Investing.com - Les options sur le brut étaient à la fête pour la seconde journée d'affilée ce jeudi, l'escalade de la violence en Libye et au Bahreïn alimentant la crainte d'une contagion de l'Arabie Saoudite, premier exportateur mondial.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour avril se sont échangés à 99.19 USD le baril en première partie de séance européenne, bondissant de 1%.
Ils avaient auparavant culminé à 99.25 USD, leur cours le plus élevé du jour.
Les forces de l'ordre Bahreïnies ont en effet arrêté aujourd'hui 6 militants de l'opposition dans le cadre d'une opération dirigée contre le mouvement pro-démocratique chiite.
Ces arrestations ont eu lieu au lendemain de la déclaration de l'état d'urgence pour 3 mois dans le pays, après que des troupes d'Arabie Saoudite et d'autres états voisins du Golfe soient venues en renfort afin de mettre fin aux manifestations anti-gouvernementales des chiites, revendiquant la démocratie et l'égalité des droits civiques.
Barclays, pourvoyeur international de services financiers, a déclaré dans un rapport publié en fin de journée de mercredi: "Le contexte géopolitique du marché pétrolier reste très tendu et susceptible de tirer les cours vers le haut."
Le document précisait par ailleurs: "L'intervention des troupes saoudiennes dans le royaume de Bahreïn pourrait aggraver la crise politique dans le pays et intensifier la lutte d'influence régionale entre l'Arabie Saoudite et l'Iran."
L'Arabie Saoudite reste le plus gros exportateur parmi les membres de l'OPEP, et produit environ 8.4 millions de barils quotidiens, tandis que l'Iran, son dauphin, en extrait environ 3.7 millions.
L'Agence Internationale de l'Energie a par ailleurs annoncé en début de matinée que les exportations de brut de la Libye pourraient se trouver suspendues pour de "nombreux mois" en raison des dommages subis par ses installations et des risques de sanctions internationales.
Sur le marché ICE, les futures de Brent sur le brut pour mai ont engrangé 1.4% pour grimper à 112.5 USD du baril, soit 13.31 USD de mieux que leurs homologues américaines.
L'UBS, fournisseuse multinationale de services financiers, a remonté de 18% ses prévisions pour le prix moyen Brent en 2011, le faisant passer à 103.75 USD le baril, contre 85 USD auparavant, invoquant la menace de nouvelles perturbations des approvisionnements en provenance du Moyen-Orient.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour avril se sont échangés à 99.19 USD le baril en première partie de séance européenne, bondissant de 1%.
Ils avaient auparavant culminé à 99.25 USD, leur cours le plus élevé du jour.
Les forces de l'ordre Bahreïnies ont en effet arrêté aujourd'hui 6 militants de l'opposition dans le cadre d'une opération dirigée contre le mouvement pro-démocratique chiite.
Ces arrestations ont eu lieu au lendemain de la déclaration de l'état d'urgence pour 3 mois dans le pays, après que des troupes d'Arabie Saoudite et d'autres états voisins du Golfe soient venues en renfort afin de mettre fin aux manifestations anti-gouvernementales des chiites, revendiquant la démocratie et l'égalité des droits civiques.
Barclays, pourvoyeur international de services financiers, a déclaré dans un rapport publié en fin de journée de mercredi: "Le contexte géopolitique du marché pétrolier reste très tendu et susceptible de tirer les cours vers le haut."
Le document précisait par ailleurs: "L'intervention des troupes saoudiennes dans le royaume de Bahreïn pourrait aggraver la crise politique dans le pays et intensifier la lutte d'influence régionale entre l'Arabie Saoudite et l'Iran."
L'Arabie Saoudite reste le plus gros exportateur parmi les membres de l'OPEP, et produit environ 8.4 millions de barils quotidiens, tandis que l'Iran, son dauphin, en extrait environ 3.7 millions.
L'Agence Internationale de l'Energie a par ailleurs annoncé en début de matinée que les exportations de brut de la Libye pourraient se trouver suspendues pour de "nombreux mois" en raison des dommages subis par ses installations et des risques de sanctions internationales.
Sur le marché ICE, les futures de Brent sur le brut pour mai ont engrangé 1.4% pour grimper à 112.5 USD du baril, soit 13.31 USD de mieux que leurs homologues américaines.
L'UBS, fournisseuse multinationale de services financiers, a remonté de 18% ses prévisions pour le prix moyen Brent en 2011, le faisant passer à 103.75 USD le baril, contre 85 USD auparavant, invoquant la menace de nouvelles perturbations des approvisionnements en provenance du Moyen-Orient.