Investing.com - Les pertes de l'euro face à la livre sterling se sont aggravées ce mercredi, avec un plongeon dans une ornière des cinq dernières semaines, alors que les taux des emprunts italiens s'élevaient jusqu'aux 7% marquant le seuil des appels au secours de la Grèce, de l'Irlande et du Portugal.
La paire EUR/GBP est descendue jusqu'à 0.8542 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas depuis le 4 octobre, puis s'est stabilisée vers 0.8548, perdant 0.56%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0.8528, son plancher des six mois écoulés datant du 12 septembre, et de rencontrer de la résistance à 0.8598, son plafond du jour.
es pertes de la monnaie unique se sont trouvées aggravées après qu'un établissement de liquidation parisien ait remonté ses appels de marges sur les obligations italiennes, alimentant l'angoisse découlant des problèmes fiscaux de la péninsule.
Les taux des bonns à dix ans du pays se sont en effet envolés vers un nouveau record à 7.03%, en raison du flou sur la capacité d'un nouveau gouvernement à relancer la croissance et mettre en place un plan de rigueur après que le premier ministre Silvio Berlusconi ait annoncé qu'il démissionnerait la semaine prochaine.
Un rapport officiel du bureau britannique des statistiques avait pour sa part indiqué ce matin que le déficit de la balance du commerce extérieur des biens s'était creusé en septembre sans crier gare, s'élevant à 9.8 milliards de GBP, contre 8.6 milliards pour le mois précédent.
Les experts espéraient pourtant le voir réduit à 8 milliards pour la période considérée.
L'euro était également en forte baisse face au dollar U.S. avec un couple EUR/USD plongeant de 1.05% pour chuter à 1.3687.
En Grèce, les autorités luttaient encore pour former un guvernement d'unité nationale, alors que le pays se trouvait dans l'urgence pour débloquer des fonds de secours et ainsi éviter une possible banqueroute en mettant en place des mesures d'austérité.
La paire EUR/GBP est descendue jusqu'à 0.8542 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas depuis le 4 octobre, puis s'est stabilisée vers 0.8548, perdant 0.56%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0.8528, son plancher des six mois écoulés datant du 12 septembre, et de rencontrer de la résistance à 0.8598, son plafond du jour.
es pertes de la monnaie unique se sont trouvées aggravées après qu'un établissement de liquidation parisien ait remonté ses appels de marges sur les obligations italiennes, alimentant l'angoisse découlant des problèmes fiscaux de la péninsule.
Les taux des bonns à dix ans du pays se sont en effet envolés vers un nouveau record à 7.03%, en raison du flou sur la capacité d'un nouveau gouvernement à relancer la croissance et mettre en place un plan de rigueur après que le premier ministre Silvio Berlusconi ait annoncé qu'il démissionnerait la semaine prochaine.
Un rapport officiel du bureau britannique des statistiques avait pour sa part indiqué ce matin que le déficit de la balance du commerce extérieur des biens s'était creusé en septembre sans crier gare, s'élevant à 9.8 milliards de GBP, contre 8.6 milliards pour le mois précédent.
Les experts espéraient pourtant le voir réduit à 8 milliards pour la période considérée.
L'euro était également en forte baisse face au dollar U.S. avec un couple EUR/USD plongeant de 1.05% pour chuter à 1.3687.
En Grèce, les autorités luttaient encore pour former un guvernement d'unité nationale, alors que le pays se trouvait dans l'urgence pour débloquer des fonds de secours et ainsi éviter une possible banqueroute en mettant en place des mesures d'austérité.