Investing.com - La livre sterling a pris l'avantage sur le dollar U.S. ce mercredi, ce dernier se trouvant tiré vers le bas par son passage à vide contre son homologue japonais.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1,5070 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1,5066, gagnant 0,19%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,5007, son plancher de 11 semaines établi dans la matinée, et de rencontrer de la résistance à 1,5134, son plafond d'hier.
La devise nippone a retrouvé des couleurs face au billet vert après avoir fondu de 1,4% la veille, sur fond d'effondrement des valeurs boursière nippones dans une ambiance d'une grande volatilité.
Son adversaire américain gardait la forme grâce aux rumeurs selon lesquelles son émettrice serait sur le point de réduire le volume de ses 85 millions d'USD mensuels d'acquisitions d'actifs.
Il a en effet été montré hier que la confiance des consommateurs des Etats-Unis avait grimpé au cours du mois vers son plus haut niveau depuis février 2008.
Il était aussi à noter que l'indice des prix des logements du pays établi par Case-Schiller avait grimpé pour mars de 10,9% d'une année sur l'autre, constituant son plus gros sursaut depuis avril 2006.
la devise de la Grande-Bretagne a par ailleurs cédé quelques centimètres de terrain à l'euro, l'EUR/GBP grignotant 0,05% pour se hisser à 0,8550.
Une étude officielle avait auparavant souligné l'inscription de 21.000 demandeurs d'emploi supplémentaires, soit nettement plus que les 5.000 anticipés, le taux de chômage demeurant cependant stable à 6,9% comme prévu.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1,5070 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1,5066, gagnant 0,19%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,5007, son plancher de 11 semaines établi dans la matinée, et de rencontrer de la résistance à 1,5134, son plafond d'hier.
La devise nippone a retrouvé des couleurs face au billet vert après avoir fondu de 1,4% la veille, sur fond d'effondrement des valeurs boursière nippones dans une ambiance d'une grande volatilité.
Son adversaire américain gardait la forme grâce aux rumeurs selon lesquelles son émettrice serait sur le point de réduire le volume de ses 85 millions d'USD mensuels d'acquisitions d'actifs.
Il a en effet été montré hier que la confiance des consommateurs des Etats-Unis avait grimpé au cours du mois vers son plus haut niveau depuis février 2008.
Il était aussi à noter que l'indice des prix des logements du pays établi par Case-Schiller avait grimpé pour mars de 10,9% d'une année sur l'autre, constituant son plus gros sursaut depuis avril 2006.
la devise de la Grande-Bretagne a par ailleurs cédé quelques centimètres de terrain à l'euro, l'EUR/GBP grignotant 0,05% pour se hisser à 0,8550.
Une étude officielle avait auparavant souligné l'inscription de 21.000 demandeurs d'emploi supplémentaires, soit nettement plus que les 5.000 anticipés, le taux de chômage demeurant cependant stable à 6,9% comme prévu.