Investing.com - Le dollar U.S. restait mitigé face à la plupart de ses concurrents lors des rares transactions de ce lundi, la crainte des conséquences de l'écchange de dettes grecques freinant le goût pour le risque, tandis que le billet vert restait encouragé par les bons résultaats de l'emploi américain dévoilés vendredi.
En seconde partie de séance européenne, il a fait mieux que résister devant l'euro, l'EUR/USD trébuchant de 0.02% pour descendre à 1.3119.
La monnaie unique restait sur la sellette depuis que l'Association Internationale des Swaps et Dérivés ISDA, avait finalement affirmé en fin de semaine que la substitution des bons du trésor grecs constituait un "évènement de crédit" qui activerait les couvertures de défaillance destinées à protéger les investisseurs contre des pertes dûes aux obligations hellènes.
L'étalon américain a pour sa part repris du poil de la bête après que les résultats encourageants de l'emploi américain aient réduit l'espérance d'une nouvelle série d'achats d'actifs destinés à relancer la croissance économique de la part de la Réserve Fédérale.
Le département d'état au travail des Etats-Unis avait annoncé le même jour que le pays avait créé 227 000 emplois en février, dépassant les 210 000 espérés, le taux de chômage demeurant stabilisé à 8.3%, son plus bas niveau en trois ans.
Le billet vert a par contre cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.25% pour se hisser à 1.5634.
Il a aussi subi la pression du yen, mais pas du franc suisse, l'USD/JPY glissant de 0.38% pour se retrouver à 82.16 et l'USD/CHF arrachant 0.01% pour s'élever à 0.9189.
Les représentats du japon avaient rappelé ce matin l'inquiétude que leur causait la force persistante de la devise nationale en dépit de son récent faux pas.
Yoshihiko Noda, premier ministre nippon, a estimé qu'il demeurait "fort", tandis que Jun Azumi, le ministre des finances, renouvelait ses mises en garde contre les "mouvements spéculatifs excessifs".
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD gagnant 0.23% pour aller vers 0.9928, l'AUD/USD perdant 0.76% pour chuter à 1.0496 et le NZD/USD reculant de 0.75% pour toucher le fond à 0.8151.
Leur popularité, fortement dépendante de la croissance, a pris du plomb dans l'aile après qu'une étude officielle ait montré que le commerce extérieur de la Chine avait enregistré en février son déficit le plus important en plus de dix ans, suite à la diminution des exportations.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a stagné à 80.42.
Les ministres des finances du bloc euro tiendront aujourd'hui des pourparlers à Bruxelles afin de donner leur accord final aux 130 milliards d'euros du plan de secours à la Grèce.
L'Espagne risque aussi d'être à leur ordre du jour, Mariano Rajoy, son premiere ministre, ayant annoncé en début de mois que les déficits publics ne seraient ramenés cette année qu'à 5.8% du produit intérieur brut, au lieu des 4.4% prévus.
En seconde partie de séance européenne, il a fait mieux que résister devant l'euro, l'EUR/USD trébuchant de 0.02% pour descendre à 1.3119.
La monnaie unique restait sur la sellette depuis que l'Association Internationale des Swaps et Dérivés ISDA, avait finalement affirmé en fin de semaine que la substitution des bons du trésor grecs constituait un "évènement de crédit" qui activerait les couvertures de défaillance destinées à protéger les investisseurs contre des pertes dûes aux obligations hellènes.
L'étalon américain a pour sa part repris du poil de la bête après que les résultats encourageants de l'emploi américain aient réduit l'espérance d'une nouvelle série d'achats d'actifs destinés à relancer la croissance économique de la part de la Réserve Fédérale.
Le département d'état au travail des Etats-Unis avait annoncé le même jour que le pays avait créé 227 000 emplois en février, dépassant les 210 000 espérés, le taux de chômage demeurant stabilisé à 8.3%, son plus bas niveau en trois ans.
Le billet vert a par contre cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.25% pour se hisser à 1.5634.
Il a aussi subi la pression du yen, mais pas du franc suisse, l'USD/JPY glissant de 0.38% pour se retrouver à 82.16 et l'USD/CHF arrachant 0.01% pour s'élever à 0.9189.
Les représentats du japon avaient rappelé ce matin l'inquiétude que leur causait la force persistante de la devise nationale en dépit de son récent faux pas.
Yoshihiko Noda, premier ministre nippon, a estimé qu'il demeurait "fort", tandis que Jun Azumi, le ministre des finances, renouvelait ses mises en garde contre les "mouvements spéculatifs excessifs".
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD gagnant 0.23% pour aller vers 0.9928, l'AUD/USD perdant 0.76% pour chuter à 1.0496 et le NZD/USD reculant de 0.75% pour toucher le fond à 0.8151.
Leur popularité, fortement dépendante de la croissance, a pris du plomb dans l'aile après qu'une étude officielle ait montré que le commerce extérieur de la Chine avait enregistré en février son déficit le plus important en plus de dix ans, suite à la diminution des exportations.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a stagné à 80.42.
Les ministres des finances du bloc euro tiendront aujourd'hui des pourparlers à Bruxelles afin de donner leur accord final aux 130 milliards d'euros du plan de secours à la Grèce.
L'Espagne risque aussi d'être à leur ordre du jour, Mariano Rajoy, son premiere ministre, ayant annoncé en début de mois que les déficits publics ne seraient ramenés cette année qu'à 5.8% du produit intérieur brut, au lieu des 4.4% prévus.