Investing.com - Le dollar U.S. était en forme face à la plupart de ses concurrents ce mardi, enregistrant de fortes progressions face à ses homologues d'Australie et de Nouvelle-Zélande, fortement dépendants de la croissance, en raison de l'angoisse d'un essoufflement de celle de la Chine.
En première partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0.31% pour tomber à 1.3198.
Il a en effet gagné de la vigueur avec le retour du spectre d'un ralentissement de la progression de l'économie chinoise, la seconde du monde, après que la multinationale minière BHP Billiton ait déclaré que la demande en minerai de fer du pays devenait paresseuse, laissant craindre un effondrement des coûts des matières premières.
La monnaie unique restait sur la sellette alors que Mario Monti, premier ministre italien, se préparait à renconrer les dirigeants syndicaux afin de discuter de réformes du marché du travail national, espérant ainsi retourner la situation inquiétante de la troisième économie de la zone euro.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0.21% pour chuter à 1.586.
Une étude officielle avait auparavant montré que le taux d'augmentation des prix de vente au détail du Royaume-Uni s'était limité à 3.4% ajustés saisonnièrement pour février, sa plus faible valeur depuis novembre 2010, contre 3.6% lors du précédent, conformément aux attentes.
La Banque d'Angleterre prévoit son passage sous les 2% visés d'ici la fin 2012.
Il s'est à nouveau rapproché d'un pic des 11 mois écoulés contre le yen, l'USD/JPY grimpant de 0.55% pour se hisser à 83.79 et également fait subir sa pression au franc suisse, l'USD/CHF grignotant 0.32% pour culminer à 0.9141.
Des informations émanant des autorités suisses indiquaient ce matin que la production industrielle helvétique avait bondi de 7.9% au cours des trois derniers mois de l'année 2011, pulvérisant les 0.4% espérés.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs nettement dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD prenant 0.46% pour monter à 0.9914, l'AUD/USD cédant 1.09% pour se retrouver à 1.0491 et le NZD/USD se laissant arracher 1.06% pour toucher le fond à 0.8174.
Le compte-rendu de la réunion de la Réserve Bancaire d'Australie de mars signalait en début de journée que les membres de son conseil estimaient qu'il y avait "de larges possibilités" de réduction des taux d'intérêt en cas de net alentissement de l'économie découlant du problème du surendettement de l'Europe.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.38% pour se situer à 79.98.
Les Etats-Unis annonceront quand à eux cet après-midi le nombre officiel des permis de construire qu'ils ont accordés, ainsi que leurs informations sur le nombre de chantiers entamés, tandis que Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale du pays, participera à une conférence à Washington, et que ses propos seront décortiqués en détail.
En première partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0.31% pour tomber à 1.3198.
Il a en effet gagné de la vigueur avec le retour du spectre d'un ralentissement de la progression de l'économie chinoise, la seconde du monde, après que la multinationale minière BHP Billiton ait déclaré que la demande en minerai de fer du pays devenait paresseuse, laissant craindre un effondrement des coûts des matières premières.
La monnaie unique restait sur la sellette alors que Mario Monti, premier ministre italien, se préparait à renconrer les dirigeants syndicaux afin de discuter de réformes du marché du travail national, espérant ainsi retourner la situation inquiétante de la troisième économie de la zone euro.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0.21% pour chuter à 1.586.
Une étude officielle avait auparavant montré que le taux d'augmentation des prix de vente au détail du Royaume-Uni s'était limité à 3.4% ajustés saisonnièrement pour février, sa plus faible valeur depuis novembre 2010, contre 3.6% lors du précédent, conformément aux attentes.
La Banque d'Angleterre prévoit son passage sous les 2% visés d'ici la fin 2012.
Il s'est à nouveau rapproché d'un pic des 11 mois écoulés contre le yen, l'USD/JPY grimpant de 0.55% pour se hisser à 83.79 et également fait subir sa pression au franc suisse, l'USD/CHF grignotant 0.32% pour culminer à 0.9141.
Des informations émanant des autorités suisses indiquaient ce matin que la production industrielle helvétique avait bondi de 7.9% au cours des trois derniers mois de l'année 2011, pulvérisant les 0.4% espérés.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs nettement dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD prenant 0.46% pour monter à 0.9914, l'AUD/USD cédant 1.09% pour se retrouver à 1.0491 et le NZD/USD se laissant arracher 1.06% pour toucher le fond à 0.8174.
Le compte-rendu de la réunion de la Réserve Bancaire d'Australie de mars signalait en début de journée que les membres de son conseil estimaient qu'il y avait "de larges possibilités" de réduction des taux d'intérêt en cas de net alentissement de l'économie découlant du problème du surendettement de l'Europe.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.38% pour se situer à 79.98.
Les Etats-Unis annonceront quand à eux cet après-midi le nombre officiel des permis de construire qu'ils ont accordés, ainsi que leurs informations sur le nombre de chantiers entamés, tandis que Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale du pays, participera à une conférence à Washington, et que ses propos seront décortiqués en détail.