Investing.com - Le dollar U.S. a laissé le franc suisse prendre la main, se retrouvant à son plus bas niveau en deux mois ce jeudi, son blason se trouvant terni à l'approche des chiffres de l'emploi des Etats-Unis, sur fond d'ombre persistante des incertitudes concernant les orientations futures de son émettrice.
La paire USD/CHF est descendue jusqu'à 0,9190 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas depuis le 19 juin, puis s'est stabilisée vers 0,9208, perdant 0,10%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0,9176, son plancher du 18 juin, et de rencontrer de la résistance à 0,9289, son plafond de mercredi.
La prudence restait cependant de mise après que deux hauts responsables de la Réserve Fédérale aient rappelé mardi qu'ils ne pouvaient pas exclure une diminution de ses coups de pouce dès sa réunion de septembre.
Le moral avait repris des couleurs après que la Chine ait fait savoir à l'aube que ses exportations avaient grimpé de 5,1% d'une année sur l'autre en juin, dissipant le spectre d'un essoufflement de l'essor de la seconde économie mondiale.
Elle a aussi souligné que les importations bondissaient de 10,9% dans le même temps, laissant espérer un renforcement de la consommation nationale.
Le devise helvète a par ailleurs bien résisté à l'euro, l'EUR/CHF grignotant 0,03% pour se hisser à 1,2295.
L'Allemagne avait auparavant signalé 0,6% d'exportations mensuelles supplémentaires pour juin, mais 0,8% d'importations en moins, laissant redouter un dégonflement de la demande nationale.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage.
La paire USD/CHF est descendue jusqu'à 0,9190 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas depuis le 19 juin, puis s'est stabilisée vers 0,9208, perdant 0,10%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0,9176, son plancher du 18 juin, et de rencontrer de la résistance à 0,9289, son plafond de mercredi.
La prudence restait cependant de mise après que deux hauts responsables de la Réserve Fédérale aient rappelé mardi qu'ils ne pouvaient pas exclure une diminution de ses coups de pouce dès sa réunion de septembre.
Le moral avait repris des couleurs après que la Chine ait fait savoir à l'aube que ses exportations avaient grimpé de 5,1% d'une année sur l'autre en juin, dissipant le spectre d'un essoufflement de l'essor de la seconde économie mondiale.
Elle a aussi souligné que les importations bondissaient de 10,9% dans le même temps, laissant espérer un renforcement de la consommation nationale.
Le devise helvète a par ailleurs bien résisté à l'euro, l'EUR/CHF grignotant 0,03% pour se hisser à 1,2295.
L'Allemagne avait auparavant signalé 0,6% d'exportations mensuelles supplémentaires pour juin, mais 0,8% d'importations en moins, laissant redouter un dégonflement de la demande nationale.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage.