tournés vers le conseil de la BCE, dans l'inquiétude grandissante que celle-ci déçoive ceux qui en attendent pour demain des actions décisives dans la lutte contre la crise de la dette régionale.
Cet espoir de mesures destinées à rabaisser les coûts des emprunts espagnols et italiens se faisait de plus en plus grand, après que Mario Draghi, son président, se soit engagé la semaine passée à défendre la monnaie unique par tous les moyens nécessaires.
Une étude montrait pour sa part ce matin que les prix des logements du Royaume-Uni avaient subi en juillet leur pire revers annuel en près de trois ans, aggravant les craintes d'un affaiblissement de l'économie nationale.
Le prêteur immobilier Nationwide a ainsi constaté qu'ils avaient plongé de 0.7% puor le mois et 2.6% d'une année sur l'autre, leur régression la plus importante depuis août 2009.
La Banque d'Angleterre ne devrait quand à elle pas annoncer de changements majeurs lors de la rencontre mensuelle des membres de son comité directeur prévue jeudi elle aussi.
La devise de la Grande-Bretagne a par ailleurs cédé quelques pouces de terrain à l'euro, l'EUR/GBP grignotant 0.13% pour se hisser à 0.7858.
Le pays comptait proclamer les performances de son secteur secondaire à la mi-journée, après quoi les Etats-Unis dévoileront quand à eux dans l'après-midi les variations de leur emploi non agricole, tandis que l'institut de gestion des approvisionnements publiera une étude sur l'activité dans le domaine manufacturier.