Investing.com - Le dollar U.S. a confirmé son large retour en grâce face au franc suisse ce lundi, profitant à nouveau des rumeurs prédisant la fermeture imminente des robinets de son émettrice.
La paire USD/CHF est montée jusqu'à 0,9520 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé depuis jeudi, puis s'est stabilisée vers 0,9502, gagnant 0,44%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0,9437, son plancher du jour, et de rencontrer de la résistance à 0,9592, son plafond déjà évoqué.
Le billet vert bénéficiait en effet toujours des bruits annonçant une réduction d'ici la fin de l'année des 85 milliards d'USD mensuels de rachats d'actifs de la Réserve Fédérale, tandis que le reste des banques centrales garderait une politique monétaire assouplie aussi loin que portent les projections.
La médiocrité de la relance britannique avait poussé la Banque d'Angleterre à laisser entendre à l'issue de sa réunion du début de mois que les taux demeureraient selon toute vraisemblance aux abords de leur plus bas niveaux historiques.
Il avait d'autre part été montré à l'aube que l'économie de la Chine avait connu une expansion assez conforme aux attentes au cours du second trimestre, apaisant l'angoisse d'un essoufflement de son essor.
Une étude officielle a en effet signalé que le second produit intérieur brut mondial avait gonflé, comme escompté, de 7,5% d'une année sur l'autre entre le début du quatrième et la fin du sixième mois de l'année, soit un peu moins que les 7,7% enregistrés de janvier à mars.
Il était d'autre part à noter que les ventes au détail y avaient bondi de 13,3% annualisés en juin, un net progrès comparé aux 12,9% précédents, tandis que la production industrielle connaissait un coup de frein de 8,9% dans le même temps, toutefois un peu moins brusque que les 9,2% de mai.
L'euro a par ailleurs gagné du terrain sur la devise helvète, l'EUR/CHF grimpant de 0,18% pour se hisser à 1,2385.
Les Etats-Unis comptaient pour leur part publier aujourd'hui le volume de leurs ventes au détail, ainsi qu'avec l'indice de l'activité manufacturière dans la région de New York, et une étude portant sur les stocks des entreprises.
La paire USD/CHF est montée jusqu'à 0,9520 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé depuis jeudi, puis s'est stabilisée vers 0,9502, gagnant 0,44%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0,9437, son plancher du jour, et de rencontrer de la résistance à 0,9592, son plafond déjà évoqué.
Le billet vert bénéficiait en effet toujours des bruits annonçant une réduction d'ici la fin de l'année des 85 milliards d'USD mensuels de rachats d'actifs de la Réserve Fédérale, tandis que le reste des banques centrales garderait une politique monétaire assouplie aussi loin que portent les projections.
La médiocrité de la relance britannique avait poussé la Banque d'Angleterre à laisser entendre à l'issue de sa réunion du début de mois que les taux demeureraient selon toute vraisemblance aux abords de leur plus bas niveaux historiques.
Il avait d'autre part été montré à l'aube que l'économie de la Chine avait connu une expansion assez conforme aux attentes au cours du second trimestre, apaisant l'angoisse d'un essoufflement de son essor.
Une étude officielle a en effet signalé que le second produit intérieur brut mondial avait gonflé, comme escompté, de 7,5% d'une année sur l'autre entre le début du quatrième et la fin du sixième mois de l'année, soit un peu moins que les 7,7% enregistrés de janvier à mars.
Il était d'autre part à noter que les ventes au détail y avaient bondi de 13,3% annualisés en juin, un net progrès comparé aux 12,9% précédents, tandis que la production industrielle connaissait un coup de frein de 8,9% dans le même temps, toutefois un peu moins brusque que les 9,2% de mai.
L'euro a par ailleurs gagné du terrain sur la devise helvète, l'EUR/CHF grimpant de 0,18% pour se hisser à 1,2385.
Les Etats-Unis comptaient pour leur part publier aujourd'hui le volume de leurs ventes au détail, ainsi qu'avec l'indice de l'activité manufacturière dans la région de New York, et une étude portant sur les stocks des entreprises.