Investing.com - L'euro n'a guère pris l'avantage sur la dollar U.S. ce mercredi matin, les opérateurs guettant la prise de cap imminente de l'émettrice de ce dernier, le premier pâtissant des rumeurs de baisse des taux de la sienne.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1,3186 en fin de séance asiatique, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1?3167, grignotant 0,01%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3053, son plancher de vendredi, et de rencontrer de la résistance à 1,3200, son plafond de deux mois établi le 16 avril.
Les nouvelles contre-performances américaines ont en effet étouffé les rumeurs saugrenues de fin prématurée des injections de capitaux de la Réserve Fédérale.
Il a ainsi été montré hier que l'indice des directeurs des achats de la région de Chicago avait plongé de 52,4 vers 49,0 pour avril, son niveau le plus bas depuis septembre 2009.
Une étude avait révélé la semaine passée que le produit intérieur brut national avait augmenté de 2,5% entre le début janvier et la fin mars, alors que 3,0% étaient espérés.
Les rumeurs de diminution des taux de la Banque Centrale Européenne allaient bon train après que le chômage du bloc ayant adopté la monnaie unique ait battu tous les records en mars, tandis que l'inflation avait été plus modérée qu'envisagée pour le mois dernier.
Des propos récemment tenus par ses hauts représentants laissaient entendre entendre que des ajustements pourraient avoir lieu en cas de dégradation économique persistante.
Le couple n'a par ailleurs guère fait cas de l'information selon laquelle le baromètre de l'activité manufacturière chinoise avait quitté son piédestal de 11 mois à 50,9 de mars pour se limiter à 50,6.
La devise européenne a par ailleurs bien résisté à la livre sterling et au yen, l'EUR/GBP trébuchant de 0,08% pour glisser à 0,8467 et l'EUR/JPY laissant échapper 0,01% pour se retrouver à 128,24.
Le volume des transactions semblait devoir être minime en ce jour de fête du travail pour la plupart des places d'Europe.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1,3186 en fin de séance asiatique, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1?3167, grignotant 0,01%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3053, son plancher de vendredi, et de rencontrer de la résistance à 1,3200, son plafond de deux mois établi le 16 avril.
Les nouvelles contre-performances américaines ont en effet étouffé les rumeurs saugrenues de fin prématurée des injections de capitaux de la Réserve Fédérale.
Il a ainsi été montré hier que l'indice des directeurs des achats de la région de Chicago avait plongé de 52,4 vers 49,0 pour avril, son niveau le plus bas depuis septembre 2009.
Une étude avait révélé la semaine passée que le produit intérieur brut national avait augmenté de 2,5% entre le début janvier et la fin mars, alors que 3,0% étaient espérés.
Les rumeurs de diminution des taux de la Banque Centrale Européenne allaient bon train après que le chômage du bloc ayant adopté la monnaie unique ait battu tous les records en mars, tandis que l'inflation avait été plus modérée qu'envisagée pour le mois dernier.
Des propos récemment tenus par ses hauts représentants laissaient entendre entendre que des ajustements pourraient avoir lieu en cas de dégradation économique persistante.
Le couple n'a par ailleurs guère fait cas de l'information selon laquelle le baromètre de l'activité manufacturière chinoise avait quitté son piédestal de 11 mois à 50,9 de mars pour se limiter à 50,6.
La devise européenne a par ailleurs bien résisté à la livre sterling et au yen, l'EUR/GBP trébuchant de 0,08% pour glisser à 0,8467 et l'EUR/JPY laissant échapper 0,01% pour se retrouver à 128,24.
Le volume des transactions semblait devoir être minime en ce jour de fête du travail pour la plupart des places d'Europe.