Investing.com - Le dollar U.S. était mitigé face à la plupart de ses concurrents ce jeudi, la psychose d'un ralentissement de la croissance économique mondiale ayant attisé la frilosité de marchés.
En première partie de séance européenne, il était en hausse contre l'euro, l'EUR/USD cédant 0.26% pour descendre à 1.2829.
Des chiffres officiels avaient auparavant montré un ralentissement inattendu de la production industrielle en zone euro pour juin.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le couple GBP/USD chutant de 0.34% pour se retrouver à 1.5604.
Il en a été de même, mais à une moindre échelle avec le yen, l'USD/JPY se laissant saper 0.01% pour trébucher à 85.31.
Une intervention verbale du gouvernement japonais avait auparavant vu le dollar U.S. brièvement soulagé de la pression du yen, mais la frilosité est revenue en force alors que l'USD/JPY reprenait sa dégringolade vers son niveau le plus faible de ces 15 dernières années.
La monnaie américaine a par contre fait fléchir ses homologues d'Australie et du Canada, l'AUD/USD perdant 0.29% pour tomber à 0.8944 et le NZD/USD dévissant de 0.51% pour atterrir à 0.711.
Des informations gouvernementales avaient précédemment indiqué une hausse inattendue du chômage australien pour juillet.
Elle a toutefois dû s'incliner face au franc suisse, l'USD/CHF sombrant de 0.44% vers 1.0554.
Il en a pareillement été avec son pendant canadien, l'USD/CAD se faisant grignoter 0.05% pour hoqueter à 1.0459.
L'indice dollar, reflétant les parformandces du billet vert par rapport à un panier constitué de 6 de ses principaux rivaux, a baissé de 0.24%.
Les Etats-Unis ont prévu de leur côté de publier le nombre très attendu des nouvelles demandes d'allocations chômage en cours de journée.
En première partie de séance européenne, il était en hausse contre l'euro, l'EUR/USD cédant 0.26% pour descendre à 1.2829.
Des chiffres officiels avaient auparavant montré un ralentissement inattendu de la production industrielle en zone euro pour juin.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le couple GBP/USD chutant de 0.34% pour se retrouver à 1.5604.
Il en a été de même, mais à une moindre échelle avec le yen, l'USD/JPY se laissant saper 0.01% pour trébucher à 85.31.
Une intervention verbale du gouvernement japonais avait auparavant vu le dollar U.S. brièvement soulagé de la pression du yen, mais la frilosité est revenue en force alors que l'USD/JPY reprenait sa dégringolade vers son niveau le plus faible de ces 15 dernières années.
La monnaie américaine a par contre fait fléchir ses homologues d'Australie et du Canada, l'AUD/USD perdant 0.29% pour tomber à 0.8944 et le NZD/USD dévissant de 0.51% pour atterrir à 0.711.
Des informations gouvernementales avaient précédemment indiqué une hausse inattendue du chômage australien pour juillet.
Elle a toutefois dû s'incliner face au franc suisse, l'USD/CHF sombrant de 0.44% vers 1.0554.
Il en a pareillement été avec son pendant canadien, l'USD/CAD se faisant grignoter 0.05% pour hoqueter à 1.0459.
L'indice dollar, reflétant les parformandces du billet vert par rapport à un panier constitué de 6 de ses principaux rivaux, a baissé de 0.24%.
Les Etats-Unis ont prévu de leur côté de publier le nombre très attendu des nouvelles demandes d'allocations chômage en cours de journée.