Investing.com - La semaine passée aura vu les options sur le brut s'élever vendredi vers leur plus haut niveau des 26 derniers mois, étant également leur meilleur prix de fin d'année depuis 2007, le dollar U.S. s'étant affaibli face à la plupart de ses concurrents.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour février se sont échangés à 91.4 USD le baril à la clôture des marchés en fin de semaine, gagnant 0.48% au cours de celle-ci.
Ils avaient auparavant culminé à 92.03 USD, leur cours le plus élevé depuis le 7 octobre 2008.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de 6 de ses principaux rivaux, a glissé de son côté de 2.05%.
Les contrats sur le pétrole, libellés en dollars, ont tendance à monter quand ce dernier descend, les rendant moins coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
Le brut aura gagné 15% en 2010, sa seconde année de progression, la Chine menant la reprise face à la première récession économique globale depuis la deuxième guerre mondiale, et finissant l'année au-dessus des 90 USD du baril pour la seconde fois seulement depuis le lancement des contrats en 1983, ayant conclu à 95.98 USD en 2007.
La Chine reste le second plus gros consommateur de pétrole au monde, l'Agence Internationale de l'Energie estimant qu'elle devrait être responsable de 40% de la hausse de la demande globale en 2011.
L'augmentation de demande attendue de la part des Etats-Unis était un bon signe pour les cours de 2011. D'après l'agence américaine d'information sur l'énergie, les réserves nationales d'or noir avaient diminué de 20.3 millions de barils en décembre, la plus grosse chute en 30 ans.
Le pays reste reste le premier demandeur mondial de pétrole brut.
Les futures sur le gaz naturel pour février se sont par ailleurs envolées de 7.65% hebdomadaires pour s'échanger à 4.392 USD par million d'unités thermiques britanniques, et celles sur le carburant domestique pour une échéance identique ont raflé 1.26% pour s'établir à 2.546 USD par gallon dans le même temps, leur meilleur cours des 26 mois passés.
Le prix du gaz naturel s'est toutefois effondré de presque 21% annuels, pour se retrouver à son pire niveau de fin d'année depuis 2001, tandis que celui du carburant domestique plongeait de 20% au cours de l'année 2010, malgré les prévisions de hausse ayant suivi l'amélioration de l'économie américaine.
Un seul baril de pétrole brut permet d'en produire environ 160 litres ou 42 gallons.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour février se sont échangés à 91.4 USD le baril à la clôture des marchés en fin de semaine, gagnant 0.48% au cours de celle-ci.
Ils avaient auparavant culminé à 92.03 USD, leur cours le plus élevé depuis le 7 octobre 2008.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de 6 de ses principaux rivaux, a glissé de son côté de 2.05%.
Les contrats sur le pétrole, libellés en dollars, ont tendance à monter quand ce dernier descend, les rendant moins coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
Le brut aura gagné 15% en 2010, sa seconde année de progression, la Chine menant la reprise face à la première récession économique globale depuis la deuxième guerre mondiale, et finissant l'année au-dessus des 90 USD du baril pour la seconde fois seulement depuis le lancement des contrats en 1983, ayant conclu à 95.98 USD en 2007.
La Chine reste le second plus gros consommateur de pétrole au monde, l'Agence Internationale de l'Energie estimant qu'elle devrait être responsable de 40% de la hausse de la demande globale en 2011.
L'augmentation de demande attendue de la part des Etats-Unis était un bon signe pour les cours de 2011. D'après l'agence américaine d'information sur l'énergie, les réserves nationales d'or noir avaient diminué de 20.3 millions de barils en décembre, la plus grosse chute en 30 ans.
Le pays reste reste le premier demandeur mondial de pétrole brut.
Les futures sur le gaz naturel pour février se sont par ailleurs envolées de 7.65% hebdomadaires pour s'échanger à 4.392 USD par million d'unités thermiques britanniques, et celles sur le carburant domestique pour une échéance identique ont raflé 1.26% pour s'établir à 2.546 USD par gallon dans le même temps, leur meilleur cours des 26 mois passés.
Le prix du gaz naturel s'est toutefois effondré de presque 21% annuels, pour se retrouver à son pire niveau de fin d'année depuis 2001, tandis que celui du carburant domestique plongeait de 20% au cours de l'année 2010, malgré les prévisions de hausse ayant suivi l'amélioration de l'économie américaine.
Un seul baril de pétrole brut permet d'en produire environ 160 litres ou 42 gallons.