Investing.com - L'euro a vu ses 2 jours de progression sur le yen prendre fin ce mardi, tombant à son pire niveau des 3 derniers mois après que des chiffres officiels aient montré une croissance décevante de la part de l'économie française au troisième trimestre, et que les marchés aient refusé de prendre en compte la possibilité d'une intervention du Japon sur le marché des changes.
La paire EUR/JPY est descendue jusqu'à 108.10 en seconde partie de séance européenne, son cours le plus bas depuis le 15 septembre, lors de l'action nippone sur le forex, puis s'est stabilisée vers 108.19, sombrant de tout de même 0.74%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 107.79, son plancher précédemment évoqué, et de rencontrer de la résistance à 109.6, son plafond du 23 décembre.
Des informations provenant des autorités avaient auparavant indiqué que l'économie de la France avait connu pour le troisième trimestre une progression inférieure aux attentes, ne prenant que 0.3% contre les 0.4% précédemment estimés.
Les analystes s'étaient pourtant attendus à voir le produit intérieur brut gagner 0.4% sur la période considérée.
Yoshihiko Noda, ministre des finances japonais, avait affirmé ce matin que la récente hausse de la monnaie de l'archipel avait été "à sens unique", laissant à penser qu'une nouvelle action nippone sur le marché des changes n'était pas à exclure.
M. Noda a ajouté: "Ces derniers jours, depuis à peu près la semaine dernière, le yen n'a évolué que dans un seul sens. Notre position reste la même, et nous agirons de manière décisive en cas d'instabilité excessive."
La dernière intervention du pays sur le forex date du 14 septembre.
La monnaie unique européenne a par contre gagné du terrain sur le dollar U.S. avec un couple EUR/USD prenant 0.33% pour se hisser à 1.3209.
Une étude communiquée aujourd'hui par le gouvernement du Japon a par ailleurs souligné que les ventes au détail nationales avaient progressé en novembre nettement plus fortement que prévu, tandis qu'une autre montrait un taux de chômage inchangé sur la même période, conformément aux prédictions.
Une évaluation préliminaire indiquait pour sa part que l'industrie du pays avait connu dans le même temps sa première hausse d'activité en 6 mois, tandis que des résultats officiels marquaient le vingt-et-unième mois consécutif de baisse des prix.
La paire EUR/JPY est descendue jusqu'à 108.10 en seconde partie de séance européenne, son cours le plus bas depuis le 15 septembre, lors de l'action nippone sur le forex, puis s'est stabilisée vers 108.19, sombrant de tout de même 0.74%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 107.79, son plancher précédemment évoqué, et de rencontrer de la résistance à 109.6, son plafond du 23 décembre.
Des informations provenant des autorités avaient auparavant indiqué que l'économie de la France avait connu pour le troisième trimestre une progression inférieure aux attentes, ne prenant que 0.3% contre les 0.4% précédemment estimés.
Les analystes s'étaient pourtant attendus à voir le produit intérieur brut gagner 0.4% sur la période considérée.
Yoshihiko Noda, ministre des finances japonais, avait affirmé ce matin que la récente hausse de la monnaie de l'archipel avait été "à sens unique", laissant à penser qu'une nouvelle action nippone sur le marché des changes n'était pas à exclure.
M. Noda a ajouté: "Ces derniers jours, depuis à peu près la semaine dernière, le yen n'a évolué que dans un seul sens. Notre position reste la même, et nous agirons de manière décisive en cas d'instabilité excessive."
La dernière intervention du pays sur le forex date du 14 septembre.
La monnaie unique européenne a par contre gagné du terrain sur le dollar U.S. avec un couple EUR/USD prenant 0.33% pour se hisser à 1.3209.
Une étude communiquée aujourd'hui par le gouvernement du Japon a par ailleurs souligné que les ventes au détail nationales avaient progressé en novembre nettement plus fortement que prévu, tandis qu'une autre montrait un taux de chômage inchangé sur la même période, conformément aux prédictions.
Une évaluation préliminaire indiquait pour sa part que l'industrie du pays avait connu dans le même temps sa première hausse d'activité en 6 mois, tandis que des résultats officiels marquaient le vingt-et-unième mois consécutif de baisse des prix.